La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
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La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
Dernière édition par Kanon L.Rhega le Jeu 27 Nov - 10:51, édité 1 fois
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
La vie dans ce monde n'était pas si horrible qu'on pouvait se l'imaginer. Bon, il n'était pas non plus le meilleur pour faire de la promotion vu qu'il était né dans ce monde. Après, il n'était non plus le pire, vu que son espèce était pourchassée par les vampires, maître de ces lieux, mais aussi par les chasseurs de métamorphes. Pourquoi ? Sans doute pour le plaisir de mettre des bêtes en cage. Il ne connaissait pas réellement la raison et d'un autre côté, il ne voulait pas savoir. Vouloir connaître les raisons étaient pour lui une sorte de prison : il serait prisonnier de son envie de savoir. Hors, il voulait être un homme libre, autant physiquement que mentalement. C'était aussi pour cette raison qu'il n'avait pas de petites copines. Les sentiments étaient aussi une forme de prison : il serait dépendant, sentimentalement, d'une personne. Elle deviendrait donc son point faible. Et pour son travail, ce n'était pas possible. Il enchaînait donc les coups d'un soir ou les petites amies, mais sans réel sentiment. De cette façon, si elles étaient utilisées pour le faire chanter, il pouvait partir sans scrupule.
Au début, Chimero pensait que Kanon allait être encore ce genre de filles pour lui. Et il n'était pas contre cette idée : cette fille était un vrai boulet. En plus de la coller, la suivre où qu'il aille, elle était aussi une source de problème pour son travail. En étant chasseur de prime, il ne pouvait pas se permettre d'avoir une personne ne sachant pas se battre à ses côtés. Malheureusement pour lui, elle n'avait pas l'air de vouloir partir. Cela faisait donc une semaine qu'il vivait avec la blanche dans les pattes. Pour le bonheur des deux protagonistes, et surtout de Chimero, la maison assez grande pour qu'ils dorment chacun dans leur chambre. Même si, de temps en temps, il était tenté d'aller dans la chambre de Kanon. Ce petit boulet avait tout pour plaire, physiquement, à Chimero : une taille de guêpe, un style très féminin et surtout, une bonne paire de seins qui était très bien mis en valeur grâce à ses tenues. Il aimait bien la regarder quand elle se promenait dans la maison.
Cette nuit-là il avait préféré rester chez lui et ne pas bosser. Sachant que Kanon le suivait partout, il ne voulait pas la perdre du vue pendant une mission dangereuse. Il ne voulait pas se retrouver à aller devoir la sauver – encore une fois – des griffes des vampires ou même autres créatures très peu fréquentable. Oui, vous allez penser que pour un mec qui aimait la liberté, il était en train de la perdre. Mais d'un autre côté, vu qu'il avait sauvé Kanon, pour lui, elle était devenue sa chose. Oui, l'ours était assez possessif. Et maintenant, il se disait « maître » d'elle et il ne voulait pas qu'on touche à son corps. Elle était trop bien foutue pour qu'un porc la touche sans son autorisation. Toutefois, il avait quand même une ballade nocturne pour se défouler, être un peu seul. Pour ne pas faire de bruit, il était sorti par la fenêtre. De cette façon, il savait qu'elle ne le suivrait pas.
Sa balade ne dura qu'à peine deux heures. Il sentit un petit coup de moue quand il se transforma, de nouveau, en humain. Vu qu'il avait passé la moitié du temps dans la rivière, à pêcher pour rapporter à manger pour le repas du midi. Il rentra donc chez lui, les poissons dans la main et il fut surpris de voir Kanon dans la cuisine, cherchant le plus discrètement possible de la nourriture. Il arqua un sourcil avant de refermer la porte en la claquant. De cette façon, il annonça sa présence à l'humaine.
« Qu'est-ce que tu fous Kanon ? On dirait que tu veux partir comme une voleuse... », dit-il, sur un ton assez froid. Il ne pensait qu'elle voulait partir d'ici sans son autorisation.
Au début, Chimero pensait que Kanon allait être encore ce genre de filles pour lui. Et il n'était pas contre cette idée : cette fille était un vrai boulet. En plus de la coller, la suivre où qu'il aille, elle était aussi une source de problème pour son travail. En étant chasseur de prime, il ne pouvait pas se permettre d'avoir une personne ne sachant pas se battre à ses côtés. Malheureusement pour lui, elle n'avait pas l'air de vouloir partir. Cela faisait donc une semaine qu'il vivait avec la blanche dans les pattes. Pour le bonheur des deux protagonistes, et surtout de Chimero, la maison assez grande pour qu'ils dorment chacun dans leur chambre. Même si, de temps en temps, il était tenté d'aller dans la chambre de Kanon. Ce petit boulet avait tout pour plaire, physiquement, à Chimero : une taille de guêpe, un style très féminin et surtout, une bonne paire de seins qui était très bien mis en valeur grâce à ses tenues. Il aimait bien la regarder quand elle se promenait dans la maison.
Cette nuit-là il avait préféré rester chez lui et ne pas bosser. Sachant que Kanon le suivait partout, il ne voulait pas la perdre du vue pendant une mission dangereuse. Il ne voulait pas se retrouver à aller devoir la sauver – encore une fois – des griffes des vampires ou même autres créatures très peu fréquentable. Oui, vous allez penser que pour un mec qui aimait la liberté, il était en train de la perdre. Mais d'un autre côté, vu qu'il avait sauvé Kanon, pour lui, elle était devenue sa chose. Oui, l'ours était assez possessif. Et maintenant, il se disait « maître » d'elle et il ne voulait pas qu'on touche à son corps. Elle était trop bien foutue pour qu'un porc la touche sans son autorisation. Toutefois, il avait quand même une ballade nocturne pour se défouler, être un peu seul. Pour ne pas faire de bruit, il était sorti par la fenêtre. De cette façon, il savait qu'elle ne le suivrait pas.
Sa balade ne dura qu'à peine deux heures. Il sentit un petit coup de moue quand il se transforma, de nouveau, en humain. Vu qu'il avait passé la moitié du temps dans la rivière, à pêcher pour rapporter à manger pour le repas du midi. Il rentra donc chez lui, les poissons dans la main et il fut surpris de voir Kanon dans la cuisine, cherchant le plus discrètement possible de la nourriture. Il arqua un sourcil avant de refermer la porte en la claquant. De cette façon, il annonça sa présence à l'humaine.
« Qu'est-ce que tu fous Kanon ? On dirait que tu veux partir comme une voleuse... », dit-il, sur un ton assez froid. Il ne pensait qu'elle voulait partir d'ici sans son autorisation.
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
Étant fils unique et vivant un peu à l'écart des autres, il avait toujours vécu avec l'idée de ne pas partager ses affaires, surtout les jolies choses. Que ce soit des armes, des personnes, de la nourriture, … il réagissait toujours de la même façon : interdiction de toucher à ce qui lui appartenait. Et là, il réagissait de la même manière avec Kanon. Il avait sauvé la demoiselle et la trouvant très mignonne, il avait décidé de la garder. Dans le cas contrairement, il l'aurait dégagé depuis très longtemps. Il n'aimait pas s'encombrer de choses chiante et inutile. D'une certaine manière, c'était sa façon de dire qu'il acceptait la demoiselle dans son univers. Mais le soucis, qu'il ne comprenait pas, c'était qu'elle ne le connaissait pas et c'était pour cette raison qu'elle ne comprenait pas son comportement. Elle devait, sans doute, penser qu'elle était un boulet pour lui vu qu'il ne voulait pas la quitter de son champs de vision. Alors que finalement, ce n'était pas vraiment ça : même s'il la trouvait un peu boulet, il tenait surtout à ses objets.
En connaissant cela, imaginez un peu la réaction du bleu quand il entendit – de la bouche de la blanche – qu'elle allait partir, ne voulant pas le déranger un peu plus. Pour une personne normale, cela aurait été mignon : elle ne voulait pas déranger alors que c'était tout le contraire. Mais pour lui, c'était plutôt un signe de rébellion et ça, il ne l'appréciait pas du tout. Bon, il ne traitait pas ses objets comme les vampires traitaient leurs goules ou leurs esclaves, même s'il pouvait être assez violent, surtout quand il venait à peine de redevenir humain. Il l'écoutait donc parler, avec cette même aura, ce même regard. Il continua de arquer son sourcil quand elle lui disait qu'elle ne voulait pas le déranger plus longtemps, qu'elle devait être un boulet pour lui ou encore d'autres trucs. Il ne comprenait pas les paroles de Kanon. Et d'un autre côté, il ne cherchait pas non plus à faire le moindre effort pour la comprendre.
Alors qu'elle montait dans sa chambre, il ferma la porte de la maison à double tour, posa ses poissons dans le frigo et monta la rejoindre. Elle comptait vraiment partir comme ça ? Sans son autorisation ? Elle avait réussi à le mettre en colère. Il venait de rentrer dans la chambre de la blanche quand il ferma aussi sa porte à clef pour pas qu'elle parte. Il n'allait pas la laisser s'en aller comme ça. Pour son plus grand malheurs, ou bonheur, le bleu comptait bien garder la blanche dans ses pattes encore pas mal de temps. Finalement, il avait trouvé une dépendance, malgré lui. Faisant comme s'il était dans sa chambre, il balança son t-shirt mouillé sur Kanon pour la faire réagir. Maintenant, elle pouvait le voir torse nu.
« Tu te crois où là ? Tu crois que je vais te laisser partir comme ça. T'es peut-être un boulet pour le moment, mais je compte pas abandonner un joli petit minois comme le tien et surtout, ça. », dit-il en mettant sa main sur le sein en face de celle-ci. « Si je voulais te voir partir, je t'aurai mis mon coup d'pied au cul depuis bien longtemps. Alors arrête tes conneries. », ajouta-t-il la rapprochant d'elle en tirant sur son bras. « Par contre, maintenant que tu m'as bien foutu en rogne, tu vas devoir être une gentille petite fille et te laisser faire pour me calmer les nerfs. », dit-il en affichant un sourire sadique.
Maintenant qu'elle était près de lui, il pouvait lui mettre son autre main sur ses fesses. Même à ce niveau-là, elle était bien foutu. Kanon avait des formes là où il fallait pour Chimero : une bonne paire de seins et un cul parfait pour être masser. Ce loup était bien pire que les vampires quand il s'y mettait. Mais il gardait ce genre de comportement pour des victimes biens spécifiques. Et là, Kanon était sa beauté rare. Elle avait l'aura d'une petite vierge et le corps d'un succube, tout ce qu'il aimait chez une femme. Il affichait toujours le même sourire, attendant de voir si elle allait jouer la vierge en essayant de se débattre ou la succube en caressant son torse. Dans n'importe quel cas, Chimero savait très bien ce qu'il allait faire d'elle pour la punir.
En connaissant cela, imaginez un peu la réaction du bleu quand il entendit – de la bouche de la blanche – qu'elle allait partir, ne voulant pas le déranger un peu plus. Pour une personne normale, cela aurait été mignon : elle ne voulait pas déranger alors que c'était tout le contraire. Mais pour lui, c'était plutôt un signe de rébellion et ça, il ne l'appréciait pas du tout. Bon, il ne traitait pas ses objets comme les vampires traitaient leurs goules ou leurs esclaves, même s'il pouvait être assez violent, surtout quand il venait à peine de redevenir humain. Il l'écoutait donc parler, avec cette même aura, ce même regard. Il continua de arquer son sourcil quand elle lui disait qu'elle ne voulait pas le déranger plus longtemps, qu'elle devait être un boulet pour lui ou encore d'autres trucs. Il ne comprenait pas les paroles de Kanon. Et d'un autre côté, il ne cherchait pas non plus à faire le moindre effort pour la comprendre.
Alors qu'elle montait dans sa chambre, il ferma la porte de la maison à double tour, posa ses poissons dans le frigo et monta la rejoindre. Elle comptait vraiment partir comme ça ? Sans son autorisation ? Elle avait réussi à le mettre en colère. Il venait de rentrer dans la chambre de la blanche quand il ferma aussi sa porte à clef pour pas qu'elle parte. Il n'allait pas la laisser s'en aller comme ça. Pour son plus grand malheurs, ou bonheur, le bleu comptait bien garder la blanche dans ses pattes encore pas mal de temps. Finalement, il avait trouvé une dépendance, malgré lui. Faisant comme s'il était dans sa chambre, il balança son t-shirt mouillé sur Kanon pour la faire réagir. Maintenant, elle pouvait le voir torse nu.
« Tu te crois où là ? Tu crois que je vais te laisser partir comme ça. T'es peut-être un boulet pour le moment, mais je compte pas abandonner un joli petit minois comme le tien et surtout, ça. », dit-il en mettant sa main sur le sein en face de celle-ci. « Si je voulais te voir partir, je t'aurai mis mon coup d'pied au cul depuis bien longtemps. Alors arrête tes conneries. », ajouta-t-il la rapprochant d'elle en tirant sur son bras. « Par contre, maintenant que tu m'as bien foutu en rogne, tu vas devoir être une gentille petite fille et te laisser faire pour me calmer les nerfs. », dit-il en affichant un sourire sadique.
Maintenant qu'elle était près de lui, il pouvait lui mettre son autre main sur ses fesses. Même à ce niveau-là, elle était bien foutu. Kanon avait des formes là où il fallait pour Chimero : une bonne paire de seins et un cul parfait pour être masser. Ce loup était bien pire que les vampires quand il s'y mettait. Mais il gardait ce genre de comportement pour des victimes biens spécifiques. Et là, Kanon était sa beauté rare. Elle avait l'aura d'une petite vierge et le corps d'un succube, tout ce qu'il aimait chez une femme. Il affichait toujours le même sourire, attendant de voir si elle allait jouer la vierge en essayant de se débattre ou la succube en caressant son torse. Dans n'importe quel cas, Chimero savait très bien ce qu'il allait faire d'elle pour la punir.
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
L'ours bleu n'était pas spécialement un mec très difficile en matière de filles, enfin si un peu. Il aimait les jolies demoiselles, bien formées avec de belles formes là où il fallait. En clair, aux yeux de Chimero, Kanon était parfaite physiquement. Alors il pouvait bien accepter le fait qu'elle était un peu notice dans ce monde. C'était aussi pour cette raison qu'il la considérait comme un boulet. Mais boulet ou pas, il ne voulait pas la quitter pour des raisons aussi futiles que la gène qu'elle pourrait occasionner. Il était tellement possessif qu'il pouvait tout accepter de ses affaires, en échange ses affaires devaient être bien sage et tout accepter de lui. Et la suite des événements allaient être une façon pour lui de voir si elle allait pouvoir rester avec lui ou pas. Même si, ce qu'il lui réservait, n'allait pas être dû goût de tout le monde, il s'en foutait royalement. Ces conneries l'avaient énervé et il comptait bien se défouler sur elle en guise de punition. Alors quand elle montait dans sa chambre pour prendre ses affaires, il ferma la porte à clef, cachant la clef en hauteur pour pas qu'elle puisse la récupérer si elle tentait de s'échapper de ses griffes. Suite à ça, il monta aussi dans sa chambre : la demoiselle allait avoir sa punition dans la chambre que Chimero lui avait donné.
Maintenant dans sa chambre, il ferme aussi sa porte, mais laissa la clef dans la porte. Il n'avait pas vraiment de crainte à la voir s'enfuir : vu son corps comparer au sien, elle n'avait aucune chance. Sans gène, il lui balança son t-shirt mouillé dans la figure avant de mettre une main sur son sein et l'autre sur sa fesse. En même temps, il lui demandait où est-ce qu'elle se croyait et surtout, elle pouvait rêver si elle voulait qu'il abandonne un corps pareil. Il était trop impulsif, à ce moment précis, pour y aller avec douceur avec elle, même si on pouvait facilement le ramener à la réalité s'il faisait un truc qui ressemblait trop au comportement des vampires. Pour se défendre, elle disait qu'il y avait d'autres filles bien plus belle qu'elle et que, de cette façon, l'excuse du « corps » n'était pas une bonne raison pour la faire rester. À ses mots, il se mit à sourire. De ce qu'elle disait, on avait l'impression qu'elle avait le choix alors que non, il ne lui laissait pas le choix : elle allait rester ici et un point c'est tout. Mais une autre parole fit stagner son sourire : la belle blanche venait de lui dire qu'elle voulait bien l'aider à le calmer, mais elle ne savait pas comment faire. Elle ne comprenait pas la gravité de ses dires.
Alors avant de lui répondre, il abandonna sa poitrine pour mettre sa main sur son autre fesse : elles étaient vraiment parfaites. Il commença à les masser avec doigter avant de mettre sa tête dans son cou. Il se mit à sentir son odeur naturelle avant de lui faire de vigoureux suçons. En plus de son corps parfait, il était comme hypnotiser par son odeur et le goût de sa peau. Finalement, ce n'était pas qu'une histoire de cul, mais aussi de phéromone.
« Il suffit que je te donne des cours particuliers pour plus que tu en sois un, ça peut se changer ça. Et au pire, tu pourras faire office de femme au foyer. Tu attendras sagement que je revienne, un bon poisson dans l'assiette et surtout, habillée seulement d'un tablier... sans petite culotte. », répondit-il sans gène et avec un petit sourire au coin des lèvres. « Ton corps m'attire, c'est sûr. Tu as un corps parfait naturellement. Et surtout, tu as une odeur naturelle enivrante : tu as une odeur de sucrée et ta peau aussi, à un goût de sucré. C'est très agréable, pour moi. », dit-il en gardant son nez dans son cou. « Alors tu ne partiras pas d'ici, c'est bien clair ? Je te trouverai une occupation pour te rendre utile. », ajouta-t-il avant d'être surpris par la réponse de vouloir l'aider. « Oh ne t'inquiète pas pour ça ! J'ai déjà m'a petite idée pour ça. Et au vu de ton joli minois, tu m'as l'air d'être une romantique au pieux. Alors laisse toi faire et je serai à ton goût. », dit-il en rapprochant le corps de la blanche vers le sien.
Les corps étaient tellement proche que Kanon pouvait très bien sentir à quel point que le corps de Chimero réagissait très bien au sien. Doucement, il commença à mettre l'une de ses mains dans sa culotte, se baladant jusqu'à son intimité où il commença à titiller son point sensible avant de se rendre compte d'une chose : il lui faisait aussi de l'effet. Il se mit à sourire, avant de ressortir le doigt de son intimité et de le lécher pour y goûter. Même ça, c'était au goût du bleu. Il enleva ses affaires du lit avant de la balancer dessus. Maintenant, il ne pouvait plus faire marche arrière dans ses pulsions, elle avait vraiment un très bon goût. Il enleva son pantalon, se retrouvant en boxer, avant de monter sur le lit aussi et se mit à l'embrasser avant d'attaquer son cou. En même temps, il arracha littéralement ses affaires pour qu'elle se retrouve en petite tenue, comme lui. En la voyant ainsi, il se mit à rougir légèrement, admirant beaucoup mieux son corps avant de remettre sa main dans sa petite culotte.
« Laisse toi faire et ça se passera très bien... sinon tu risques d'avoir mal, princesse. », dit-il en commençant par y mettre un doigt et de s'occuper de ce petit bout de chair. « Et ne t'inquiète pas pour tes vêtements. Je t'en rachèterai... on ira faire les boutiques dans la semaine. », ajouta-t-il en y ajoutant un second.
Plus il la préparait, plus sa chaleur montait. Il était entrain de se torturer tout seul.
Maintenant dans sa chambre, il ferme aussi sa porte, mais laissa la clef dans la porte. Il n'avait pas vraiment de crainte à la voir s'enfuir : vu son corps comparer au sien, elle n'avait aucune chance. Sans gène, il lui balança son t-shirt mouillé dans la figure avant de mettre une main sur son sein et l'autre sur sa fesse. En même temps, il lui demandait où est-ce qu'elle se croyait et surtout, elle pouvait rêver si elle voulait qu'il abandonne un corps pareil. Il était trop impulsif, à ce moment précis, pour y aller avec douceur avec elle, même si on pouvait facilement le ramener à la réalité s'il faisait un truc qui ressemblait trop au comportement des vampires. Pour se défendre, elle disait qu'il y avait d'autres filles bien plus belle qu'elle et que, de cette façon, l'excuse du « corps » n'était pas une bonne raison pour la faire rester. À ses mots, il se mit à sourire. De ce qu'elle disait, on avait l'impression qu'elle avait le choix alors que non, il ne lui laissait pas le choix : elle allait rester ici et un point c'est tout. Mais une autre parole fit stagner son sourire : la belle blanche venait de lui dire qu'elle voulait bien l'aider à le calmer, mais elle ne savait pas comment faire. Elle ne comprenait pas la gravité de ses dires.
Alors avant de lui répondre, il abandonna sa poitrine pour mettre sa main sur son autre fesse : elles étaient vraiment parfaites. Il commença à les masser avec doigter avant de mettre sa tête dans son cou. Il se mit à sentir son odeur naturelle avant de lui faire de vigoureux suçons. En plus de son corps parfait, il était comme hypnotiser par son odeur et le goût de sa peau. Finalement, ce n'était pas qu'une histoire de cul, mais aussi de phéromone.
« Il suffit que je te donne des cours particuliers pour plus que tu en sois un, ça peut se changer ça. Et au pire, tu pourras faire office de femme au foyer. Tu attendras sagement que je revienne, un bon poisson dans l'assiette et surtout, habillée seulement d'un tablier... sans petite culotte. », répondit-il sans gène et avec un petit sourire au coin des lèvres. « Ton corps m'attire, c'est sûr. Tu as un corps parfait naturellement. Et surtout, tu as une odeur naturelle enivrante : tu as une odeur de sucrée et ta peau aussi, à un goût de sucré. C'est très agréable, pour moi. », dit-il en gardant son nez dans son cou. « Alors tu ne partiras pas d'ici, c'est bien clair ? Je te trouverai une occupation pour te rendre utile. », ajouta-t-il avant d'être surpris par la réponse de vouloir l'aider. « Oh ne t'inquiète pas pour ça ! J'ai déjà m'a petite idée pour ça. Et au vu de ton joli minois, tu m'as l'air d'être une romantique au pieux. Alors laisse toi faire et je serai à ton goût. », dit-il en rapprochant le corps de la blanche vers le sien.
Les corps étaient tellement proche que Kanon pouvait très bien sentir à quel point que le corps de Chimero réagissait très bien au sien. Doucement, il commença à mettre l'une de ses mains dans sa culotte, se baladant jusqu'à son intimité où il commença à titiller son point sensible avant de se rendre compte d'une chose : il lui faisait aussi de l'effet. Il se mit à sourire, avant de ressortir le doigt de son intimité et de le lécher pour y goûter. Même ça, c'était au goût du bleu. Il enleva ses affaires du lit avant de la balancer dessus. Maintenant, il ne pouvait plus faire marche arrière dans ses pulsions, elle avait vraiment un très bon goût. Il enleva son pantalon, se retrouvant en boxer, avant de monter sur le lit aussi et se mit à l'embrasser avant d'attaquer son cou. En même temps, il arracha littéralement ses affaires pour qu'elle se retrouve en petite tenue, comme lui. En la voyant ainsi, il se mit à rougir légèrement, admirant beaucoup mieux son corps avant de remettre sa main dans sa petite culotte.
« Laisse toi faire et ça se passera très bien... sinon tu risques d'avoir mal, princesse. », dit-il en commençant par y mettre un doigt et de s'occuper de ce petit bout de chair. « Et ne t'inquiète pas pour tes vêtements. Je t'en rachèterai... on ira faire les boutiques dans la semaine. », ajouta-t-il en y ajoutant un second.
Plus il la préparait, plus sa chaleur montait. Il était entrain de se torturer tout seul.
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
Plus il la voyait, plus il se rendait compte d'une chose : Kanon n'était pas le genre de femme à comprendre du premier coup ce qui se passait. Et il l'avait bien remarqué en voyant la tête de la blanche à chacun de ses gestes. Il se demandait même si elle n'était pas encore vierge, à en voir ses réactions. Mais il se secoua mentalement la tête en se disant que non, une fille aussi bien foutue qu'elle avec un goût et une odeur aussi enivrante. Elle le touchait autant physiquement qu'au niveau des hormones et c'était bien la première fois qu'une personne lui faisait un effet pareil. C'était un peu pour cette raison qu'elle n'avait pas à s'en faire : il lui donnerait des cours pour qu'elle puisse se battre sans son aide, même s'il serait toujours près d'elle juste au cas où. Puis, pour la taquiner un peu, même s'il était très sérieux, il lui proposa en alternative d'être sa femme au foyer. Il lui expliqua qu'elle l'attendrait sagement à la maison, la bouffe dans l'assiette et surtout, sans vêtement sur elle mis à part un petit tablier. C'était le genre de scène qui mettait Chimero en appétit sexuel. Il lui expliqua aussi qu'il ne voulait pas la garder que pour son corps à en faire lever son soldat, mais aussi pour son parfum : c'était la première fois qu'il sentait cette odeur sur une personne et que, surtout, cette odeur était naturelle. Il était complètement hypnotisé par cette odeur de sucré. Il était très heureux d'entendre qu'elle se laisserait faire en restant chez lui s'il le voulait. De cette façon, il n'aurait pas à la forcer.
En guise de réponse, il l'embrassa. Quand il le voyait en extérieur, on pouvait croire qu'il était amoureux, mais ce n'était pas le cas : il ne ressentait qu'un sentiment de domination, un sentiment Il profitait seulement de ce corps qui lui donnait tellement envie. Ensuite, il colla un peu plus son corps contre le sien pour avoir plus de facilité à titiller une partie très intime de son corps. Plus il le faisait, il se faisait du mal parce que cela lui donnait encore plus envie d'elle. Pour calmer son envie, il allait devoir la prendre. Quand il fit tomber sur le lit, arrachant ses vêtements pour la voir en sous-vêtement, il rougit légèrement à la vision de ce corps si parfait à ses yeux. Plus il le voyait, plus il se disait que ce n'était pas possible qu'elle était encore vierge, même si ses gestes, ses mimiques lui faisaient penser le contraire. Malheureusement pour lui, vierge ou non, cela avait une importance pour lui : il voulait faire d'elle son jouet. De ce fait, elle devait apprécier leur moment. Alors s'il allait comme une bête alors qu'elle était encore pure, elle allait souffrir et il ne le voulait pas. Il voulait qu'elle prenne au maximum son pied.
Tandis qu'elle répondit en hochant de la tête pour sa réplique au niveau de faire du shopping pour lui racheter des vêtements, il commença à lui mordre dans le cou en introduisant un doigt, puis deux dans son intimité. L'intérieur était bien humide et chaud. Plus il les introduisait, plus il avait envie d'y mettre un autre type de doigt. Il ajouta un troisième avant qu'elle lui demanda de ne pas lui faire mal. Il stoppa quelques instant, ne comprenant pas vraiment sa réplique. Comme dit plus haut, si elle était pure, il comprendrait, mais là... il stoppa donc les morsures dans le cou et les vas et viens. Il se lécha les doigts, goûtant au plaisir de son corps avant de caresser sa poitrine du bout de ses doigts, et en redescendant sur son ventre.
« Te faire mal ? Ya que les vierges qui ont un peu mal pendant l'acte ou les gens qui se font violer. Et vu comment ton corps réagit à mes caresses, tu m'as l'air consentante. Alors ne t'inquiète pas, tu n'auras pas mal. Mais si ça peut te rassurer, je serai doux pour le début. », dit-il avant de l'embrasser de nouveau en baissant sa culotte pour la balancer à travers la pièce. « Mais rassure moi, ce sera pas ta première fois quand même ? », demanda-t-il pour se rassurer et surtout avant de commencer les choses sérieuses. En attendant sa réponse, il enleva son boxer. Il se mit à remordre le coup de la blanche avant de lui enlever le dernier bout de tissus sur son corps et qui cachait sa poitrine.
En guise de réponse, il l'embrassa. Quand il le voyait en extérieur, on pouvait croire qu'il était amoureux, mais ce n'était pas le cas : il ne ressentait qu'un sentiment de domination, un sentiment Il profitait seulement de ce corps qui lui donnait tellement envie. Ensuite, il colla un peu plus son corps contre le sien pour avoir plus de facilité à titiller une partie très intime de son corps. Plus il le faisait, il se faisait du mal parce que cela lui donnait encore plus envie d'elle. Pour calmer son envie, il allait devoir la prendre. Quand il fit tomber sur le lit, arrachant ses vêtements pour la voir en sous-vêtement, il rougit légèrement à la vision de ce corps si parfait à ses yeux. Plus il le voyait, plus il se disait que ce n'était pas possible qu'elle était encore vierge, même si ses gestes, ses mimiques lui faisaient penser le contraire. Malheureusement pour lui, vierge ou non, cela avait une importance pour lui : il voulait faire d'elle son jouet. De ce fait, elle devait apprécier leur moment. Alors s'il allait comme une bête alors qu'elle était encore pure, elle allait souffrir et il ne le voulait pas. Il voulait qu'elle prenne au maximum son pied.
Tandis qu'elle répondit en hochant de la tête pour sa réplique au niveau de faire du shopping pour lui racheter des vêtements, il commença à lui mordre dans le cou en introduisant un doigt, puis deux dans son intimité. L'intérieur était bien humide et chaud. Plus il les introduisait, plus il avait envie d'y mettre un autre type de doigt. Il ajouta un troisième avant qu'elle lui demanda de ne pas lui faire mal. Il stoppa quelques instant, ne comprenant pas vraiment sa réplique. Comme dit plus haut, si elle était pure, il comprendrait, mais là... il stoppa donc les morsures dans le cou et les vas et viens. Il se lécha les doigts, goûtant au plaisir de son corps avant de caresser sa poitrine du bout de ses doigts, et en redescendant sur son ventre.
« Te faire mal ? Ya que les vierges qui ont un peu mal pendant l'acte ou les gens qui se font violer. Et vu comment ton corps réagit à mes caresses, tu m'as l'air consentante. Alors ne t'inquiète pas, tu n'auras pas mal. Mais si ça peut te rassurer, je serai doux pour le début. », dit-il avant de l'embrasser de nouveau en baissant sa culotte pour la balancer à travers la pièce. « Mais rassure moi, ce sera pas ta première fois quand même ? », demanda-t-il pour se rassurer et surtout avant de commencer les choses sérieuses. En attendant sa réponse, il enleva son boxer. Il se mit à remordre le coup de la blanche avant de lui enlever le dernier bout de tissus sur son corps et qui cachait sa poitrine.
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
Pour Chimero, une fille aussi attirante que Kanon ne pouvait pas être vierge et même si cette pensée l'énervait un peu, il ne pouvait pas penser l'inverse : elle était trop parfaite pour que la mort lui ait envoyé une créature comme elle. Il n'était pas aussi stupide qu'il en avait l'air. Alors imaginez un peu la réaction de l'ours quand elle lui répondit que si, elle l'était. Contrairement à ce qu'elle pensait, personne ne s'était intéressé à elle alors elle ne cherchait pas à s'intéresser aux autres non plus. Cette révélation lui fit un peu comprendre la réaction de la blanche quand il l'avait surprise entrain de partir comme une voleuse : elle pensait qu'il allait faire la même chose. Heureusement pour elle, ou pas, avec lui, elle allait connaître le sentiment inverse. Celui de l'étouffement. Comment vous avez pu le comprendre, Chimero est très possessif envers ses affaires et il considérait Kanon comme un objet qui lui appartenait. Alors oui, elle allait être chouchoutée de façon indirect, quand il grognera quand une personne s'approchera d'elle, il allait la sauter matin, midi et soir et il allait mettre sa queue dans tous les orifices de la blanche pour lui faire découvrir tous les différents plaisir de la chair, mais d'un autre côté, cela voulait dire – limite – qu'elle n'aurait plus de liberté, plus de relations sociales. Elle allait disparaître du cœur des peu de personnes qui tenaient à elle pour n'appartenir qu'à lui. Mais vu ce qu'elle disait, cela n'allait – sans doute – pas la déranger.
Alors quand il entendit cela, alors qu'il était nu, son soldat se leva un peu plus et il afficha un sourire à moitié sadique et à moitié gagnant : finalement, il allait aussi être le premier à la sauter et vu sa mentalité, il allait être le seul. Il en fut tellement heureux qu'il remit un doigt dans son intimité, avant d'y remettre les deux derniers peu de temps après. Elle ne devait pas perdre cette sensation, cette chaleur avant qu'il n'entre en elle d'une autre façon. Il ne fut donc plus surpris par ses paroles, même s'il commençait à être énervé par elle. Elle ne comprenait donc pas à quel point il était possessif ? Elle n'avait jamais fait au nombre de fois qu'il avait grogné quand elle était sortie sans lui ou quand elle voulait lui emprunter un truc ? Elle était vraiment conne sur ce coup. Il continua quand même, titillant son petit bout de chair pour refaire venir les rougeurs sur son visage dû au plaisir montant qu'elle ressentait. Elle se prenait trop la tête. Il savait bien qu'une fille trop parfaite physiquement allait avoir des complications autre part. Il l'embrassa juste après ses paroles.
« Si tu me demandes d'aller moins vite dès que ça commence à faire mal, normalement non. Mais chaque fille réagit différemment. Donc je peux pas te dire exactement ce que tu vas ressentir au début. », dit-il en déposant un baiser sur son front, puis sur sa joue. « Mais je serai le plus doux possible. Je veux que tu sois accro à mon corps, pas que tu en ais peur. Alors compte sur moi pour prendre ton pied. », ajouta-t-il en léchant sa mâchoire avant de la mordiller un peu.
Tandis qu'il attaquait son cou, continuant toujours les soins à son petit bout de chair si sensible, il sourit en sentant ses doigts frôler son membre. À la base, c'était une partie sensible d'un corps masculin, mais à ce moment précis, il était 10 fois plus sensible : il était levé à son maximum, près à faire du bien à la blanche. Il attendait seulement qu'elle soit plus rassurée pour ne pas qu'elle ait mal. Oui, cet ours rustre pouvait faire preuve de délicatesse, même si ses attentions n'étaient pas nobles. Il fut agréablement surpris de son initiative et il recommençait à douter de sa virginité. Mais vu comment elle paniquait, il pensait que c'était juste le début de la dépendance. Commençant à remordre son cou, il s'arrêta quasiment aussitôt quand elle lui redemanda si elle allait avoir mal, au vu de la grosseur et de la longueur. Il sourit de nouveau, surtout quand il la vit cacher son visage par la gène. Il utilisa son museau pour enlever sa main et pour ramener son visage vers le sien et l'embrassa, cette fois-ci, sur la bouche.
« Tu vas juste plus aimer. Si j'y vais doucement, tu n'auras pas mal, mais tu auras plus de sensation. Il faut juste que tu te laisses aller, et surtout, n'hésite pas à me dire si je te fais mal, ok ? », dit-il en l'embrassa de nouveau, mais plus passionnément. Il voulait la détendre.
D'après son intimité, elle semblait bien plus que prête : il enleva donc ses doigts, se les léchant encore une fois avant d'y introduire doucement sa verge en elle. Il allait vraiment y aller par étape. Pour soulager sa douleur possible, il lui caressa la poitrine tout en l'embrassant. Pour le moment, il avait l'impression que c'était plus lui qui souffrait parce qu'il allait devoir y aller tout doucement.
Alors quand il entendit cela, alors qu'il était nu, son soldat se leva un peu plus et il afficha un sourire à moitié sadique et à moitié gagnant : finalement, il allait aussi être le premier à la sauter et vu sa mentalité, il allait être le seul. Il en fut tellement heureux qu'il remit un doigt dans son intimité, avant d'y remettre les deux derniers peu de temps après. Elle ne devait pas perdre cette sensation, cette chaleur avant qu'il n'entre en elle d'une autre façon. Il ne fut donc plus surpris par ses paroles, même s'il commençait à être énervé par elle. Elle ne comprenait donc pas à quel point il était possessif ? Elle n'avait jamais fait au nombre de fois qu'il avait grogné quand elle était sortie sans lui ou quand elle voulait lui emprunter un truc ? Elle était vraiment conne sur ce coup. Il continua quand même, titillant son petit bout de chair pour refaire venir les rougeurs sur son visage dû au plaisir montant qu'elle ressentait. Elle se prenait trop la tête. Il savait bien qu'une fille trop parfaite physiquement allait avoir des complications autre part. Il l'embrassa juste après ses paroles.
« Si tu me demandes d'aller moins vite dès que ça commence à faire mal, normalement non. Mais chaque fille réagit différemment. Donc je peux pas te dire exactement ce que tu vas ressentir au début. », dit-il en déposant un baiser sur son front, puis sur sa joue. « Mais je serai le plus doux possible. Je veux que tu sois accro à mon corps, pas que tu en ais peur. Alors compte sur moi pour prendre ton pied. », ajouta-t-il en léchant sa mâchoire avant de la mordiller un peu.
Tandis qu'il attaquait son cou, continuant toujours les soins à son petit bout de chair si sensible, il sourit en sentant ses doigts frôler son membre. À la base, c'était une partie sensible d'un corps masculin, mais à ce moment précis, il était 10 fois plus sensible : il était levé à son maximum, près à faire du bien à la blanche. Il attendait seulement qu'elle soit plus rassurée pour ne pas qu'elle ait mal. Oui, cet ours rustre pouvait faire preuve de délicatesse, même si ses attentions n'étaient pas nobles. Il fut agréablement surpris de son initiative et il recommençait à douter de sa virginité. Mais vu comment elle paniquait, il pensait que c'était juste le début de la dépendance. Commençant à remordre son cou, il s'arrêta quasiment aussitôt quand elle lui redemanda si elle allait avoir mal, au vu de la grosseur et de la longueur. Il sourit de nouveau, surtout quand il la vit cacher son visage par la gène. Il utilisa son museau pour enlever sa main et pour ramener son visage vers le sien et l'embrassa, cette fois-ci, sur la bouche.
« Tu vas juste plus aimer. Si j'y vais doucement, tu n'auras pas mal, mais tu auras plus de sensation. Il faut juste que tu te laisses aller, et surtout, n'hésite pas à me dire si je te fais mal, ok ? », dit-il en l'embrassa de nouveau, mais plus passionnément. Il voulait la détendre.
D'après son intimité, elle semblait bien plus que prête : il enleva donc ses doigts, se les léchant encore une fois avant d'y introduire doucement sa verge en elle. Il allait vraiment y aller par étape. Pour soulager sa douleur possible, il lui caressa la poitrine tout en l'embrassant. Pour le moment, il avait l'impression que c'était plus lui qui souffrait parce qu'il allait devoir y aller tout doucement.
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
Le corps de Kanon lui donnait de plus en plus envie. Rien que de voir ses rougeurs, sentir ses soupirs de plaisirs, les tremblements de son corps, il avait dû mal à se retenir. Pour le moment, il ne savait pas que son envie de la garder, de la protéger c'était transformé en autre chose : son envie d'avoir son corps pour lui tout seul c'était transformé en une envie de l'avoir elle tout entière. Autant physiquement que mentalement. Mais pour le moment, il ne le savait pas. Et ses hormones, encore sous l'action de la transformation, n'allait pas l'aider à comprendre. Alors pour le moment, il était seulement hypnotisé par son corps. Et les paroles de la blanche n'allait pas l'aider non plus : elle venait de lui avouer qu'elle était encore vierge. La seule chose qu'il ne fallait pas lui dire quand il était dans cet état-là. Oui, la possessivité de Chimero faisait qu'il se sentait encore plus « maître » d'elle vu qu'il allait passer sur elle – ou en elle comme vous voulez – en premier et il comptait bien être le dernier aussi. Cette demoiselle avait un corps trop parfait pour qu'il puisse la laisser partir. Ce fut donc aussi pour cette raison qu'il n'attendit pas pour y remettre ses doigts. Il avait envie de la prendre, de lui faire découvrir les joies de la luxure. Mais il ne voulait pas non plus la faire souffrir : il voulait qu'elle soit accros aux joies de la luxure avec lui, qu'elle devienne dépendante de son corps, de sa virilité. Il voulait qu'elle réclame sa dose chaque jour. Assez malsain, non ? Certes, mais c'était son souhait.
Alors qu'il la rassurait, tout en s'occupant de son petit bout de chair, il lui fit des baisers. Au début, ils étaient plus sur la joue pour la rassurer, lui montrer qu'elle n'avait pas à avoir peur. Il lui disait aussi pour la rassurer que, vu comment son corps réagissait à ses caresses, elle n'aurait pas mal, même si son membre lui semblait impressionnant. Il allait aussi y aller doucement, pour ne pas traumatiser son corps, ni elle par la même occasion. Ce n'était pas son but. Il embrassa donc sa joue, puis mordit doucement sa mâchoire. En la mordant, il sentit des soupirs de plaisirs en plus de ses paroles qui lui indiquaient qu'il était sur la bonne voie pour qu'elle prenne du plaisir. Il ne répondit pas avec des mots, mais plutôt avec des gestes : il la pénétra avec deux doigts en les agitant à l'intérieur tandis que le dernier, lui, s'occupait du petit bout de chair qui sensible. Puis, elle se mit à caresser son corps pour s'arrêter à la partie qui allait bientôt entrer en elle. Elle le caressa doucement avant de rougir. Pour la calmer de nouveau, il l'embrassa, mais cette fois-ci sur la bouche. Il lui fit un long et langoureux baiser pour lui dire qu'elle n'avait pas à s'inquiéter pour tout ça : pour elle, il allait être doux. Peu de temps après, il enleva ses doigts, les lécha avant de s'introduire en elle tout doucement.
Pour le moment, il n'y était pas entré en entier. Il ne voulait pas qu'elle ait mal, il y allait donc très doucement. Pour la détendre un peu plus, il la caressa et l'embrassa une seconde fois. De son expérience, il savait très bien que cela pouvait être difficile pour une fille. Il commença les vas et viens, lentement en s'y introduisant un peu plus à tous les deux ou trois vas et viens. De cette façon, elle prenait aussi un peu de plaisir. Toutefois, pour calmer son envie d'y aller comme un bourrin, il stoppa les baisers pour commencer à mordre son cou. Il alternait les morsures et les coups de langue pour calmer la douleur du cou. Il savait très bien qu'il pouvait être brutal avec ses partenaires.
« Si tu ne ressens pas de douleurs, de brûlures, c'est que tout va bien Kanon. Et si tu veux, tu peux me griffer si ça te fais mal. », dit-il en lui mordant la joue.
Il continua ses mouvements lents, guettant le moindre signe de douleur. Du peu qu'il connaissait d'elle, elle serait capable de dire qu'elle n'avait pas mal alors que si.
Alors qu'il la rassurait, tout en s'occupant de son petit bout de chair, il lui fit des baisers. Au début, ils étaient plus sur la joue pour la rassurer, lui montrer qu'elle n'avait pas à avoir peur. Il lui disait aussi pour la rassurer que, vu comment son corps réagissait à ses caresses, elle n'aurait pas mal, même si son membre lui semblait impressionnant. Il allait aussi y aller doucement, pour ne pas traumatiser son corps, ni elle par la même occasion. Ce n'était pas son but. Il embrassa donc sa joue, puis mordit doucement sa mâchoire. En la mordant, il sentit des soupirs de plaisirs en plus de ses paroles qui lui indiquaient qu'il était sur la bonne voie pour qu'elle prenne du plaisir. Il ne répondit pas avec des mots, mais plutôt avec des gestes : il la pénétra avec deux doigts en les agitant à l'intérieur tandis que le dernier, lui, s'occupait du petit bout de chair qui sensible. Puis, elle se mit à caresser son corps pour s'arrêter à la partie qui allait bientôt entrer en elle. Elle le caressa doucement avant de rougir. Pour la calmer de nouveau, il l'embrassa, mais cette fois-ci sur la bouche. Il lui fit un long et langoureux baiser pour lui dire qu'elle n'avait pas à s'inquiéter pour tout ça : pour elle, il allait être doux. Peu de temps après, il enleva ses doigts, les lécha avant de s'introduire en elle tout doucement.
Pour le moment, il n'y était pas entré en entier. Il ne voulait pas qu'elle ait mal, il y allait donc très doucement. Pour la détendre un peu plus, il la caressa et l'embrassa une seconde fois. De son expérience, il savait très bien que cela pouvait être difficile pour une fille. Il commença les vas et viens, lentement en s'y introduisant un peu plus à tous les deux ou trois vas et viens. De cette façon, elle prenait aussi un peu de plaisir. Toutefois, pour calmer son envie d'y aller comme un bourrin, il stoppa les baisers pour commencer à mordre son cou. Il alternait les morsures et les coups de langue pour calmer la douleur du cou. Il savait très bien qu'il pouvait être brutal avec ses partenaires.
« Si tu ne ressens pas de douleurs, de brûlures, c'est que tout va bien Kanon. Et si tu veux, tu peux me griffer si ça te fais mal. », dit-il en lui mordant la joue.
Il continua ses mouvements lents, guettant le moindre signe de douleur. Du peu qu'il connaissait d'elle, elle serait capable de dire qu'elle n'avait pas mal alors que si.
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
S'il y avait bien une chose que Chimero comprenait, c'était qu'en matière de sexe, les hommes et les femmes étaient vraiment différents, surtout quand ça concernait la première fois. Pour eux, c'était une chose aussi... « commune » que de se branler, même s'il avait toujours le petit stresse de la première, doutant de ses performances, de savoir si la partenaire allait aimer, ou s'ennuyer à mort. Ce petit stresse disparaissait dès l'entrée du membre dans l'intimité de la belle : ils vivaient avec leurs hormones et quand une belle créature demandait leur corps, ils ne réfléchissaient plus trop jusqu'à la fin. Pour les filles, c'était une tout autre histoire : déjà parce qu'elles ne se branlaient pas autant que les hommes. Elle n'avait pas une bonne vue sur cette partie du corps que les hommes et leur première fois était une véritable expérience. On pouvait comparer leur intimité à une bouteille avec bouchon: quand vous prenez une bouteille pour la première fois, vous voyez bien les « crans » qui prouvent que personne ne l'a ouverte avant. Et quand vous cassez ces crans, même si vous refermez la bouteille, les crans ne peuvent pas être remis comme avant. Bah c'était la même chose avec les femmes : elles avaient aussi « des crans » qui faisaient que leur première fois pouvait être assez douloureuse si le partenaire ne faisait pas attention. S'ils y allaient trop fort, cette première pénétration pouvait traumatisé le corps de la jeune femme. Et c'était pour ces raisons qu'il y allait doucement avec elle.
Les caresses étaient là pour son plaisir, pour réveiller son corps, les baisers étaient là pour leurs plaisirs à tous les deux et les morsures, pour le plaisir personnel de l'ours. C'était sa façon à lui de se contrôler : lui qui aimait le sexe brutal, il se devait être tendre, très tendre avec elle. Tandis qu'il ralentissait ses pénétrations, profitant de cette lenteur pour aller un peu plus en elle, il balançait cette douleur par les morsures dans le cou. S'il avait des crocs d'ours, ou pire, des crocs de vampires, le lit serait teinté du rouge de son sang. C'était la seule façon qu'il avait trouvé pour lui faire plaisir. Alors qu'il lui demandait de le griffer, de le taper s'il lui faisait mal, il tourna la tête pour voir son visage, pour lire le plaisir sur ce visage angélique. À la place, il vit des larmes sur sa joue. Il se stoppa aussitôt sans pour autant sortir d'elle. Il l'embrassa langoureusement avant d'essuyer ses joues, grognant à moitié.
« Pourquoi tu mens ? Pourquoi tu me dis que ça va alors que tu pleures ? », demanda-t-il un peu vexé de voir qu'elle ne disait rien alors qu'il voulait seulement lui faire plaisir. « Qu'est-ce qui te fait sourire comme ça ? Tu aimes souffrir ? », ajCaouta-t-il, un peu intrigué. Il ne comprenait pas ces deux réactions contradictoires.
Alors qu'il était toujours sur elle, il s'occupa un peu plus de son corps, mordant sa généreuse poitrine. Cette même poitrine qui avait été la raison de sa motivation pour la sauver de ce vampire. Tandis qu'il mordait sa poitrine, il reprit lentement ses vas et viens en elle. Même s'il ne comprenait pas ses larmes, son sourire le motiva à continuer, surtout que son corps commençait à suivre le sien. Suçant quelques secondes ce petit bout de chair qui réagissait, au niveau de sa poitrine, il remonta jusqu'à sa mâchoire pour revenir l'embrasser langoureusement. Chaque parcelle de son corps avait un goût sucré. Il redescendit au niveau de sa mâchoire pour remettre sa tête dans son cou. Maintenant qu'une partie était bien rouge, il allait laisser sa marque de l'autre côté du cou. De cette façon, elle allait être entièrement marqué par lui.
Depuis qu'elle était entrée ici, c'était la première fois qu'il la marquait de cette façon. Ainsi, personne allait pouvoir lui enlever son jouet. Oui, même si pour le moment, pour lui, elle n'était qu'un jouet, elle avait la place du meilleur jouet. Et quand on appartenait à ses affaires, il en prenait très grand soin. Il surveillait bien que personne d'autre ne puisse jouer avec ses affaires. Elle qui avait vécu dans le reniement, dans les ténèbres, l'ironie faisait que c'était dans les ténèbres qu'elle allait vivre dans la lumière.
Les caresses étaient là pour son plaisir, pour réveiller son corps, les baisers étaient là pour leurs plaisirs à tous les deux et les morsures, pour le plaisir personnel de l'ours. C'était sa façon à lui de se contrôler : lui qui aimait le sexe brutal, il se devait être tendre, très tendre avec elle. Tandis qu'il ralentissait ses pénétrations, profitant de cette lenteur pour aller un peu plus en elle, il balançait cette douleur par les morsures dans le cou. S'il avait des crocs d'ours, ou pire, des crocs de vampires, le lit serait teinté du rouge de son sang. C'était la seule façon qu'il avait trouvé pour lui faire plaisir. Alors qu'il lui demandait de le griffer, de le taper s'il lui faisait mal, il tourna la tête pour voir son visage, pour lire le plaisir sur ce visage angélique. À la place, il vit des larmes sur sa joue. Il se stoppa aussitôt sans pour autant sortir d'elle. Il l'embrassa langoureusement avant d'essuyer ses joues, grognant à moitié.
« Pourquoi tu mens ? Pourquoi tu me dis que ça va alors que tu pleures ? », demanda-t-il un peu vexé de voir qu'elle ne disait rien alors qu'il voulait seulement lui faire plaisir. « Qu'est-ce qui te fait sourire comme ça ? Tu aimes souffrir ? », ajCaouta-t-il, un peu intrigué. Il ne comprenait pas ces deux réactions contradictoires.
Alors qu'il était toujours sur elle, il s'occupa un peu plus de son corps, mordant sa généreuse poitrine. Cette même poitrine qui avait été la raison de sa motivation pour la sauver de ce vampire. Tandis qu'il mordait sa poitrine, il reprit lentement ses vas et viens en elle. Même s'il ne comprenait pas ses larmes, son sourire le motiva à continuer, surtout que son corps commençait à suivre le sien. Suçant quelques secondes ce petit bout de chair qui réagissait, au niveau de sa poitrine, il remonta jusqu'à sa mâchoire pour revenir l'embrasser langoureusement. Chaque parcelle de son corps avait un goût sucré. Il redescendit au niveau de sa mâchoire pour remettre sa tête dans son cou. Maintenant qu'une partie était bien rouge, il allait laisser sa marque de l'autre côté du cou. De cette façon, elle allait être entièrement marqué par lui.
Depuis qu'elle était entrée ici, c'était la première fois qu'il la marquait de cette façon. Ainsi, personne allait pouvoir lui enlever son jouet. Oui, même si pour le moment, pour lui, elle n'était qu'un jouet, elle avait la place du meilleur jouet. Et quand on appartenait à ses affaires, il en prenait très grand soin. Il surveillait bien que personne d'autre ne puisse jouer avec ses affaires. Elle qui avait vécu dans le reniement, dans les ténèbres, l'ironie faisait que c'était dans les ténèbres qu'elle allait vivre dans la lumière.
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
Le corps de la blanche avait le don de mettre en joie le corps du brun. Il savait très bien quand quelque chose lui plaisait et pour le moment, c’était le corps de Kanon qui le rendait heureux : il était le premier homme à entrer en et à lui faire autant plaisir. Du moins, au niveau du plaisir, il en était plus très sûr quand il remarqua que ses yeux brillaient et que des larmes coulaient sur sa joue. Elle se disait heureuse et pourtant, elle pleurait. Alors il stoppa un peu ses vas et viens pour recommencer à la caresser. Ou du moins, à reprendre les morsures. Il abandonna son cou pour l’embrasser. Il était vrai que si ce qu’il ressentait pour Kanon était que de l’attirance physique, il pourrait simplement la baiser, la remplir et la prendre comme elle et surtout, comme il le voulait, mais il voulait plus. Il voulait la rendre dépendante de son corps, il voulait le contact de ses lèvres sur les siennes, de son corps sur le sien, … il voulait le beurre et l’argent du beurre.
Ce fut donc pour cette raison qu’il abandonna la pénétration pour l’embrasser langoureusement, tout en essuyant ses larmes, en lui demandant les raisons de ces larmes, avant de reprendre doucement tout en s’occupant de sa poitrine. Plus il s’occupait d’elle, plus il l’entendait gémir doucement et plus il avait envie d’y aller plus fort. L’excitation montait de plus en plus mais il savait bien qu’il devait y aller doucement, pour elle. S’attaquant à sa mâchoire, ses lèvres, son cou, chaque parcelle de son corps avait un goût qui plaisait à l’ours. Elle était devenue son jouet favori et il allait s’occuper d’elle comme il le devait. Il ne supportait pas qu’un jouet se sente seule, surtout pour ce genre d’activité. La réponse de la demoiselle surprit un peu Chimero : comment pouvait-on pleure de joie ? Il ne comprenait pas le concept, mais d’un autre côté, il n’y avait que les larmes qui montraient de la souffrance… juste ça. Le reste de son corps montrait le contraire, surtout son corps en lui-même qui bougeait au rythme du sien pour mieux ressentir les sensations.
« C’est… bizarre. C’est une chose normale dans ton monde ou c’est juste toi qui fait ça ou moi qui ne comprend pas ? », demanda-t-il, en arquant un sourcil.
Mais vu qu’elle semblait heureuse, il continua en lui donnant un second baiser. Il avait envie de la rendre accro à lui, mais il semblait bien se faire avoir par son propre jeu : plus elle le laissait faire, goûtant à son corps comme il le voulait, plus il se rendait compte qu’il était délicieux. Dans tous les sens du terme. Sa mâchoire, ses lèvres, sa poitrine, son ventre, … chacune des parties du corps était un pur délice pour ce garçon. Et son membre ne disait pas le contraire. Kanon pouvait sentir qu’il grossissait de quelques millimètres à chaque fois en elle. Le corps de l’ours répondait positivement à celui de l’humaine.
Puis, alors qu’il ne s’y attendait pas, la blanche s’accrocha à son cou avec ses bras et au bas de son dos avec ses jambes avant de lui murmurer à l’oreille qu’il pouvait y aller plus fort. A ses mots, il ne se rendait pas compte de ce qu’elle lui demandait : si elle demandait à aller seulement un peu plus fort, elle devait bien le préciser. A ses mots, il abandonna rapidement son cou pour l’embrasser sauvagement et donner un coup de rein puissant. Il n’y avait pas été de main morte, mais rien de quoi la faire hurler de douleur… quoique. Vu que c’était sa première fois, il ne savait pas. Il en redonna un second avant d’interrompre le baiser et de la regarder droit dans les yeux. Le sourire de sa belle était assez provocateur, mais il voulait être sûr avant de faire quoi que ce soit.
« Tu es sûr de vouloir ça ? », demanda-t-il, le sourire aux lèvres. « Je te laisse une chance pour te rétracter. J’ai pas envie de te faire mal. Je veux que tu ais tout le temps faim de mon corps et de ma queue, mais si tu assumes, je vais vraiment y aller plus fort. », préféra-t-il avertir.
Pour lui prouver son envie sauvage de la prendre, il l’embrassa de nouveau, avec encore plus de passion et d’envie. Sans même s’en rendre compte, ni d’attendre sa réponse, il commença à accentuer ses coups de reins à son rythme.
Ce fut donc pour cette raison qu’il abandonna la pénétration pour l’embrasser langoureusement, tout en essuyant ses larmes, en lui demandant les raisons de ces larmes, avant de reprendre doucement tout en s’occupant de sa poitrine. Plus il s’occupait d’elle, plus il l’entendait gémir doucement et plus il avait envie d’y aller plus fort. L’excitation montait de plus en plus mais il savait bien qu’il devait y aller doucement, pour elle. S’attaquant à sa mâchoire, ses lèvres, son cou, chaque parcelle de son corps avait un goût qui plaisait à l’ours. Elle était devenue son jouet favori et il allait s’occuper d’elle comme il le devait. Il ne supportait pas qu’un jouet se sente seule, surtout pour ce genre d’activité. La réponse de la demoiselle surprit un peu Chimero : comment pouvait-on pleure de joie ? Il ne comprenait pas le concept, mais d’un autre côté, il n’y avait que les larmes qui montraient de la souffrance… juste ça. Le reste de son corps montrait le contraire, surtout son corps en lui-même qui bougeait au rythme du sien pour mieux ressentir les sensations.
« C’est… bizarre. C’est une chose normale dans ton monde ou c’est juste toi qui fait ça ou moi qui ne comprend pas ? », demanda-t-il, en arquant un sourcil.
Mais vu qu’elle semblait heureuse, il continua en lui donnant un second baiser. Il avait envie de la rendre accro à lui, mais il semblait bien se faire avoir par son propre jeu : plus elle le laissait faire, goûtant à son corps comme il le voulait, plus il se rendait compte qu’il était délicieux. Dans tous les sens du terme. Sa mâchoire, ses lèvres, sa poitrine, son ventre, … chacune des parties du corps était un pur délice pour ce garçon. Et son membre ne disait pas le contraire. Kanon pouvait sentir qu’il grossissait de quelques millimètres à chaque fois en elle. Le corps de l’ours répondait positivement à celui de l’humaine.
Puis, alors qu’il ne s’y attendait pas, la blanche s’accrocha à son cou avec ses bras et au bas de son dos avec ses jambes avant de lui murmurer à l’oreille qu’il pouvait y aller plus fort. A ses mots, il ne se rendait pas compte de ce qu’elle lui demandait : si elle demandait à aller seulement un peu plus fort, elle devait bien le préciser. A ses mots, il abandonna rapidement son cou pour l’embrasser sauvagement et donner un coup de rein puissant. Il n’y avait pas été de main morte, mais rien de quoi la faire hurler de douleur… quoique. Vu que c’était sa première fois, il ne savait pas. Il en redonna un second avant d’interrompre le baiser et de la regarder droit dans les yeux. Le sourire de sa belle était assez provocateur, mais il voulait être sûr avant de faire quoi que ce soit.
« Tu es sûr de vouloir ça ? », demanda-t-il, le sourire aux lèvres. « Je te laisse une chance pour te rétracter. J’ai pas envie de te faire mal. Je veux que tu ais tout le temps faim de mon corps et de ma queue, mais si tu assumes, je vais vraiment y aller plus fort. », préféra-t-il avertir.
Pour lui prouver son envie sauvage de la prendre, il l’embrassa de nouveau, avec encore plus de passion et d’envie. Sans même s’en rendre compte, ni d’attendre sa réponse, il commença à accentuer ses coups de reins à son rythme.
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Re: La belle et la bête ! | Feat Chimero. [RP H]
La belle et la bête.
Le rêve de la plupart des filles était de rencontré un homme aussi beau, aussi fort, aussi romantique que les princes dans les contes de fée, ou à notre époque, dans les films à l’eau de rose. Malheureusement, Kanon, avec Chimero, était plutôt tombé sur le vilain de l’histoire, celui qui volait la gentille princesse à son prince pour l’enfermer dans son cachot pour la brutaliser. Bon, ici, Kanon n’était pas enfermée dans un cachot et encore moins brutalisé, du moins, pas dans le sens que l’on pouvait imaginer : il était en train de remettre les choses au clair avec Kanon sur le fait qu’elle lui appartenait. Elle ne semblait pas comprendre que depuis le jour où elle était entrée dans cette maison, elle en était devenue une partie intégrante. Et Chimero lui remettait les idées en place en la prenant « sauvagement » sur le lit de la demoiselle, pour lui dire que tout lui appartenait ici, même elle. Toutefois, il n’était pas aussi brutal qu’on pouvait se l’imaginer : l’ours avait envie qu’elle devienne comme une esclave sexuelle, qu’elle ait envie de lui tout le temps, qu’elle réponde à ses désirs les plus primitifs. Pour cette raison, il la couvrait de baisers et y allait doucement avec elle.
Mais même en y allant doucement, elle se mettait à pleurer. Il ne comprenait pas sa réaction et quand il lui demanda explicitement, elle lui répondit que c’était un peu des trois : c’était elle, c’était une chose normale, mais surtout, c’était qu’il n’avait pas compris. Les larmes n’étaient pas signes d’un sentiment négatif, mais celui d’un sentiment fort, qu’il soit positif ou négatif. Comme exemple, elle lui parla des pleures d’une mère quand elle voit son enfant naître et qu’elle le porte dans ses bras pour la première fois. Il ne comprenait pas l’exemple, mais il était vrai qu’il voyait souvent sa mère pleurer quand il réussissait des choses pour la première fois : quand il avait appris à tuer son premier animal, quand il avait ramené une fille pour la première fois chez eux, … Ils se disaient donc qu’elle devait être juste aussi émotive que sa mère. Mais l’exemple de la mère et de son enfant lui fit comprendre un truc : si elle était aussi émotive, alors il lui ferait un enfant. De cette façon, elle comprendrait qu’elle lui appartenait.
« Mouais… t’es émotive quoi. », dit-il sans tact. « Mais sache qu’avec moi, tu auras droit à une dizaine d’enfants et je m’occuperai de vous tous comme il le faudra ! », ajouta-t-il avant de reprendre ce qu’il faisait.
Il continuait donc de l’embrasser, la marquant dans le cou comme un sauvage tout en entrant en elle comme elle le voulait, du moins, comme il pensait qu’elle le voulait parce qu’il fut agréablement surpris par sa demande : elle voulait qu’il y aille plus fort, plus violemment. Elle voulait qu’il soit lui-même. Même s’il demandait une dernière fois si elle en était sûre, il entra en elle plus violemment. Ses vas et viens étaient plus lent, mais plus sec et brutal. Cette lenteur ne dura pas longtemps : la petite Kanon venait de commencer à le griffer dans le dos, chose qui accentuait ses instincts bestiaux. Il aimait dominer, mais voir un petit chaton sortir ses griffes rien que pour lui, ça lui faisait encore plus plaisir. Même s’il sentait qu’elle cherchait juste à s’accrocher.
L’embrassant avec brutalité, il continua d’entrer en elle comme elle le désirait, même s’il commençait à avoir des crampes. Bah oui, à force de retenir des muscles pour ne pas faire souffrir sa partenaire, il commençait à avoir le même genre de crampe que, quand on était crispé dans un manège. Mais il s’en fichait, le bonheur de Kanon avant tout, même s’il commençait à légèrement grogner de douleur. Il préférait souffrir que de la rendre insatisfaite. Elle en avait de la chance !
Mais même en y allant doucement, elle se mettait à pleurer. Il ne comprenait pas sa réaction et quand il lui demanda explicitement, elle lui répondit que c’était un peu des trois : c’était elle, c’était une chose normale, mais surtout, c’était qu’il n’avait pas compris. Les larmes n’étaient pas signes d’un sentiment négatif, mais celui d’un sentiment fort, qu’il soit positif ou négatif. Comme exemple, elle lui parla des pleures d’une mère quand elle voit son enfant naître et qu’elle le porte dans ses bras pour la première fois. Il ne comprenait pas l’exemple, mais il était vrai qu’il voyait souvent sa mère pleurer quand il réussissait des choses pour la première fois : quand il avait appris à tuer son premier animal, quand il avait ramené une fille pour la première fois chez eux, … Ils se disaient donc qu’elle devait être juste aussi émotive que sa mère. Mais l’exemple de la mère et de son enfant lui fit comprendre un truc : si elle était aussi émotive, alors il lui ferait un enfant. De cette façon, elle comprendrait qu’elle lui appartenait.
« Mouais… t’es émotive quoi. », dit-il sans tact. « Mais sache qu’avec moi, tu auras droit à une dizaine d’enfants et je m’occuperai de vous tous comme il le faudra ! », ajouta-t-il avant de reprendre ce qu’il faisait.
Il continuait donc de l’embrasser, la marquant dans le cou comme un sauvage tout en entrant en elle comme elle le voulait, du moins, comme il pensait qu’elle le voulait parce qu’il fut agréablement surpris par sa demande : elle voulait qu’il y aille plus fort, plus violemment. Elle voulait qu’il soit lui-même. Même s’il demandait une dernière fois si elle en était sûre, il entra en elle plus violemment. Ses vas et viens étaient plus lent, mais plus sec et brutal. Cette lenteur ne dura pas longtemps : la petite Kanon venait de commencer à le griffer dans le dos, chose qui accentuait ses instincts bestiaux. Il aimait dominer, mais voir un petit chaton sortir ses griffes rien que pour lui, ça lui faisait encore plus plaisir. Même s’il sentait qu’elle cherchait juste à s’accrocher.
L’embrassant avec brutalité, il continua d’entrer en elle comme elle le désirait, même s’il commençait à avoir des crampes. Bah oui, à force de retenir des muscles pour ne pas faire souffrir sa partenaire, il commençait à avoir le même genre de crampe que, quand on était crispé dans un manège. Mais il s’en fichait, le bonheur de Kanon avant tout, même s’il commençait à légèrement grogner de douleur. Il préférait souffrir que de la rendre insatisfaite. Elle en avait de la chance !
- Chimero Assawanon
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- Kanon L.Rhega
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