Comme chien et chat... [HARD]
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Comme chien et chat... [HARD]
Lorsque le soleil se couche sur Little Vegas, le monde se lève. Seul dans sa chambre, Eric voit l’obscurité gagner la ville par sa large fenêtre… Il soupire en refermant son livre. Il entendait déjà dans le couloir s’agiter sa « fratrie ». Comme toutes les nuits, ils sortiraient à Little Vegas, avec probablement un crochet quelque part dans la soirée vers la Place des Pourris pour s’amuser un peu… Avec une ou deux goules pour les protéger, bien sûr. Toujours. Pas tellement son délire. Généralement, il restait au château. Mais cette nuit… Il ouvrit sa fenêtre et s’appuya au rebord. Cette nuit était belle. La lune était rousse, grande et belle. Eric allait sortir. Et sortir en grande pompe, qui pis est.
Il se vêtit de la façon la plus extravagante possible. Une chemise, une cravate lavallière, un pantalon en soie, son épée évidemment au côté, son coupe-papier fétiche caché dans sa botte et surtout, surtout, une immense cape au col relevé au style totalement « vampire » qui traînait au sol et voletait à chaque brise. C’était grandiloquent, un peu ridicule, mais ça se couplait bien à sa gigantesque crinière noire, qui semblait tout autant sorti d’un roman de vampire.
Il sortit donc de sa chambre, échangea quelques mots acerbes avec le reste de sa famille et les seconda dans la sortie de château. Etant donné qu’ils prirent la voiture, une des seules de la ville, il se contenta, le cœur léger, d’une calèche. Etant un gros ringard grandiloquent, Eric aime les calèches. Les voitures, c’est… vulgaire ? Oui, vulgaire, c’est le mot. Il descendit à White Chapel, le quartier le plus dangereux pour un jeune vampire solitaire. Et c’était ça qu’Eric recherchait. Le danger. L’inconnu. Une lanière à bouton retenait son épée dans son fourreau. Si un méchant venait à lui sauter dessus depuis les ombres, il serait encore plus désavantageux. Il frissonna. Moitié à cause du froid, moitié grâce à cette illusion de danger.
Il marcha sans but véritable, dans les rues boueuses à peine pavées. Il laissa ses jambes le guider. Il arpenta Sesame Street, gloussant sans raison en voyant des clients éméchés se faire virer des cabarets, et continua à marcher, humant l’air vicié de la nuit dans les quartiers sombres de la Cité des Ombres. Soudain, la cathédrale St-Jack s’invita dans son champ de vision. Il resta un moment ou deux devant l’édifice, la tête tournée vers les tours, les poings vissés sur les hanches, en se balançant d’avant en arrière. Il paraît que les bonnes sœurs n’apprécient guère les vampires… Ca faisait longtemps qu’il n’y s’y était pas rendu.
Avec un sourire, il se remit en marche et poussa les lourdes portes du lieu saint. L’endroit était plein. On se serait cru dans Soleil Vert, en moins grave. Des miséreux s’étaient établis là pour la nuit. Assis ou allongés par terre ou contre les murs, ils le regardaient, entre peur et mépris. Très aimable, Eric leur adresse un signe de tête amical avant de le dépasser. Il vit les officiels s’entretenir entre eux en le désignant discrètement du doigt. Un Vampire, un Noble qui pis est, à St-Jack, c’est quelque chose de rare, et ils ne savaient comment réagir.
Debout comme un poireau au milieu du gigantesque hall gotique, attendant de savoir ce qui allait advenir de lui en observant les vitraux. C’était beau. Pas tellement biblique, très glauque et torturé, mais ça lui plaisait bien. Et puis quelque chose lui tomba sur la tête. Il passa sa main sur le dessus de ses cheveux. De la poussière ? Il leva les yeux vers le haut plafond, juste à temps pour se prendre un nouveau trait, léger mais très pénible, de sable/poussière. En s’essuyant, il souriait. Les étages supérieurs… En voilà une idée pour passer la nuit ! Les très réputés étages supérieurs de St-Jack.
Ni une, ni deux, il alla s’adresser à une des nonnes qui parlaient dans son dos quelques instants auparavant. « Je voudrais monter, je vous prie. » Enonça-t-il d’une voix à la douce, calme, autoritaire et puissance. La pauvre semblait confuse… Mais avait-elle seulement le choix ? Elle le mena derrière l’autel, ou l’accès aux étages était assuré par un escalier en colimaçon assez étroit. Plus il montait, la fille sur ses talons, plus l’odeur se précisait. Ca sentait le sexe, de plus en plus fort, et il souriait de plus en plus.
Il fut accueillit par une nouvelle nonne, celle-là beaucoup plus intéressante… Bottes en latex, avec une tenue qui ne cachait que ce qui devait l’être… Le seul truc qui l’identifiait comme une religieuse était sa croix et son genre de coiffe. D’autant qu’elle tenait un martinet. L’image fit rire Eric tout bas. Mais la dame fit son travail et lui indiqua le fonctionnement de l’endroit. Un bordel BDSM à la gloire de Dieu, comme le disaient les rumeurs. Pourquoi pas. Et certainement qu’ils devaient le tenir pour une créature du diable, ou quelque chose du genre. Mais un client est un client, après tout !
Il s’installa dans un coin du salon, s’affalant dans un fauteuil un poil moisi juste en-dessous d’un Christ crucifié géant… Avec une gag ball. Ouais. Bon. Limite malsain, comme imagerie, hein ! Quoi qu’il en soit, Eric prit un peu le temps de regarder autour de lui, observant les filles… Elles étaient toutes charmantes, certainement, mais il avait envie de quelque chose… D’exceptionnel. Et il le fit savoir à la maquerelle en latex et cuir. Elle ne lui répondit qu’un nom « la nonne », et qu’elle allait la chercher. La nonne ? Y’avait que ça, des nonnes, ici, c’est pas vraiment précis ! Agacé, contrarié, Eric repartit s’asseoir, sortant une flasque d’alcool de sa cape pour en boire une gorgée et attendre que son attente soit adressée.
Il se vêtit de la façon la plus extravagante possible. Une chemise, une cravate lavallière, un pantalon en soie, son épée évidemment au côté, son coupe-papier fétiche caché dans sa botte et surtout, surtout, une immense cape au col relevé au style totalement « vampire » qui traînait au sol et voletait à chaque brise. C’était grandiloquent, un peu ridicule, mais ça se couplait bien à sa gigantesque crinière noire, qui semblait tout autant sorti d’un roman de vampire.
Il sortit donc de sa chambre, échangea quelques mots acerbes avec le reste de sa famille et les seconda dans la sortie de château. Etant donné qu’ils prirent la voiture, une des seules de la ville, il se contenta, le cœur léger, d’une calèche. Etant un gros ringard grandiloquent, Eric aime les calèches. Les voitures, c’est… vulgaire ? Oui, vulgaire, c’est le mot. Il descendit à White Chapel, le quartier le plus dangereux pour un jeune vampire solitaire. Et c’était ça qu’Eric recherchait. Le danger. L’inconnu. Une lanière à bouton retenait son épée dans son fourreau. Si un méchant venait à lui sauter dessus depuis les ombres, il serait encore plus désavantageux. Il frissonna. Moitié à cause du froid, moitié grâce à cette illusion de danger.
Il marcha sans but véritable, dans les rues boueuses à peine pavées. Il laissa ses jambes le guider. Il arpenta Sesame Street, gloussant sans raison en voyant des clients éméchés se faire virer des cabarets, et continua à marcher, humant l’air vicié de la nuit dans les quartiers sombres de la Cité des Ombres. Soudain, la cathédrale St-Jack s’invita dans son champ de vision. Il resta un moment ou deux devant l’édifice, la tête tournée vers les tours, les poings vissés sur les hanches, en se balançant d’avant en arrière. Il paraît que les bonnes sœurs n’apprécient guère les vampires… Ca faisait longtemps qu’il n’y s’y était pas rendu.
Avec un sourire, il se remit en marche et poussa les lourdes portes du lieu saint. L’endroit était plein. On se serait cru dans Soleil Vert, en moins grave. Des miséreux s’étaient établis là pour la nuit. Assis ou allongés par terre ou contre les murs, ils le regardaient, entre peur et mépris. Très aimable, Eric leur adresse un signe de tête amical avant de le dépasser. Il vit les officiels s’entretenir entre eux en le désignant discrètement du doigt. Un Vampire, un Noble qui pis est, à St-Jack, c’est quelque chose de rare, et ils ne savaient comment réagir.
Debout comme un poireau au milieu du gigantesque hall gotique, attendant de savoir ce qui allait advenir de lui en observant les vitraux. C’était beau. Pas tellement biblique, très glauque et torturé, mais ça lui plaisait bien. Et puis quelque chose lui tomba sur la tête. Il passa sa main sur le dessus de ses cheveux. De la poussière ? Il leva les yeux vers le haut plafond, juste à temps pour se prendre un nouveau trait, léger mais très pénible, de sable/poussière. En s’essuyant, il souriait. Les étages supérieurs… En voilà une idée pour passer la nuit ! Les très réputés étages supérieurs de St-Jack.
Ni une, ni deux, il alla s’adresser à une des nonnes qui parlaient dans son dos quelques instants auparavant. « Je voudrais monter, je vous prie. » Enonça-t-il d’une voix à la douce, calme, autoritaire et puissance. La pauvre semblait confuse… Mais avait-elle seulement le choix ? Elle le mena derrière l’autel, ou l’accès aux étages était assuré par un escalier en colimaçon assez étroit. Plus il montait, la fille sur ses talons, plus l’odeur se précisait. Ca sentait le sexe, de plus en plus fort, et il souriait de plus en plus.
Il fut accueillit par une nouvelle nonne, celle-là beaucoup plus intéressante… Bottes en latex, avec une tenue qui ne cachait que ce qui devait l’être… Le seul truc qui l’identifiait comme une religieuse était sa croix et son genre de coiffe. D’autant qu’elle tenait un martinet. L’image fit rire Eric tout bas. Mais la dame fit son travail et lui indiqua le fonctionnement de l’endroit. Un bordel BDSM à la gloire de Dieu, comme le disaient les rumeurs. Pourquoi pas. Et certainement qu’ils devaient le tenir pour une créature du diable, ou quelque chose du genre. Mais un client est un client, après tout !
Il s’installa dans un coin du salon, s’affalant dans un fauteuil un poil moisi juste en-dessous d’un Christ crucifié géant… Avec une gag ball. Ouais. Bon. Limite malsain, comme imagerie, hein ! Quoi qu’il en soit, Eric prit un peu le temps de regarder autour de lui, observant les filles… Elles étaient toutes charmantes, certainement, mais il avait envie de quelque chose… D’exceptionnel. Et il le fit savoir à la maquerelle en latex et cuir. Elle ne lui répondit qu’un nom « la nonne », et qu’elle allait la chercher. La nonne ? Y’avait que ça, des nonnes, ici, c’est pas vraiment précis ! Agacé, contrarié, Eric repartit s’asseoir, sortant une flasque d’alcool de sa cape pour en boire une gorgée et attendre que son attente soit adressée.
Dernière édition par Eric Von Bunckenmark le Mar 28 Oct - 7:02, édité 1 fois
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
" - ALLEZ PUTAIN ! Aaaah ..."
Et il jouit quelques secondes plus tard, dans un nouveau gémissement des plus doux à l'oreille de la blonde. Elle esquissa un sourire, embrassant son client avec une pointe d'amusement, le voyant là, sous elle, encore essoufflé, une main sur ses hanches fines et l'autre à plat sur le sol, yeux presque révulsés. Il semblait continuer de bouger son bassin pour reprendre cette danse extatique mais la porte s'ouvrit brutalement sur ce couple atypique, l'homme d'une quarantaine d'années bloqué au sol par La Nonne.
Tu te tournes vers la Mère Supérieure, en latex et son joli martinet dans la main droite. Elle te fait un simple mouvement de tête et te relevant, tu hèles une autre prostituée pour qu'elle prenne ta place, jetant un baiser à l'homme qui n'a pas le temps d'exprimer son mécontentement, la jeune femme te remplaçant commençant déjà à s'occuper de lui, de la meilleure manière qui soit.
" - J'vais m'laver, tu m'expliques pourquoi tu m'arrêtes ? Il file de bon pourboire, lui."
Ta voix est claire, cristalline, froide. Tu es suivie par la Mère Supérieure jusqu'aux douches. Tu l'écoutes en frottant ta peau blanche, tes seins, ton intimité, chaque parcelle de ton corps. L'hygiène, quand on est prostituée, c'est important, nan ? Tu restes nue, attrapant un string propre, noir en dentelle, des portes-jarretelles que tu attaches à tes cuisses sculptée dans un marbre pur. Une poupée de porcelaine, exactement. Tu glisses autour de ta taille un corset noir de cabaret, qui met juste en avant ta taille de guèpe et laisse nus tes seins ronds. Elle ne t'a pas encore répondu. Elle vient t'aider à remaquiller tes yeux d'un trait de noir, tes lèvres pulpeuses se retrouvant rougies par le maquillage, te pommettes légèrement rosies.
" - J'ai un client pour toi. Il pourrait rapporter beaucoup plus gros que ce gars.
- Ah ?
- L'héritier Von Bunckenmark.
- Un Vampire ? C'est non.
- Trop tard.
- J'ai dit non, je veux pas d'un vampire ce soir.
- Ne fais pas ta capricieuse, Calypso. Ne sois pas ingrate, la Paroisse peut gagner énormément si cet homme s'intéresse à toi et à la Chapelle." La Paroisse. Le nom de Code de la Cellule en ce Lieu Saint. Tu finit de mettre la coiffe des Soeurs, ayant enfilé ton habit de scène par dessus tes sous-vêtements. C'est une tenue de Soeur presque comme une autre, seulement ouverte jusqu'aux hanches du côté droit. Tu te tournes vers elle, donnant un coup de peigne dans la mèche bleu qui dépasse du chaperon. "Allez. Sors le Grand-Jeu, la Chambre VIP est prête. Mais pas d'éclat. Rappelle toi son titre.
- C'est le Premier Exorciste ? Encore moins. Je me soumettrai pas à une ordure de ce genre.
- Tu as pris déjà trop de retard Caly'. S'il te plaît... Il peut faire fermer l'établissement en un claquement de dents.
- Mmm."
Elle prend la liberté de tranquillement t'accrocher un collier de cuir au cou. Tu hausses un sourcil.
" - Qu'est-ce que tu fous ?
- Allez, va ma fille..."
Elle glisse la laisse accrochée au collier entre tes dents, appuyant sur ton dos pour te faire avancer jusqu'à la salle principale. Passant devant toi, elle retourne vers le client. Tu le fixes une seconde, le détaillant alors que la laisse encore en bouche, tu la retires pour la faire brutalement claquer contre le sol, comme une arme, un fouet. La Mère Supérieure esquisse un sourire et murmure simplement au Vampire.
" - Bonne soirée..."
Cadeau empoisonné ? Sans doute. Tu t'approches à pas de loup vers lui, souplement, attrapant la flasque d'alcool en sortant ta langue de ta bouche, pour la passer sur tes lèvres chaudes, te baissant vers lui pour venir l'embrasser, l'alcool qu'il avait en bouche glissant sur ton menton alors que tu enroules le bout de la laisse dans sa main, ton regard enjôleur. Tu glisses ta main sur son torse, pour l'attraper délicatement, l'obligeant à se mettre debout alors que tu le fixes, relachant ses lèvres. Ton corps est contre le sien, ta poitrine nue pressée contre son torse, ta jambe droite ayant fait sa place entre les siennes alors que tu murmures, froide, cassante, provocante. Tu es sûre de toi, terriblement sûre de ce que tu dis. Ici, la Proie, c'est lui. Ici, c'est ton territoire.
" - L'alcool est interdit dans la Maison de Dieu... Venez."
Il tient la laisse ? Nan. Il a les deux mains liées par la laisse. Et il est obligé de suivre, même si c'est accroché à ton cou. L'habitude, tu roules de l'arrière train alors que tu pousses enfin la porte de la Chambre. Le lit est large, les draps sont blancs, les murs sont presque propres. Les étagères sont remplies d'objets tous plus licencieux les uns que les autres. Des sortes de fouets, des gags-balls, des sex-toys ... Des chaines, des liens, des menottes. La Chambre est un ensemble hétéroclites des péchés BDSM variés. Au fond, il semble même avoir un cheval de bois, rustique mais pas moins authentique. Tranquillement tu poses la flasque d'alcool sur la table dans le coin droit et referme la porte derrière lui, retirant la laisse, le collier restant seul. Tu tires un peu sur la corde avec un sourire en coin avant de relacher. Le client est roi, malheureusement, il aurait pu passer un très mauvais moment douloureux si ça n'avait pas été le cas. Attrapant tranquillement une baguette souple de bois, tu la fais claquer contre la paume de ta main, en fixant le Vampire.
" -Lord Vampire..." Tu esquisses un sourire carnassier alors que tu fais une jolie révérence au client, tranquillement, susurrant d'une voix calme. " Je présume qu'on préfère être au dessus, non ?" Si la question semblait rhétorique, tu relèves tranquillement les yeux vers lui, la baguette venant simplement se poser au milieu du torse de l'homme que tu fixes, le faisant reculer avec cette maigre force pour qu'il tombe sur le lit, assis et que tu puisses le dominer de ta hauteur, enlevant la baguette pour conclure. "Il n'y a pas de règles ici, à part une seule petite. Si je sens vos dents tenter ne serait qu'un seul mordillement un peu forcé, vous risquez de vous retrouver pendu par les couilles à ce crochet là haut."
Et la baguette au bout de ta main fine tapote tranquillement le crochet qui sert normalement à faire tenir les prostituées plus ou moins droites, quand leurs mains sont liées et accrochées.
Et il jouit quelques secondes plus tard, dans un nouveau gémissement des plus doux à l'oreille de la blonde. Elle esquissa un sourire, embrassant son client avec une pointe d'amusement, le voyant là, sous elle, encore essoufflé, une main sur ses hanches fines et l'autre à plat sur le sol, yeux presque révulsés. Il semblait continuer de bouger son bassin pour reprendre cette danse extatique mais la porte s'ouvrit brutalement sur ce couple atypique, l'homme d'une quarantaine d'années bloqué au sol par La Nonne.
Tu te tournes vers la Mère Supérieure, en latex et son joli martinet dans la main droite. Elle te fait un simple mouvement de tête et te relevant, tu hèles une autre prostituée pour qu'elle prenne ta place, jetant un baiser à l'homme qui n'a pas le temps d'exprimer son mécontentement, la jeune femme te remplaçant commençant déjà à s'occuper de lui, de la meilleure manière qui soit.
" - J'vais m'laver, tu m'expliques pourquoi tu m'arrêtes ? Il file de bon pourboire, lui."
Ta voix est claire, cristalline, froide. Tu es suivie par la Mère Supérieure jusqu'aux douches. Tu l'écoutes en frottant ta peau blanche, tes seins, ton intimité, chaque parcelle de ton corps. L'hygiène, quand on est prostituée, c'est important, nan ? Tu restes nue, attrapant un string propre, noir en dentelle, des portes-jarretelles que tu attaches à tes cuisses sculptée dans un marbre pur. Une poupée de porcelaine, exactement. Tu glisses autour de ta taille un corset noir de cabaret, qui met juste en avant ta taille de guèpe et laisse nus tes seins ronds. Elle ne t'a pas encore répondu. Elle vient t'aider à remaquiller tes yeux d'un trait de noir, tes lèvres pulpeuses se retrouvant rougies par le maquillage, te pommettes légèrement rosies.
" - J'ai un client pour toi. Il pourrait rapporter beaucoup plus gros que ce gars.
- Ah ?
- L'héritier Von Bunckenmark.
- Un Vampire ? C'est non.
- Trop tard.
- J'ai dit non, je veux pas d'un vampire ce soir.
- Ne fais pas ta capricieuse, Calypso. Ne sois pas ingrate, la Paroisse peut gagner énormément si cet homme s'intéresse à toi et à la Chapelle." La Paroisse. Le nom de Code de la Cellule en ce Lieu Saint. Tu finit de mettre la coiffe des Soeurs, ayant enfilé ton habit de scène par dessus tes sous-vêtements. C'est une tenue de Soeur presque comme une autre, seulement ouverte jusqu'aux hanches du côté droit. Tu te tournes vers elle, donnant un coup de peigne dans la mèche bleu qui dépasse du chaperon. "Allez. Sors le Grand-Jeu, la Chambre VIP est prête. Mais pas d'éclat. Rappelle toi son titre.
- C'est le Premier Exorciste ? Encore moins. Je me soumettrai pas à une ordure de ce genre.
- Tu as pris déjà trop de retard Caly'. S'il te plaît... Il peut faire fermer l'établissement en un claquement de dents.
- Mmm."
Elle prend la liberté de tranquillement t'accrocher un collier de cuir au cou. Tu hausses un sourcil.
" - Qu'est-ce que tu fous ?
- Allez, va ma fille..."
Elle glisse la laisse accrochée au collier entre tes dents, appuyant sur ton dos pour te faire avancer jusqu'à la salle principale. Passant devant toi, elle retourne vers le client. Tu le fixes une seconde, le détaillant alors que la laisse encore en bouche, tu la retires pour la faire brutalement claquer contre le sol, comme une arme, un fouet. La Mère Supérieure esquisse un sourire et murmure simplement au Vampire.
" - Bonne soirée..."
Cadeau empoisonné ? Sans doute. Tu t'approches à pas de loup vers lui, souplement, attrapant la flasque d'alcool en sortant ta langue de ta bouche, pour la passer sur tes lèvres chaudes, te baissant vers lui pour venir l'embrasser, l'alcool qu'il avait en bouche glissant sur ton menton alors que tu enroules le bout de la laisse dans sa main, ton regard enjôleur. Tu glisses ta main sur son torse, pour l'attraper délicatement, l'obligeant à se mettre debout alors que tu le fixes, relachant ses lèvres. Ton corps est contre le sien, ta poitrine nue pressée contre son torse, ta jambe droite ayant fait sa place entre les siennes alors que tu murmures, froide, cassante, provocante. Tu es sûre de toi, terriblement sûre de ce que tu dis. Ici, la Proie, c'est lui. Ici, c'est ton territoire.
" - L'alcool est interdit dans la Maison de Dieu... Venez."
Il tient la laisse ? Nan. Il a les deux mains liées par la laisse. Et il est obligé de suivre, même si c'est accroché à ton cou. L'habitude, tu roules de l'arrière train alors que tu pousses enfin la porte de la Chambre. Le lit est large, les draps sont blancs, les murs sont presque propres. Les étagères sont remplies d'objets tous plus licencieux les uns que les autres. Des sortes de fouets, des gags-balls, des sex-toys ... Des chaines, des liens, des menottes. La Chambre est un ensemble hétéroclites des péchés BDSM variés. Au fond, il semble même avoir un cheval de bois, rustique mais pas moins authentique. Tranquillement tu poses la flasque d'alcool sur la table dans le coin droit et referme la porte derrière lui, retirant la laisse, le collier restant seul. Tu tires un peu sur la corde avec un sourire en coin avant de relacher. Le client est roi, malheureusement, il aurait pu passer un très mauvais moment douloureux si ça n'avait pas été le cas. Attrapant tranquillement une baguette souple de bois, tu la fais claquer contre la paume de ta main, en fixant le Vampire.
" -Lord Vampire..." Tu esquisses un sourire carnassier alors que tu fais une jolie révérence au client, tranquillement, susurrant d'une voix calme. " Je présume qu'on préfère être au dessus, non ?" Si la question semblait rhétorique, tu relèves tranquillement les yeux vers lui, la baguette venant simplement se poser au milieu du torse de l'homme que tu fixes, le faisant reculer avec cette maigre force pour qu'il tombe sur le lit, assis et que tu puisses le dominer de ta hauteur, enlevant la baguette pour conclure. "Il n'y a pas de règles ici, à part une seule petite. Si je sens vos dents tenter ne serait qu'un seul mordillement un peu forcé, vous risquez de vous retrouver pendu par les couilles à ce crochet là haut."
Et la baguette au bout de ta main fine tapote tranquillement le crochet qui sert normalement à faire tenir les prostituées plus ou moins droites, quand leurs mains sont liées et accrochées.
- Calypso Heart
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Tout le monde connaît « la Nonne » à White Chapel, de nos jours… Mais seulement de nos jours. Cela faisait bien des années que j’avais quitté la fange du quartier pour le lustre de Little Vegas… Aussi n’avais-je jamais entendu parler de ladite Nonne, il faut me pardonner ! Assis dans mon canapé, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre… J’avais demandé « quelque chose d’exceptionnel », allais-je être servi… une VRAIE nonne ? Ce serait assez EXCEPTIONNEL, justement, pour une visite de BORDEL… L’attente ne dura même pas dix minutes, mais cela me semblait une éternité, passée à regarder nerveusement à gauche et à droite en m’agitant de la jambe… Jusqu’à ce que revienne la Mère Supérieure, avec derrière elle une blonde demoiselle qui n’avait pas l’air trop heureuse de la présence d’une laisse dans sa bouche. Dommage, ça me plaisait bien, à moi !
Selon toutes les apparences, mademoiselle était la Nonne et l’autre le lui fit bien comprendre en lui souhaitant une « bonne soirée »… Un petit sourire étira mes lèvres… Peut-être y avait-il matière à exception, en effet… Ou peut-être allait-elle seulement me planter un pieu dans le cœur et me couper la tête. Qu’importe, après tout ! La mort, grande ou petite, serait au rendez-vous. Elle s’approcha de moi d’un pas chaloupé, me figeant tout à fait au point que j’oubliais d’avaler mon scotch qui finit par me couler sur le visage quand elle m’embrassa… Plutôt spontanée, la petite. Pour une pute, tu me diras.
Elle me sortit un petit numéro de séduction qui su faire son petit effet sur mes sens… Presqu’envoûté, je me laissais faire, manipuler, toucher, les yeux fixés sur son visage. Sa voix froide me rappela à la réalité avec une moue de déplaisir. Pas d’alcool. Tant pis, j’avais fini d’attendre de toute façon. Elle partit devant, vers la chambre, et je la suivais, indolent, un sourire presque idiot au visage, savourant ma petite escapade avec un amusement enfantin, observant les couloirs bien plus que le derrière remuant de la nonne tout en gloussant bêtement aux bruits qui sortaient des portes. Ça devait rendre bizarre, un grand gaillard comme ça avec un tel comportement, mais qu’en avais-je à faire…
La chambre fut… A mon goût, disons. Beaucoup d’ustensiles, d’outils et de jouets divers un peu partout, comme espéré du fameux club sadomaso. La nonne retira la laisse, ce qui m’arrache un soupir de déception puis, une fois mes poignets déliés, je pu faire un peu le tour du propriétaire, détaillant chaque objet présent dans la chambre, légèrement oublieuse de mon hôte, n’écoutant son blabla que d’une oreille discrète… Je me laisse tomber sur le lit et lève le nez vers le crochet avec un hoquet hilare.
« Dussent mes couilles se retrouver accrochées là-haut, énonçais-je d’une voix gracieuse en désignant le crochet d’un geste qui l’était tout autant, alors ta tête se retrouverait à rouler par là-bas, terminais-je en pointant vers l’approximative direction de la Place des Pourris, un petit sourire au visage. Fais attention à tes paroles, nonne. »
Légèrement pédant et certainement gloussant, je me relevai pour retourner à mon observation, caressant délicatement un gode ici, une gagball là, du bout de mes doigts gantés, avec un air appréciateur. Je continuais ce jeu-là quelques instants en gardant le silence avant de me retourner vers la nonne en retirant très tranquillement mon gant droit. « bien, bien, bien… » soufflais-je avant de venir, de ma main désormais nue, effleurer son sein, passant du pouce sur son téton qui réagissait plutôt bien.
« Je sais que ma présence te dégoûte. Je te vois… » Son esprit n’était pas totalement tranquille… Juste assez agité pour que je puise lire cela. Elle n’aimait pas les vampires, pour une raison ou pour une autre. Chacun avait sa raison pour nous haïr et je m’en foutais de savoir laquelle… Toujours est-il que cela me fit sourire. « Qu’est-ce que ça te fait de penser que tu vas baiser avec quelqu’un comme moi ? » Demandais-je en me retournant pour retirer mon second gant et déposer toutes mes bagouzes, une par une, sur une commode, entre un martinet et une bougie. Il n’y avait aucune hâte dans mes mouvements. « Viens me retirer ma cape. » La nuit ne faisait que commencer…
Selon toutes les apparences, mademoiselle était la Nonne et l’autre le lui fit bien comprendre en lui souhaitant une « bonne soirée »… Un petit sourire étira mes lèvres… Peut-être y avait-il matière à exception, en effet… Ou peut-être allait-elle seulement me planter un pieu dans le cœur et me couper la tête. Qu’importe, après tout ! La mort, grande ou petite, serait au rendez-vous. Elle s’approcha de moi d’un pas chaloupé, me figeant tout à fait au point que j’oubliais d’avaler mon scotch qui finit par me couler sur le visage quand elle m’embrassa… Plutôt spontanée, la petite. Pour une pute, tu me diras.
Elle me sortit un petit numéro de séduction qui su faire son petit effet sur mes sens… Presqu’envoûté, je me laissais faire, manipuler, toucher, les yeux fixés sur son visage. Sa voix froide me rappela à la réalité avec une moue de déplaisir. Pas d’alcool. Tant pis, j’avais fini d’attendre de toute façon. Elle partit devant, vers la chambre, et je la suivais, indolent, un sourire presque idiot au visage, savourant ma petite escapade avec un amusement enfantin, observant les couloirs bien plus que le derrière remuant de la nonne tout en gloussant bêtement aux bruits qui sortaient des portes. Ça devait rendre bizarre, un grand gaillard comme ça avec un tel comportement, mais qu’en avais-je à faire…
La chambre fut… A mon goût, disons. Beaucoup d’ustensiles, d’outils et de jouets divers un peu partout, comme espéré du fameux club sadomaso. La nonne retira la laisse, ce qui m’arrache un soupir de déception puis, une fois mes poignets déliés, je pu faire un peu le tour du propriétaire, détaillant chaque objet présent dans la chambre, légèrement oublieuse de mon hôte, n’écoutant son blabla que d’une oreille discrète… Je me laisse tomber sur le lit et lève le nez vers le crochet avec un hoquet hilare.
« Dussent mes couilles se retrouver accrochées là-haut, énonçais-je d’une voix gracieuse en désignant le crochet d’un geste qui l’était tout autant, alors ta tête se retrouverait à rouler par là-bas, terminais-je en pointant vers l’approximative direction de la Place des Pourris, un petit sourire au visage. Fais attention à tes paroles, nonne. »
Légèrement pédant et certainement gloussant, je me relevai pour retourner à mon observation, caressant délicatement un gode ici, une gagball là, du bout de mes doigts gantés, avec un air appréciateur. Je continuais ce jeu-là quelques instants en gardant le silence avant de me retourner vers la nonne en retirant très tranquillement mon gant droit. « bien, bien, bien… » soufflais-je avant de venir, de ma main désormais nue, effleurer son sein, passant du pouce sur son téton qui réagissait plutôt bien.
« Je sais que ma présence te dégoûte. Je te vois… » Son esprit n’était pas totalement tranquille… Juste assez agité pour que je puise lire cela. Elle n’aimait pas les vampires, pour une raison ou pour une autre. Chacun avait sa raison pour nous haïr et je m’en foutais de savoir laquelle… Toujours est-il que cela me fit sourire. « Qu’est-ce que ça te fait de penser que tu vas baiser avec quelqu’un comme moi ? » Demandais-je en me retournant pour retirer mon second gant et déposer toutes mes bagouzes, une par une, sur une commode, entre un martinet et une bougie. Il n’y avait aucune hâte dans mes mouvements. « Viens me retirer ma cape. » La nuit ne faisait que commencer…
- Eric Von Bunckenmark
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Il était gracieux, mielleux, délicat et précis. Un vrai petit emplumé dans toute sa splendeur. Un monstre de chaire aux allures bien trop douces et mignonnes pour qu'il ne cache pas milles et unes petites perversions à exploiter. Certes tu n'aimes pas ce genre de personne, ces vampires des hautes familles, mais l'idée de sentir l'odeur âcre du sang et du sexe ne te déplaisait pas non plus. Mais ça se ferait sous tes conditions, c'était décidé. Alors qu'il se laissait vaguement faire, regardant autour de lui en bon connaisseur. Oh, il avait l'air d'aimer la décoration. Tant mieux, il allait en gouter un peu. Tu glissais tranquillement ta langue sur tes lèvres rouges, brûlantes. Tu réfléchissais rapidement, le laissant se relever en le regardant du coin de l'oeil faire son tour d'inspection. Tu le controlais, tu le surveillais alors que toi-même tu attrapais dans ta main droite un gagball. Tu allais en faire l'usage le plus utile et fermer sa gueule à cet animal au sang froid.
Tu n'avais pas semblé réagir quand il avait laissé sous entendre qu'il serait prêt à te mettre en libre service sur la place des Pourris. Non. Une prostituée comme elle n'avait strictement rien à faire des menaces. Elle était neutre à ce genre de paroles mais s'il pouvait la bloucler, ça ne serait pas désagréable non plus. Ne pas broncher, le laisser faire. Le gagball caché dans ta main, tu te rapproches de nouveau avec un sourire en coin, moqueur. Tu le laisses commencer à caresser ta peau, tu frissonnes sous ses doigts froids alors que tu te cambres légèrement, laissant échapper un doux gémissement, calme et aigu. Tu te glisses contre lui, baissant les yeux avec un air taquin, pour murmurer avec un sourire presque soumis qui ne t'allait décidément pas. Mais il fallait faire croire un peu...
" - Oh, Lord Vampire... Je suis désolée. Voulez-vous que je me taise pour que vous profitiez de votre soirée en ma compagnie ?"
Alors qu'il commençait à prendre ses aises, enlevant ses deux gants, tu les attrapes pour les poser sur la table, à côté de la clef de la chambre avec un soupir. Tu l'écoutes, tu soupires de plus belle et fais glisser le bas de ta jupe sur le sol pour rester seulement en sous-vêtements sexy et avec cette coiffe terriblement sexy. Tu trouvais que ça rendait bien pour une Nonne. C'était ... Tellement anticonformiste. Ridicule ? Surjoué ? Totalement. Tout à fait toi. Tu lui souris et hausses finalement les réponses en passant derrière lui pour retirer son menton, lentement, glissant tes mains sur chaque parcelle de la peau de ses bras. Tu le fais frissonner avec un sourire moqueur, te rapprochant de son dos pour glisser tes lèvres contre sa nuque, l'embrassant délicatement, ta langue venant tracer ses veines comme il aurait pu le faire, lui, le suceur de sang.
" - Qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse ? Il parait que les Immortels baisent bien, c'est déjà ça, non ?" Un léger rire peut s'entendre, sortant rapidement de ta gorge alors que tu jettes le manteau sur la chaise, toujours derrière lui, continuant de faire glisser tes doigts sur sa peau. La nuit ne faisait que commencer, et elle risquait d'être longue.
" - Vous avez peur du lever du soleil ? S'il faut et que vous êtes trop fatigués, Lord Vampire, je vous laisserai la chambre jusqu'à demain soir."
Tu étais ouvertement moqueuse, provocante, passant devant lui en le fixant. Tu cachais finalement plutôt bien ce que ça pouvait te faire de baiser avec ça. Ce corps mort. Ca te dégoutait, ça te mettait en colère mais au fond, ta vengeance viendrait toujours à temps. Tu préférais le maîtriser, le savoir sous toi, le manipuler avant de pouvoir faire quelque chose de dangereux, d'osé. Tu le fixes, ton corps tatoué frissonnant à cause de l'air frais qui entre dans la chambre. Tu te rapproches encore. Dans ta main droite fermée, il y a toujours le gagball. Doucement, l'autre ouvre la chemise du vampire, les boutons dévoilant le torse du jeune homme alors que tes ongles griffent doucement sa peau, lentement, langoureusement. Tu viens l'embrasser, en silence, toujours avec ces mouvements passionnés et experts, mais si lents, bordel, si langoureux.
Toute l'expérience d'une vraie pute qui sait comment manipuler. Tu laisses sa chemise ouverte, l'embrassant réellement, comme si c'était le dernier baiser de ta vie ta langue venant chercher la sienne, tes lèvres se pressant contre les siennes, tes dents mordillant légèrement sa lèvre inférieure alors que passes ta main libre sur son torse, lentement, jusqu'à sa ceinture pour la déboucler très doucement alors que tu continues de l'embrasser. Ta main droite est en train de remonter jusqu'à son visage. Alors que tu finis de déboucler sa ceinture, tu l'as fait glisser jusqu'au sol, l'arme tombant en premier avant que la ceinture ne soit juste nue. Et d'un coup, alors que tu relâches très doucement ses lèvres, la salive les reliant encore, tu fais claquer la ceinture contre sa jambe avant d'enfoncer le gagball dans sa bouche entr'ouverte. Tu l'attaches d'un mouvement rapide, la ceinture claquant de nouveau, mais cette fois sur le torse du jeune homme. Elle laisse une trace rouge, brulante alors que tu recules rapidement.
Tout cela n'a pas prit plus de quelques secondes et alors que tu souris un peu, en coin, le souffle court. Hé, c'est brutal n'empêche. Il doit écumer de rage mais il n'a pas le temps de réagir plus que tu lui envoies la ceinture dessus, ayant fait un noeud pour qu'elle lui claque dans la main et finisse de le faire souffrir. Rien de défensif. Juste pour l'énerver un peu plus. Tu siffles légèrement, avec un petit air inquiet tout à fait moqueur.
" - Oh ... Vous aviez oublié que c'était un club BDSM, Lord Vampire ? Chut, chut... Il faut que je m'excuse ? Oh Dieu, je suis désolée, terriblement désolée Von Bunckenmark ... C'est ça que vous cherchez ?"
La surprise du chef. La petite clef, toute fine qui servait à garder fermé le gagball. Un petit génie d'invention, non ce petit cadenas que tu avais rajouté toi-même. Tranquillement, tu glissais la clef sur ta langue, gardant ta bouche bien ouverte pour tirer la langue en fixant le vampire, ayant rattrapé la baguette de bois du départ pour la faire glisser sur ta cuisse nue en le fixant tranquillement, toujours aussi provocante. Le sourire en coin et ton pas de louve qui recule et tourne dans la chambre. C'est un bon jeu non ?
" - Vous n'aimez pas le silence de Dieu ?"
Tu n'avais pas semblé réagir quand il avait laissé sous entendre qu'il serait prêt à te mettre en libre service sur la place des Pourris. Non. Une prostituée comme elle n'avait strictement rien à faire des menaces. Elle était neutre à ce genre de paroles mais s'il pouvait la bloucler, ça ne serait pas désagréable non plus. Ne pas broncher, le laisser faire. Le gagball caché dans ta main, tu te rapproches de nouveau avec un sourire en coin, moqueur. Tu le laisses commencer à caresser ta peau, tu frissonnes sous ses doigts froids alors que tu te cambres légèrement, laissant échapper un doux gémissement, calme et aigu. Tu te glisses contre lui, baissant les yeux avec un air taquin, pour murmurer avec un sourire presque soumis qui ne t'allait décidément pas. Mais il fallait faire croire un peu...
" - Oh, Lord Vampire... Je suis désolée. Voulez-vous que je me taise pour que vous profitiez de votre soirée en ma compagnie ?"
Alors qu'il commençait à prendre ses aises, enlevant ses deux gants, tu les attrapes pour les poser sur la table, à côté de la clef de la chambre avec un soupir. Tu l'écoutes, tu soupires de plus belle et fais glisser le bas de ta jupe sur le sol pour rester seulement en sous-vêtements sexy et avec cette coiffe terriblement sexy. Tu trouvais que ça rendait bien pour une Nonne. C'était ... Tellement anticonformiste. Ridicule ? Surjoué ? Totalement. Tout à fait toi. Tu lui souris et hausses finalement les réponses en passant derrière lui pour retirer son menton, lentement, glissant tes mains sur chaque parcelle de la peau de ses bras. Tu le fais frissonner avec un sourire moqueur, te rapprochant de son dos pour glisser tes lèvres contre sa nuque, l'embrassant délicatement, ta langue venant tracer ses veines comme il aurait pu le faire, lui, le suceur de sang.
" - Qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse ? Il parait que les Immortels baisent bien, c'est déjà ça, non ?" Un léger rire peut s'entendre, sortant rapidement de ta gorge alors que tu jettes le manteau sur la chaise, toujours derrière lui, continuant de faire glisser tes doigts sur sa peau. La nuit ne faisait que commencer, et elle risquait d'être longue.
" - Vous avez peur du lever du soleil ? S'il faut et que vous êtes trop fatigués, Lord Vampire, je vous laisserai la chambre jusqu'à demain soir."
Tu étais ouvertement moqueuse, provocante, passant devant lui en le fixant. Tu cachais finalement plutôt bien ce que ça pouvait te faire de baiser avec ça. Ce corps mort. Ca te dégoutait, ça te mettait en colère mais au fond, ta vengeance viendrait toujours à temps. Tu préférais le maîtriser, le savoir sous toi, le manipuler avant de pouvoir faire quelque chose de dangereux, d'osé. Tu le fixes, ton corps tatoué frissonnant à cause de l'air frais qui entre dans la chambre. Tu te rapproches encore. Dans ta main droite fermée, il y a toujours le gagball. Doucement, l'autre ouvre la chemise du vampire, les boutons dévoilant le torse du jeune homme alors que tes ongles griffent doucement sa peau, lentement, langoureusement. Tu viens l'embrasser, en silence, toujours avec ces mouvements passionnés et experts, mais si lents, bordel, si langoureux.
Toute l'expérience d'une vraie pute qui sait comment manipuler. Tu laisses sa chemise ouverte, l'embrassant réellement, comme si c'était le dernier baiser de ta vie ta langue venant chercher la sienne, tes lèvres se pressant contre les siennes, tes dents mordillant légèrement sa lèvre inférieure alors que passes ta main libre sur son torse, lentement, jusqu'à sa ceinture pour la déboucler très doucement alors que tu continues de l'embrasser. Ta main droite est en train de remonter jusqu'à son visage. Alors que tu finis de déboucler sa ceinture, tu l'as fait glisser jusqu'au sol, l'arme tombant en premier avant que la ceinture ne soit juste nue. Et d'un coup, alors que tu relâches très doucement ses lèvres, la salive les reliant encore, tu fais claquer la ceinture contre sa jambe avant d'enfoncer le gagball dans sa bouche entr'ouverte. Tu l'attaches d'un mouvement rapide, la ceinture claquant de nouveau, mais cette fois sur le torse du jeune homme. Elle laisse une trace rouge, brulante alors que tu recules rapidement.
Tout cela n'a pas prit plus de quelques secondes et alors que tu souris un peu, en coin, le souffle court. Hé, c'est brutal n'empêche. Il doit écumer de rage mais il n'a pas le temps de réagir plus que tu lui envoies la ceinture dessus, ayant fait un noeud pour qu'elle lui claque dans la main et finisse de le faire souffrir. Rien de défensif. Juste pour l'énerver un peu plus. Tu siffles légèrement, avec un petit air inquiet tout à fait moqueur.
" - Oh ... Vous aviez oublié que c'était un club BDSM, Lord Vampire ? Chut, chut... Il faut que je m'excuse ? Oh Dieu, je suis désolée, terriblement désolée Von Bunckenmark ... C'est ça que vous cherchez ?"
La surprise du chef. La petite clef, toute fine qui servait à garder fermé le gagball. Un petit génie d'invention, non ce petit cadenas que tu avais rajouté toi-même. Tranquillement, tu glissais la clef sur ta langue, gardant ta bouche bien ouverte pour tirer la langue en fixant le vampire, ayant rattrapé la baguette de bois du départ pour la faire glisser sur ta cuisse nue en le fixant tranquillement, toujours aussi provocante. Le sourire en coin et ton pas de louve qui recule et tourne dans la chambre. C'est un bon jeu non ?
" - Vous n'aimez pas le silence de Dieu ?"
- Calypso Heart
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Très vite, je me suis rendu compte que quelque chose n’allait pas avec cette femme. Déjà, dans son accoutrement. Habituellement, de ce que je peux en savoir, les employés de clubs BDSM ont un rôle défini d’emblée. Sub ou dom. C’était d’ailleurs également le cas ici, la plupart des sœurs putes que j’avais pu voir portaient leur penchant sur leur manche… Mais pas elle. Son accoutrement restait vague. Incolore. Ça ne m’avait pas choqué d’emblée, mais après deux secondes et demi de réflexion, cela me parut évident. A quoi m’attendre, nul moyen de le savoir. Et cela me déplaisait, bien que j’étais venu chercher l’aventure.
Dans sa bouche « lord vampire » semblait… curieux. Vraiment pas naturel. Du peu que j’entrapercevais de son esprit, il était évident qu’elle n’avait pas la même détestation que les autres par rapport aux vampires. D’habitude, c’est purement… politique. Nous sommes l’oppression, ils peuvent pas nous blairer, soit. Mais chez elle, ça semblait plus se rapprocher d’une espèce de… dégoût profond et spontané, je ne sais pas vraiment comme décrire cela. Mais ça me rendait quelque peu mal à l’aise.
Elle vint me retirer mon vêtement, me faisant échapper un léger soupir de soulagement. L’habit n’était pas très lourd, mais m’en débarrasser me faisait le plus grand bien… Ses caresses atteignirent sans problème l’effet escompté : des frissons me traversaient le corps sous les caresses professionnelles de la nonne. Ses lèvres dans ma nuque me firent feuler, et crisper ma main sur le meuble. Elle connaissait son travail. Exceptionnel, en effet.
« - Je n’ai pas peur du soleil, non. Tu devrais revoir tes clichés, celui-là est un peu daté. » Je n’appréciais pas son ton. Elle se foutait de ma gueule et s’en cachait à peine… Et que cachait-elle dans sa poche avec tant d’insistance qu’elle devait m’ouvrir la chemise d’une seule main ? En tout cas, elle était pressée… C’était difficile de la repousser pour la remettre en place. Elle connaissait trop les hommes, cela au moins sautait aux yeux, et savait exactement comme aménager mon agacement pour que je ne moufte point. Elle griffe… J’aime ça. C’est dangereux.
Notre premier baiser est… Curieux. Je voudrais dire « sans saveur » par le manque d’accompagnent, mais lorsqu’un plat est bien cuisiné, on a du mal à en vouloir à son absence de sauce, vous voyez ce que je veux dire ? C’était presque scientifique. Juste le bon mix de distance et de passion pour donner faim sans trop frustré. C’était agaçant ! J’avais l’impression d’être joué comme un violon. Elle continue de me déshabiller et moi, les yeux fermés pour mieux profiter du baiser, je ne vois pas sa main monter, mais j’entends mon épée choir au sol.
Et, en un éclair, je me retrouve avec une gagball dans le bec. Bordel, comment avait-elle pu être aussi rapide ? Un instant, elle mettait fin au baiser, je me rapprochais d’elle pour le faire durer, et le moment d’après… Ca ? Et elle me fouetta au torse d’un coup de ma propre ceinture… Aïe. Elle se recule, me volte encore, cette fois la main. Mes yeux s’exorbitent. J’allais lui faire la peau et la vider de son sang. Mais déjà, je devais retirer cette merde. Évidemment, impossible. Ladite merde était scellée. Quelle salope.
Et elle se mit à me tourner autour avec un air tellement orgueilleux au visage que je cru que j’allais lui faire avaler ses yeux. Je fermais les miens et tentait de respirer malgré l’inconfort de la boule. Salope, salope, salope ! Je glissais un doigt entre la lanière et ma joue. Ce n’était pas du métal. Du cuir, je pense. Est-ce qu’elle se rendait compte de ce qu’elle faisait ? J’avais peut-être mon froc aux chevilles, mais je pouvais très facilement ramasser mon épée et la lui passer au travers du corps. En tout cas, une chose était sûre. Je n’allais pas lui courir après pour récupérer cette putain de clé.
Je me penchai en avant, et retirais ma dague de ma botte avec un air, oh, si sincèrement désolé de ruiner son petit délire. Je passai la lame entre la lanière et ma joue, là où se trouvait mon doigt, et tirait d’un coup sec, me libérant avec une goulée d’air de l’outil tout en me brûlant la peau avant de me défaire de mes bottes et de mon pantalon, facilitant mon mouvement, avant de la regarder, la boule dans une main, ma dague dans l’autre, avec dans le ventre une soudaine envie de la planter dans le sien. Je soupire.
« Je déteste le silence. »
Une simple phrase, dite avec un calme olympien, et je m’élance vers elle. Rapide. Trop rapide pour un humain. De l’avant-bras, je lui écrase la gorge et la plaque contre le mur, la pointe de mon arme en argent dirigée vers son gagne-pain, de telle façon que d’une simple poussée de poignet, je risquais de l’exciser.
« Écoute-moi bien, nonne de mes couilles, je suis quelqu’un de plutôt affable et courtois, mais faut pas trop me chercher. Tente encore un truc comme ça et t’attireras plus que les clients avec un fétiche pour les mutilées, je me suis bien fait comprendre ? »
Je lui écrase encore un peu la gorge et je lâche mon arme pour la laisser tomber à ses pieds avec un regard de défi énervé. Ramasse cette dague si tu l’ose, tu as vu qu’elle m’a brûlée, tu sais qu’elle est en argent. Ose seulement te rebeller contre moi et je te ferai une guerre comme t’en as jamais vue. Voilà ce que voulait dire cet acte. Nous étions collés l'un à l'autre, plus proche que pendant ses petits jeux... Qui était en contrôle, maintenant ? J'eu un rictus moqueur (à mon tour) et l'embrassai brutalement, plaquant mes lèvres sur les siennes avant de sortir ma langue pour l'infiltrer entre les siennes et venir la goûter plus à mon aise... Toujours l'étranglant de mon bras, je fit tourner mon arme dans ma main pour que la garde, et non la lame, soit pointé en direction de son entrejambe, de façon à ce que je puisse l'écraser avec force contre sa petite intimité et l'y frotter doucement, quelques instants, en intensifiant le baiser, progressivement, jusqu'à un paroxysme de passion, avant que je ne me détache d'elle d'un seule coup, la laissant seule contre son mur.
J’étais énervé, indubitablement. Mais j’avais encore envie de m’amuser un peu. J’étais sorti pour l’aventure, dans un certain sens, je l’avais trouvé. Mais je ne voulais pas que la soirée s’arrête ici. Je pourrais la passer à tabac… Dans un certain sens, ce serait marrant. Et foutre le feu à ce putain de réservoirs à rebelles. Faudrait bien que ce soit fait un jour, de toute façon.
Je me détourne d’elle, lui tourne le dos. Je respire à pleins poumons pour essayer de me calmer. Je me mets soudain à sourire, et me retourne. « Nous ne sommes pas partis sur de bonnes bases, on dirait… » Je lui fais signe de venir de la main. « C’était bien ce que tu faisais, avant ce petit coup de folie… Reprends, je t’en prie… Me faire griffer ne m’énerve pas. » C’était peut-être présomptueux de penser qu’elle allait jute accepter de reprendre après que je l’ai basiquement menacée de lui bousiller la chatte à coups de dague. Mais j’avais l’habitude d’obtenir ce que je voulais.
Vous voulez savoir la vérité en fait ? J’ai bien aimé cette petite surprise..
Dans sa bouche « lord vampire » semblait… curieux. Vraiment pas naturel. Du peu que j’entrapercevais de son esprit, il était évident qu’elle n’avait pas la même détestation que les autres par rapport aux vampires. D’habitude, c’est purement… politique. Nous sommes l’oppression, ils peuvent pas nous blairer, soit. Mais chez elle, ça semblait plus se rapprocher d’une espèce de… dégoût profond et spontané, je ne sais pas vraiment comme décrire cela. Mais ça me rendait quelque peu mal à l’aise.
Elle vint me retirer mon vêtement, me faisant échapper un léger soupir de soulagement. L’habit n’était pas très lourd, mais m’en débarrasser me faisait le plus grand bien… Ses caresses atteignirent sans problème l’effet escompté : des frissons me traversaient le corps sous les caresses professionnelles de la nonne. Ses lèvres dans ma nuque me firent feuler, et crisper ma main sur le meuble. Elle connaissait son travail. Exceptionnel, en effet.
« - Je n’ai pas peur du soleil, non. Tu devrais revoir tes clichés, celui-là est un peu daté. » Je n’appréciais pas son ton. Elle se foutait de ma gueule et s’en cachait à peine… Et que cachait-elle dans sa poche avec tant d’insistance qu’elle devait m’ouvrir la chemise d’une seule main ? En tout cas, elle était pressée… C’était difficile de la repousser pour la remettre en place. Elle connaissait trop les hommes, cela au moins sautait aux yeux, et savait exactement comme aménager mon agacement pour que je ne moufte point. Elle griffe… J’aime ça. C’est dangereux.
Notre premier baiser est… Curieux. Je voudrais dire « sans saveur » par le manque d’accompagnent, mais lorsqu’un plat est bien cuisiné, on a du mal à en vouloir à son absence de sauce, vous voyez ce que je veux dire ? C’était presque scientifique. Juste le bon mix de distance et de passion pour donner faim sans trop frustré. C’était agaçant ! J’avais l’impression d’être joué comme un violon. Elle continue de me déshabiller et moi, les yeux fermés pour mieux profiter du baiser, je ne vois pas sa main monter, mais j’entends mon épée choir au sol.
Et, en un éclair, je me retrouve avec une gagball dans le bec. Bordel, comment avait-elle pu être aussi rapide ? Un instant, elle mettait fin au baiser, je me rapprochais d’elle pour le faire durer, et le moment d’après… Ca ? Et elle me fouetta au torse d’un coup de ma propre ceinture… Aïe. Elle se recule, me volte encore, cette fois la main. Mes yeux s’exorbitent. J’allais lui faire la peau et la vider de son sang. Mais déjà, je devais retirer cette merde. Évidemment, impossible. Ladite merde était scellée. Quelle salope.
Et elle se mit à me tourner autour avec un air tellement orgueilleux au visage que je cru que j’allais lui faire avaler ses yeux. Je fermais les miens et tentait de respirer malgré l’inconfort de la boule. Salope, salope, salope ! Je glissais un doigt entre la lanière et ma joue. Ce n’était pas du métal. Du cuir, je pense. Est-ce qu’elle se rendait compte de ce qu’elle faisait ? J’avais peut-être mon froc aux chevilles, mais je pouvais très facilement ramasser mon épée et la lui passer au travers du corps. En tout cas, une chose était sûre. Je n’allais pas lui courir après pour récupérer cette putain de clé.
Je me penchai en avant, et retirais ma dague de ma botte avec un air, oh, si sincèrement désolé de ruiner son petit délire. Je passai la lame entre la lanière et ma joue, là où se trouvait mon doigt, et tirait d’un coup sec, me libérant avec une goulée d’air de l’outil tout en me brûlant la peau avant de me défaire de mes bottes et de mon pantalon, facilitant mon mouvement, avant de la regarder, la boule dans une main, ma dague dans l’autre, avec dans le ventre une soudaine envie de la planter dans le sien. Je soupire.
« Je déteste le silence. »
Une simple phrase, dite avec un calme olympien, et je m’élance vers elle. Rapide. Trop rapide pour un humain. De l’avant-bras, je lui écrase la gorge et la plaque contre le mur, la pointe de mon arme en argent dirigée vers son gagne-pain, de telle façon que d’une simple poussée de poignet, je risquais de l’exciser.
« Écoute-moi bien, nonne de mes couilles, je suis quelqu’un de plutôt affable et courtois, mais faut pas trop me chercher. Tente encore un truc comme ça et t’attireras plus que les clients avec un fétiche pour les mutilées, je me suis bien fait comprendre ? »
Je lui écrase encore un peu la gorge et je lâche mon arme pour la laisser tomber à ses pieds avec un regard de défi énervé. Ramasse cette dague si tu l’ose, tu as vu qu’elle m’a brûlée, tu sais qu’elle est en argent. Ose seulement te rebeller contre moi et je te ferai une guerre comme t’en as jamais vue. Voilà ce que voulait dire cet acte. Nous étions collés l'un à l'autre, plus proche que pendant ses petits jeux... Qui était en contrôle, maintenant ? J'eu un rictus moqueur (à mon tour) et l'embrassai brutalement, plaquant mes lèvres sur les siennes avant de sortir ma langue pour l'infiltrer entre les siennes et venir la goûter plus à mon aise... Toujours l'étranglant de mon bras, je fit tourner mon arme dans ma main pour que la garde, et non la lame, soit pointé en direction de son entrejambe, de façon à ce que je puisse l'écraser avec force contre sa petite intimité et l'y frotter doucement, quelques instants, en intensifiant le baiser, progressivement, jusqu'à un paroxysme de passion, avant que je ne me détache d'elle d'un seule coup, la laissant seule contre son mur.
J’étais énervé, indubitablement. Mais j’avais encore envie de m’amuser un peu. J’étais sorti pour l’aventure, dans un certain sens, je l’avais trouvé. Mais je ne voulais pas que la soirée s’arrête ici. Je pourrais la passer à tabac… Dans un certain sens, ce serait marrant. Et foutre le feu à ce putain de réservoirs à rebelles. Faudrait bien que ce soit fait un jour, de toute façon.
Je me détourne d’elle, lui tourne le dos. Je respire à pleins poumons pour essayer de me calmer. Je me mets soudain à sourire, et me retourne. « Nous ne sommes pas partis sur de bonnes bases, on dirait… » Je lui fais signe de venir de la main. « C’était bien ce que tu faisais, avant ce petit coup de folie… Reprends, je t’en prie… Me faire griffer ne m’énerve pas. » C’était peut-être présomptueux de penser qu’elle allait jute accepter de reprendre après que je l’ai basiquement menacée de lui bousiller la chatte à coups de dague. Mais j’avais l’habitude d’obtenir ce que je voulais.
Vous voulez savoir la vérité en fait ? J’ai bien aimé cette petite surprise..
- Eric Von Bunckenmark
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
" - Pas besoin de parler de toute manière."
Il n'est pas seulement affable, il n'est pas seulement mielleux. Elle le sait. Plus on joue avec le feu, plus on s'y brule jusqu'à en perdre la tête, plus l'odeur vous empêche de respirer, de vivre, de parler, d'aimer. Elle veut jouer avec les flammes pour voir ce que ça fait, de lier l'odeur de la douleur à l'odeur de la luxure. Elle veut gouter les différents aspects de la souffrance et de la perversion. Elle veut jouer jusqu'à voir sa tête rouler sur le sol, détachée de son corps maltraité. Elle ne veut pas s'autodétruire, elle veut découvrir des horizons de sensations inassouvis. Il n'est pas seulement brutal et impulsif. Il est réfléchi et se vexe. Il garde en lui une profonde envie de vengeance. Il n'agit pas sur un coup de tête, il ne tu tuera pas pour cet affront, ô délicieux ! Non. Il n'est pas seulement un vampire comme les autres, il est intelligent. Il est mesquin. Il est violemment au contrôle de toute cette mascarade. Il n'est pas là pour qu'on le manipule, il est là pour jouer. Vous voyez ce sourire ? Ce calme parfait ? Ces gestes précis ? Vous voyez cette rage dans le regard, ce souffle calme, ce contrôle résolu de chacun de ses mouvements ? Elle veut tout faire éclater. Elle veut jouer avec sa violence. Elle veut jouer jusqu'à voir son contrôle de la situation disparaître, elle veut jouer jusqu'à que la rage soit dans ses mouvements et la soumission dans son regard, elle veut jouer pour ne plus que la précision ne définisse ses actes, elle veut jouer pour que la grimace de plaisir efface le sourire.
Tu le fixes. Il arrête ce petit jeu. Tu craches seulement la clef sur le sol, sans plus de cérémonie. Un regard et tu le vois se séparer rapidement du gagball, se bruler la lèvre, et enrager intérieurement. Ne pas pouvoir être sûr que tout est bien comme il faut. Il voulait tellement avoir la situation en contrôle, comme les autres. Il voulait tellement que ça soit parfaitement clair. Et toi, tu voulais tout l'inverse. Brouiller les limites, brouiller les frontières, brouiller les différences entre le plaisir et la douleur, entre la domination et la soumission. Tu voulais que tout ce qu'il pense devienne flou, tu voulais que tout ce qu'il croit devienne faux. Et d'un coup, il te plaque au mur, brutalement, coupant ta respiration l'espace de quelques secondes. Ton regard descend sur l'arme. Tu n'as pas réellement peur. Il ne le fera pas. Pas qu'il n'oserait pas, non, ça, tu le crois bien capable d'oser, de te découper l'intérieur, de t'exciser, de te faire souffrir et t'humilier. Oh que oui.
Il oserait. Mais il ne le fera pas. Parce que ce genre de vampires, tu les connais. Ce genre de clients, qui n'avoueront pas qu'ils veulent perdre le contrôle mais qui au fond le désirent, aiment ça, profitent pour ensuite se sentir tout puissant.
" - Chut... Je suis vraiment désolée ... J'ai bien compris la leçon, Lord Eric." Le prénom sonna bizarrement. Il ne l'avait pas donné, elle lui prouvait seulement qu'il pouvait avoir ce qu'il voulait puisque tout le monde le connaissait. Il était en son royaume. Pas son territoire, mais son royaume. Conceptuel ? A peine. Tu n'as pas peur du couteau, le fixant de tes prunelles d'un vert profond, émeraude, lourd de tout ce que tu as du voir déjà. Tu renifles légèrement, ta lèvre supérieure se relevant alors que tu humes son parfum avec un demi-sourire naissant. " Vous me laissez l'occasion de me pardonner ?"
Ton sourire reprend un trait un peu moqueur mais le changement de ton était visible. Il faut le calmer. Il faut qu'il soit agacé, il faut qu'il n'y croit pas à cette soudaine docilité. Personne à part un idiot pourrait croire réellement à ça. Il n'est pas bête, il va rester méfiant. Et c'est ça que tu veux. Qu'il reste sur ses gardes, à l'affut. Qu'il comprenne tout ce qui se passe devant lui. Tu le laisses s'approcher encore plus, ta respiration coupée alors que tu grognes légèrement sous l'étranglement. Tu te colles au mur, le fixant toujours, fermant lentement les yeux quand il commence à t'embrasser, répondant avec douceur au baiser, avant de relever un peu la tête pour frotter et presser avec plus de ferveur tes lèvres aux siennes, un gémissement étouffé par le baiser langoureux, passionné presque. Ton dos se cambre légèrement avant que l'arme ne tombe au sol et qu'il relache tes lèvres, ton intimité réagissant légèrement à ce frottement. Tu restes un instant interloquée. L'odeur d'excitation commence à poindre alors que tu te détaches du mur.
Tu donnes un coup de pied au couteau pour qu'il glisse sous le lit. Tu ne l'attrapes pas. Pour l'instant en tout cas. Tu époussètes légèrement ton corps alors que tu tournes un regard langoureux vers lui, ta bouche reprenant un pli moqueur habituel et provocant. Rester sage ? Ce n'était pas pour toi. Alors que tu te rapprochais de nouveau, tu te glisses de nouveau face à lui, passant ta main droite sur les traces rouges du cuir de la ceinture. Tu les caresses avant de te glisser tout contre lui, pour que ça soit ta langue, chaude et humide qui vienne lentement lécher les marques écarlates. Tu te laisses descendre jusqu'à la limite de son boxer avec un sourire avant de très doucement glisser tes doigts de chaque côté de ses hanches, sous l'élastique du boxer pour le faire glisser lentement sur ses jambes. L'ongle de ton index griffe sa cuisse puis son genoux alors que tu relaches son sous-vêtement. Il est nu, là, devant toi. Tu glisses tes lèvres sur son gland, sans aucune honte avant de remonter sur toute la chaire du membre, son bas-ventre, son torse, sa gorge, son menton.
" - Alors c'est juste vous retrouver sans le contrôle de la situation qui vous énerve, Lord Eric ? Vous êtes comme les autres Lords Vampires ? Exactement pareil ? Vous ne voulez pas qu'on vous domine par la force et les accessoires ? Aaah.. C'est bien dommage. Vraiment dommage. "
Mais tu l'embrasses seulement, ta poitrine se collant, se pressant à son torse alors que tu gémis un peu, venant mordiller sa lèvre inférieure avec un sourire presque tendre. Tu le pousses de nouveau vers le lit, lentement, mettant un coup de langue long et langoureux sur la brulure légère. " Vous vous vengerez de cette vilaine brulure... " Et hop, te voilà de nouveau à ses pieds, agenouillée pour lui suçoter le gland, tranquillement, enroulant ta langue autour du membre alors que de ta main, tu fais de petits mouvements de va-et-vients sur la chaire. Il peut maintenant s'asseoir sur le lit s'il a envie, et pendant que tu le suçotes avec un sourire en coin, ta main glissant sous le lit pour attraper l'arme qu'il avait laissé tomber et que tu avais ingénument poussée là. Tu glisses simplement la lame sur sa jambe, derrière sa cuisse, sans le toucher, ta main remontant sur ses fesses nues pour que d'un coup, du plat de la lame, tu le fesses. Ni plus ni moins.
La brulure doit bien faire hurler, alors que tu gardes l'arme en main, ne l'ayant pas blessé outremesure. Le membre en bouche, tes dents sont là s'il veut jouer à 'je t'étrangle pour que tu arrêtes." Tu lui souris en coin, continuant son pompage avec un soupir discret alors que tu retapes une deuxième fois, très rapidement, sa fesse avec le plat de la lame.
Il n'est pas seulement affable, il n'est pas seulement mielleux. Elle le sait. Plus on joue avec le feu, plus on s'y brule jusqu'à en perdre la tête, plus l'odeur vous empêche de respirer, de vivre, de parler, d'aimer. Elle veut jouer avec les flammes pour voir ce que ça fait, de lier l'odeur de la douleur à l'odeur de la luxure. Elle veut gouter les différents aspects de la souffrance et de la perversion. Elle veut jouer jusqu'à voir sa tête rouler sur le sol, détachée de son corps maltraité. Elle ne veut pas s'autodétruire, elle veut découvrir des horizons de sensations inassouvis. Il n'est pas seulement brutal et impulsif. Il est réfléchi et se vexe. Il garde en lui une profonde envie de vengeance. Il n'agit pas sur un coup de tête, il ne tu tuera pas pour cet affront, ô délicieux ! Non. Il n'est pas seulement un vampire comme les autres, il est intelligent. Il est mesquin. Il est violemment au contrôle de toute cette mascarade. Il n'est pas là pour qu'on le manipule, il est là pour jouer. Vous voyez ce sourire ? Ce calme parfait ? Ces gestes précis ? Vous voyez cette rage dans le regard, ce souffle calme, ce contrôle résolu de chacun de ses mouvements ? Elle veut tout faire éclater. Elle veut jouer avec sa violence. Elle veut jouer jusqu'à voir son contrôle de la situation disparaître, elle veut jouer jusqu'à que la rage soit dans ses mouvements et la soumission dans son regard, elle veut jouer pour ne plus que la précision ne définisse ses actes, elle veut jouer pour que la grimace de plaisir efface le sourire.
Tu le fixes. Il arrête ce petit jeu. Tu craches seulement la clef sur le sol, sans plus de cérémonie. Un regard et tu le vois se séparer rapidement du gagball, se bruler la lèvre, et enrager intérieurement. Ne pas pouvoir être sûr que tout est bien comme il faut. Il voulait tellement avoir la situation en contrôle, comme les autres. Il voulait tellement que ça soit parfaitement clair. Et toi, tu voulais tout l'inverse. Brouiller les limites, brouiller les frontières, brouiller les différences entre le plaisir et la douleur, entre la domination et la soumission. Tu voulais que tout ce qu'il pense devienne flou, tu voulais que tout ce qu'il croit devienne faux. Et d'un coup, il te plaque au mur, brutalement, coupant ta respiration l'espace de quelques secondes. Ton regard descend sur l'arme. Tu n'as pas réellement peur. Il ne le fera pas. Pas qu'il n'oserait pas, non, ça, tu le crois bien capable d'oser, de te découper l'intérieur, de t'exciser, de te faire souffrir et t'humilier. Oh que oui.
Il oserait. Mais il ne le fera pas. Parce que ce genre de vampires, tu les connais. Ce genre de clients, qui n'avoueront pas qu'ils veulent perdre le contrôle mais qui au fond le désirent, aiment ça, profitent pour ensuite se sentir tout puissant.
" - Chut... Je suis vraiment désolée ... J'ai bien compris la leçon, Lord Eric." Le prénom sonna bizarrement. Il ne l'avait pas donné, elle lui prouvait seulement qu'il pouvait avoir ce qu'il voulait puisque tout le monde le connaissait. Il était en son royaume. Pas son territoire, mais son royaume. Conceptuel ? A peine. Tu n'as pas peur du couteau, le fixant de tes prunelles d'un vert profond, émeraude, lourd de tout ce que tu as du voir déjà. Tu renifles légèrement, ta lèvre supérieure se relevant alors que tu humes son parfum avec un demi-sourire naissant. " Vous me laissez l'occasion de me pardonner ?"
Ton sourire reprend un trait un peu moqueur mais le changement de ton était visible. Il faut le calmer. Il faut qu'il soit agacé, il faut qu'il n'y croit pas à cette soudaine docilité. Personne à part un idiot pourrait croire réellement à ça. Il n'est pas bête, il va rester méfiant. Et c'est ça que tu veux. Qu'il reste sur ses gardes, à l'affut. Qu'il comprenne tout ce qui se passe devant lui. Tu le laisses s'approcher encore plus, ta respiration coupée alors que tu grognes légèrement sous l'étranglement. Tu te colles au mur, le fixant toujours, fermant lentement les yeux quand il commence à t'embrasser, répondant avec douceur au baiser, avant de relever un peu la tête pour frotter et presser avec plus de ferveur tes lèvres aux siennes, un gémissement étouffé par le baiser langoureux, passionné presque. Ton dos se cambre légèrement avant que l'arme ne tombe au sol et qu'il relache tes lèvres, ton intimité réagissant légèrement à ce frottement. Tu restes un instant interloquée. L'odeur d'excitation commence à poindre alors que tu te détaches du mur.
Tu donnes un coup de pied au couteau pour qu'il glisse sous le lit. Tu ne l'attrapes pas. Pour l'instant en tout cas. Tu époussètes légèrement ton corps alors que tu tournes un regard langoureux vers lui, ta bouche reprenant un pli moqueur habituel et provocant. Rester sage ? Ce n'était pas pour toi. Alors que tu te rapprochais de nouveau, tu te glisses de nouveau face à lui, passant ta main droite sur les traces rouges du cuir de la ceinture. Tu les caresses avant de te glisser tout contre lui, pour que ça soit ta langue, chaude et humide qui vienne lentement lécher les marques écarlates. Tu te laisses descendre jusqu'à la limite de son boxer avec un sourire avant de très doucement glisser tes doigts de chaque côté de ses hanches, sous l'élastique du boxer pour le faire glisser lentement sur ses jambes. L'ongle de ton index griffe sa cuisse puis son genoux alors que tu relaches son sous-vêtement. Il est nu, là, devant toi. Tu glisses tes lèvres sur son gland, sans aucune honte avant de remonter sur toute la chaire du membre, son bas-ventre, son torse, sa gorge, son menton.
" - Alors c'est juste vous retrouver sans le contrôle de la situation qui vous énerve, Lord Eric ? Vous êtes comme les autres Lords Vampires ? Exactement pareil ? Vous ne voulez pas qu'on vous domine par la force et les accessoires ? Aaah.. C'est bien dommage. Vraiment dommage. "
Mais tu l'embrasses seulement, ta poitrine se collant, se pressant à son torse alors que tu gémis un peu, venant mordiller sa lèvre inférieure avec un sourire presque tendre. Tu le pousses de nouveau vers le lit, lentement, mettant un coup de langue long et langoureux sur la brulure légère. " Vous vous vengerez de cette vilaine brulure... " Et hop, te voilà de nouveau à ses pieds, agenouillée pour lui suçoter le gland, tranquillement, enroulant ta langue autour du membre alors que de ta main, tu fais de petits mouvements de va-et-vients sur la chaire. Il peut maintenant s'asseoir sur le lit s'il a envie, et pendant que tu le suçotes avec un sourire en coin, ta main glissant sous le lit pour attraper l'arme qu'il avait laissé tomber et que tu avais ingénument poussée là. Tu glisses simplement la lame sur sa jambe, derrière sa cuisse, sans le toucher, ta main remontant sur ses fesses nues pour que d'un coup, du plat de la lame, tu le fesses. Ni plus ni moins.
La brulure doit bien faire hurler, alors que tu gardes l'arme en main, ne l'ayant pas blessé outremesure. Le membre en bouche, tes dents sont là s'il veut jouer à 'je t'étrangle pour que tu arrêtes." Tu lui souris en coin, continuant son pompage avec un soupir discret alors que tu retapes une deuxième fois, très rapidement, sa fesse avec le plat de la lame.
- Calypso Heart
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Date d'inscription : 20/10/2014
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
La rencontre avec la Nonne a été une expérience particulièrement excitante, pour moi… Non pas seulement par sa pure valeur sexuelle (bien qu’il serait sacrilège de minimiser son importance), mais aussi parce que, pour reprendre déjà usité plus tôt, elle est un individu proprement « exceptionnel ». Oser me tenir tête alors même que je la tenais au bout d’une lame, peu dans cette ville l’aurait osé. Je ne m’y méprenais pas. Elle avait beau faire sa mielleuse, l’insolence qu’elle transpirait me piquait toujours autant aux naseaux. La tentation de relier son clitoris et son nombril était forte, mais je voulais en avoir pour mon argent. Le carnage viendrait plus tard.
« - Je crois aux secondes chances… Mais pas aux troisièmes. » Avais-je dit en la relâchant. Oui, je lui laisserai l’occasion de se faire pardonner. Mais une seule fois. Au moindre écart nouveau, je me laisserai aller à mes envies de violence. Je ne savais pas quelle expérience elle pouvait avoir dans ce domaine, mais le simple fait qu’elle travaillait dans un club SM me laissait penser que je pourrais m’en donner à cœur jouer sans risquer de la voir se désarticuler comme un pantin, ce que j’avais déjà pu constater et qui aurait été une fin plus qu’anti-climacique à cette rencontre.
Elle envoie le coupe-papier sous le lit, se frotte un peu le corps, me regarde. J’eu un souffle rieur. Elle n’avait pas du tout l’air de vouloir se faire pardonner, en fait… Et cela m’allait. Le pardon est emmerdant… La punition, elle, est passionnante… Avec une grâce féline, elle se glisse contre moi, me fait doucement gémir quand elle lèche la marque rougie du coup de fouet et qu’elle descend… Elle sait comment aménager le désir. On pouvait presque me voir nu à travers mon boxer, qui fut bientôt écarté du débat. La griffure, délicieuse, fit tressaillir mon membre, et le bref, mais délicieux, contact avec ses lèvres m’arrache un soupir.
Elle remontai, et je riait doucement. Elle voulait me frustrer, soit, j’accepte cela. Je bois ses paroles, les yeux fixés à ses lèvres luisantes, et je la serre contre moi avec force, la casse en deux quand elle m’embrasse, et je grogne en l’embrassant, sans réponse… Je parle fort bien, mais fort peu. Elle me pousse, je m’assois sur le lit, soupir de nouveau, cette fois d’une certaine hâte quand elle vient se mettre à genou entre les miens, m’offrant un spectacle fort convaincant.
J’allais pour me détendre et simplement profiter quand apparu mon poignard dans sa main. Et merde. Je dois avouer que celle-là, je ne la voyais pas venir. Mais je me vis, malgré mon appréhension, incapable de ramollir sous les lèvres expertes de la nonne. Je suis l’arme des yeux, la voit flotter près de ma chair dont les muscles se tendent. L’argent est un métal très douloureux… Pour faire une analogie, imaginez qu’elle avait un tisonnier dans la main.
Et elle me frappe la fesse avec son arme. En effet, je hurle. Putain ce que c’est douloureux. Je grogne, voulant réagir, mais un deuxième coup s’abat. Cette fois, je m’y attendait un peu plus, et je parviens à serrer les dents pour conserver un semblant de dignité avant d’avoir un rire, le genre qu’on a quand on entend une blague alors qu’on est entrain de se faire pomper le dard par une vraie reine. Un rire soupirant terminé par un léger grognement…
Avant que le troisième coup ne parte, je lui attrape le poignet, l’ongle de mon pouce contre sa peau… Status quo. Elle pouvait me mordre la queue, mais je pouvais lui ouvrir l’avant-bras et la laisser se vider de son sang. Nos regards se croisèrent. Et l’action de se diviser. Au centre, une scène classique. Ma main se glissa dans sa blondeur, accompagnant avec légèreté les mouvements de sa tête… A ma gauche, à sa droite, le combat de nos mains.
Je lui compressais le poignet du pouce, tordait son bras, l’obligeant à utiliser le plus de force possible, jusqu’à ce que sa main s’insensibilise et qu’elle lâche. Le duel fut difficile, mais pas très long… Au bout d’une trentaine de seconde, je fus victorieux. L’arme chu de sa main, sur le lit, avant de résonner sur le sol. Avec un soupir d’effort et de satisfaction, de mon pouce droit, j’appuyai sur son front, la forçant à reculer la tête pour relâcher mon membre avant de l’attraper par le menton et me pencher sur elle en caressant ses lèvres encore reliés par des filets de salives à ma virilité. Je la regardais avec un sourire amusé, satisfait, en explorant sa bouche entrouverte de mon pouce dans une caresse, certes dominatrice, mais diaboliquement sensuelle… Je passais sur ses lèvres, entre ses lèvres, derrière ses lèvres, appréciant la douceur de l’intérieur de ses joues. « Tu es quelqu’un de courageux, nonne… Pour me tenir ainsi tête, être aussi insolente envers un personnage de ma carrure… Je peux respecter ça… J’eu un soupir presque déçu, mais ta petite escapade s’arrête ici… »
Caressante, ma main glissa le long de son bras, remontant sur son épaule, avant de se refermer, avec une langueur hypnotique, sur sa gorge blanche, un doigt après l’autre, sans serrer. Et sans lâcher du regard son beau visage, je me levais et me mis à ouvrir tous les tiroirs présents dans la chambre, la traînant derrière moi avec une force indifférente à ses efforts pour se débattre. Je ne l’étranglais pas, oh non… Je la gardais simplement sous la main, pour ainsi dire.
Je fini par trouver ce que je cherchais : une speadbar, grande barre de fer destinée à relier les chevilles ou les poignets de la victime pour lui garder les bras ou les jambes écartés. Celle-là était assez grande, à ma satisfaction. J’écrasais la face de la nonne sur le lit, m’assit sur sa nuque, ses bras derrière mes genoux, de façon à l’empêcher de se débattre alors que j’immobilisais ses jambes. Ceci fait, je repris ma balade, tenant toujours ma belle de nuit à bout de bras, jusqu’à trouver un lien me permettant de relier ses poignets entre eux au crochet fixé au plafond, ce que je fis.
Je me reculais pour constater mon œuvre en me masturbant doucement… Elle était belle, ainsi disposée, les bras tirés vers le haut et les jambes écartés sur le sol, légèrement excentrée de sorte qu’elle fut forcée de se trouver légèrement cambrée. Riant, je pris une table de nuit, la désolidarisa du sol où elle était fixé avec un grognement d’effort et la posa à côté d’elle, avant d’y poser le couteau et de faire le tour de la chambre. Envoi. « Comme les anges à l’œil fauve… Je posai une bougie sur la tablette, je reviendrai dans ton alcôve… je posais un gode anal à boule et un flacon de lubrifiant sur la tablette, et vers toi glisserai sans bruit, avec les ombres de la nuit… une gagbar et un bandeau pour les nuit vint le rejoindre. Et je te donnerai, ma brune… D’une poussée de la dague, je fit tomber tout à fait la coiffe de nonne déjà penchée, des baisers froids comme la lune. Et des caresses de serpent, au fond d’une fosse, rampant… Du plat gelé de la lame, je caressais son corps cambré, avant de marquer une pause pour la reposer. Et quand viendra le matin livide… Je lui enfilai, de force s’il l’avait fallu, le gagbar dans la bouche, tu trouveras ma place vide, où jusqu’au soir il fera froid… Le bandeau vint faire son office ses yeux. Comme d’autres par la tendresse, continuais en caressant doucement la courbe de son visage aveuglé, sur la vie et sur ta jeunesse… Je repris l’arme en silence, moi… Je veux régner par l’effroi… » terminai-je dans un susurrement, d’une voix terriblement dangereuse, magnétique et sauvagement sensuel, en redressant son visage de la pointe de mon outil.
Le Revenant de Baudelaire fut l’introduction au gras de notre jeu…
« - Je crois aux secondes chances… Mais pas aux troisièmes. » Avais-je dit en la relâchant. Oui, je lui laisserai l’occasion de se faire pardonner. Mais une seule fois. Au moindre écart nouveau, je me laisserai aller à mes envies de violence. Je ne savais pas quelle expérience elle pouvait avoir dans ce domaine, mais le simple fait qu’elle travaillait dans un club SM me laissait penser que je pourrais m’en donner à cœur jouer sans risquer de la voir se désarticuler comme un pantin, ce que j’avais déjà pu constater et qui aurait été une fin plus qu’anti-climacique à cette rencontre.
Elle envoie le coupe-papier sous le lit, se frotte un peu le corps, me regarde. J’eu un souffle rieur. Elle n’avait pas du tout l’air de vouloir se faire pardonner, en fait… Et cela m’allait. Le pardon est emmerdant… La punition, elle, est passionnante… Avec une grâce féline, elle se glisse contre moi, me fait doucement gémir quand elle lèche la marque rougie du coup de fouet et qu’elle descend… Elle sait comment aménager le désir. On pouvait presque me voir nu à travers mon boxer, qui fut bientôt écarté du débat. La griffure, délicieuse, fit tressaillir mon membre, et le bref, mais délicieux, contact avec ses lèvres m’arrache un soupir.
Elle remontai, et je riait doucement. Elle voulait me frustrer, soit, j’accepte cela. Je bois ses paroles, les yeux fixés à ses lèvres luisantes, et je la serre contre moi avec force, la casse en deux quand elle m’embrasse, et je grogne en l’embrassant, sans réponse… Je parle fort bien, mais fort peu. Elle me pousse, je m’assois sur le lit, soupir de nouveau, cette fois d’une certaine hâte quand elle vient se mettre à genou entre les miens, m’offrant un spectacle fort convaincant.
J’allais pour me détendre et simplement profiter quand apparu mon poignard dans sa main. Et merde. Je dois avouer que celle-là, je ne la voyais pas venir. Mais je me vis, malgré mon appréhension, incapable de ramollir sous les lèvres expertes de la nonne. Je suis l’arme des yeux, la voit flotter près de ma chair dont les muscles se tendent. L’argent est un métal très douloureux… Pour faire une analogie, imaginez qu’elle avait un tisonnier dans la main.
Et elle me frappe la fesse avec son arme. En effet, je hurle. Putain ce que c’est douloureux. Je grogne, voulant réagir, mais un deuxième coup s’abat. Cette fois, je m’y attendait un peu plus, et je parviens à serrer les dents pour conserver un semblant de dignité avant d’avoir un rire, le genre qu’on a quand on entend une blague alors qu’on est entrain de se faire pomper le dard par une vraie reine. Un rire soupirant terminé par un léger grognement…
Avant que le troisième coup ne parte, je lui attrape le poignet, l’ongle de mon pouce contre sa peau… Status quo. Elle pouvait me mordre la queue, mais je pouvais lui ouvrir l’avant-bras et la laisser se vider de son sang. Nos regards se croisèrent. Et l’action de se diviser. Au centre, une scène classique. Ma main se glissa dans sa blondeur, accompagnant avec légèreté les mouvements de sa tête… A ma gauche, à sa droite, le combat de nos mains.
Je lui compressais le poignet du pouce, tordait son bras, l’obligeant à utiliser le plus de force possible, jusqu’à ce que sa main s’insensibilise et qu’elle lâche. Le duel fut difficile, mais pas très long… Au bout d’une trentaine de seconde, je fus victorieux. L’arme chu de sa main, sur le lit, avant de résonner sur le sol. Avec un soupir d’effort et de satisfaction, de mon pouce droit, j’appuyai sur son front, la forçant à reculer la tête pour relâcher mon membre avant de l’attraper par le menton et me pencher sur elle en caressant ses lèvres encore reliés par des filets de salives à ma virilité. Je la regardais avec un sourire amusé, satisfait, en explorant sa bouche entrouverte de mon pouce dans une caresse, certes dominatrice, mais diaboliquement sensuelle… Je passais sur ses lèvres, entre ses lèvres, derrière ses lèvres, appréciant la douceur de l’intérieur de ses joues. « Tu es quelqu’un de courageux, nonne… Pour me tenir ainsi tête, être aussi insolente envers un personnage de ma carrure… Je peux respecter ça… J’eu un soupir presque déçu, mais ta petite escapade s’arrête ici… »
Caressante, ma main glissa le long de son bras, remontant sur son épaule, avant de se refermer, avec une langueur hypnotique, sur sa gorge blanche, un doigt après l’autre, sans serrer. Et sans lâcher du regard son beau visage, je me levais et me mis à ouvrir tous les tiroirs présents dans la chambre, la traînant derrière moi avec une force indifférente à ses efforts pour se débattre. Je ne l’étranglais pas, oh non… Je la gardais simplement sous la main, pour ainsi dire.
Je fini par trouver ce que je cherchais : une speadbar, grande barre de fer destinée à relier les chevilles ou les poignets de la victime pour lui garder les bras ou les jambes écartés. Celle-là était assez grande, à ma satisfaction. J’écrasais la face de la nonne sur le lit, m’assit sur sa nuque, ses bras derrière mes genoux, de façon à l’empêcher de se débattre alors que j’immobilisais ses jambes. Ceci fait, je repris ma balade, tenant toujours ma belle de nuit à bout de bras, jusqu’à trouver un lien me permettant de relier ses poignets entre eux au crochet fixé au plafond, ce que je fis.
Je me reculais pour constater mon œuvre en me masturbant doucement… Elle était belle, ainsi disposée, les bras tirés vers le haut et les jambes écartés sur le sol, légèrement excentrée de sorte qu’elle fut forcée de se trouver légèrement cambrée. Riant, je pris une table de nuit, la désolidarisa du sol où elle était fixé avec un grognement d’effort et la posa à côté d’elle, avant d’y poser le couteau et de faire le tour de la chambre. Envoi. « Comme les anges à l’œil fauve… Je posai une bougie sur la tablette, je reviendrai dans ton alcôve… je posais un gode anal à boule et un flacon de lubrifiant sur la tablette, et vers toi glisserai sans bruit, avec les ombres de la nuit… une gagbar et un bandeau pour les nuit vint le rejoindre. Et je te donnerai, ma brune… D’une poussée de la dague, je fit tomber tout à fait la coiffe de nonne déjà penchée, des baisers froids comme la lune. Et des caresses de serpent, au fond d’une fosse, rampant… Du plat gelé de la lame, je caressais son corps cambré, avant de marquer une pause pour la reposer. Et quand viendra le matin livide… Je lui enfilai, de force s’il l’avait fallu, le gagbar dans la bouche, tu trouveras ma place vide, où jusqu’au soir il fera froid… Le bandeau vint faire son office ses yeux. Comme d’autres par la tendresse, continuais en caressant doucement la courbe de son visage aveuglé, sur la vie et sur ta jeunesse… Je repris l’arme en silence, moi… Je veux régner par l’effroi… » terminai-je dans un susurrement, d’une voix terriblement dangereuse, magnétique et sauvagement sensuel, en redressant son visage de la pointe de mon outil.
Le Revenant de Baudelaire fut l’introduction au gras de notre jeu…
- Eric Von Bunckenmark
- Messages : 134
Date d'inscription : 16/09/2014
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Le pire ? C'était sans doute de ne pas pouvoir parler. Se sentir impuissante, ça ne te dérangeait pas. Pas du tout même, ça t'excitait pas mal, ça te plaisait énormément, te savoir normalement impuissante, et être sûre que tu vas arriver à retourner la situation. Mais par contre, sentir la salive couler le long de son menton parce que tu ne pouvais pas l'avaler, savoir que ce que tu allais dire allait être obligatoirement incompréhensible, inarticulée, qu'il n'allait pas pouvoir profiter de ta verbe nauséabonde... C'était décevant.
Watch your step or you might Fall Il était décidément délicieux. Il fallait rendre au Lord Vampire ce qui appartenait au Lord Eric, il avait un gout parfait, malgré la froideur de son membre. Et mon dieu, qu'il était fatiguant. A t'exciter intérieurement, à te donner envie de faire toujours plus, juste pour le voir perdre son ton mielleux, son sourire satisfait, son naturel content. Te punir, faire tomber le couperet, enfin, de la punition, de la soumission sur tout ton être pour que la fin soit parfaite : La soumission viendrait de lui, dans tous les cas. Comme le vers dans la pomme, doucement, la soumission se faufilerait dans son coeur, à la recherche de sa bouche pour se déverser à tes pieds nus, blancs, comme le reste de ton corps de porcelaine. Elle serait là, toute simple, toute seule, grelotante d'avoir enfin quitté son berceau de domination, son masque de mascarade. Et tu pourrais la prendre par la main pour lui montrer à quel point elle existe, lui faire la démonstration de son existence. Il tomberait, il chuterait le Lord Vampire, longuement, dans un trou de luxure, de sang et de douleur, d'humiliation et de soumission.
Il tombera au moment ou tout lui semblera limpide comme l'eau bénite, il tombera dans le trou d'Alice, hypnotisé par sa propre domination, par son contrôle, par tout son être au dessus du reste du monde, et il atteindra brutalement la lie de la société, en découvrira la douce odeur putride, la vraie odeur du sexe et du sang, l'odeur pourrie de l'amour du sexe, de Dieu et de la rébellion. Il l'humera comme si c'était la première fois, une fois et une seule fois, l'expérience lui ferait comprendre que rien ne vaut de se mentir à soi même. Au fond, il ne pourrait reculer contre sa destiné. Etre dans une chambre, la nonne à ses pieds, en train de lui pomper son membre gras et dur, l'excitation palpitant dans chaque veine de son corps, la fièvre aux yeux, les grognements plaisir, l'excitation d'être obéit, et de voir cet être tout de beauté prostituée lui offrir son talent pour son propre plaisir. C'est sa, sa destiné. La Providence veut qu'il en pâtisse.
Ce Hurlement, tu t'en repais. Comme s'il s'agissait déjà du cri de la victoire s'échappant de ta propre gorge, tu l'écoutes et tu fermes à demi les yeux, ton sourire s'élargissant alors qu'il ne contrôle déjà plus une partie de son corps. Sa voix lui échappe et toi, tu te nourris de sa toute puissance écrasée, piétinée par un simple mouvement de main. Même s'il t'attrape, même s'il reprend le contrôle, la chute n'en est pas moins à quelques centimètres. Dans une chute, on a l'espoir de se rattraper au bord, les pieds dans le vide, de voir une main se tendre. Ca dure quelques micro secondes à peine, mais ça suffit à faire espérer avant d'entrapercevoir l’inexorable avancée du béton et d'avoir en vue ce tunnel noir, sans fond, ce choix qui s'offre. Tu finis par relâcher brutalement l'arme qui tombe au sol.
Son doigt dans ta bouche. Son doigt tout autour de ta bouche, qui découvre et fait le tour, qui s'invite et y rencontre ta langue, qui s'invite au jeu, donnant de petits coups rapides à son pouce pendant qu'il parle, comme si sa précieuse voix, ses précieuses paroles n'avaient aucune incidence sur ce que tu veux, sur ce que tu penses, sur ce qui est en train de se passer. Ca n'en a pas. You act like you're a known-in-all Tu as toujours été comme ça. Tu resteras toujours comme ça. Tu es sûre. Certaine. Tellement certaine de tout ce que tu avances comme théorie absurde, dans ton esprit un peu dérangé, dans ta perversion malsaine, dans ton regard provocant, dans ton sourire en coin, tes lèvres se resserrant sur son pouce pour le suçoter, doucement, tes yeux verts remplis d'une humeur indéfinissable dans les siens. L'air de dire que tu es bien contente que ton petit jeu lui ai plu. Et c'est vrai. C'est bien ton boulot, de plaire, d'exciter, de donner envie ? Alors ouais, tu es contente qu'il respecte.
" - Même si tu ne respectais pas, Lord Vampire, ça ne changerait rien." Le passage au tutoiement marque un tournant dans ton attitude. Tu deviens plus brutale, tu deviens plus irréfléchie, détachant et jetant au loin ton masque de respect, il t'encombre, il t'énerve, il te gêne, il va mieux, là sur le sol alors que ta voix se fait plus persifflante, plus menaçante. Est-ce de la haine, chérie ?
Est-ce de la colère ? Ou simplement un ras-le-bol général ? De La rébellion ? Rien de tout ça, tu me diras. Nan. Rien de tout ça. C'est la réalité. Cet être doux n'existe pas. Cet être soumis n'existe que pour les clients. Mais lui, lui, n'est pas un client. Non. Il n'est pas un client comme les autres, il n'en est pas un du tout, il n'est pas un ennemi, il est un Vampire, tu ne voulais pas de vampire, tu n'es pas stable, tu ne veux pas le tuer, tu ne veux pas lui faire regretter sa domination du monde, tu veux juste jouer avec cet homme qui ne mérite aucune soumission, jouer juste pour le voir à tes pieds à toi, pour avoir le doux de ta vengeance, comme le gout du vin, comme le gout du péché. Pourquoi lui et pas un autre ? Pourquoi pas. Lui, c'est celui qui veut tuer les métamorphe, lui c'est celui qui est là, ce soir, c'est son putain de destin, comme le tien c'est de te faire trainer dans cette chambre VIP par la gorge, comme un vulgaire sac encore habillé, et de le voir préparer sa malsaine punition, ton destin c'est de te dire que ça va être amusant, oh bordel tellement amusant, ton destin c'est d'aimer d'être maltraitée, et de ne pas regretter aucune de tes actions, son destin c'est de finir cette nuit soumis à une métamorphe et humilié, non pas de finir mort et torturé. C'est de finir soumis au plaisir et à ses péchés, à ses torts, à ses envies, finir soumis à tout ce qui le représente en tant qu'homme et vampire. Il n'y aura pas de sang qui coulera ce soir, à part le tien. Aucune violence ne sera faîtes à part la violence sexuelle. Ce soir, c'est la bataille entre une prostituée et un vampire, entre une experte du BDSM et un malheureux maltraiteur, entre deux fous dans leur genre. Il est là. Rien n'étiat décidé. Rien n'était prédit.
Au fond, tu ne lui en veux pas. Au fond, ce n'est même pas un acte de rébellion.
De la provocation, tout au plus. Il n'avait pas à t'empêcher de te débattre. Tu ne te débattais pas. Sentant tes pieds être attachés, tu ne fais entendre qu'un gémissement alors que ton corps est parcouru par un long frémissement, sensuel et sensible. Tu fermais à demi les yeux, poussant seulement un soupir en susurrant d'un air naturel.
" - Je ne pourrais pas te montrer mes talents en chevauchage..." Relevant un peu les yeux, tu le fixes une seconde, ton sourire s'étirant, longuement, un air un peu dément alors qu'il retire enfin ta coiffure, tes courts cheveux blonds se révélant à la lueur crue de la chambre. Tu le fixes. Tu n'as pas peur. Aucune appréhension, même au vue de ce qu'il te prépare. Tu le fixes et tu passes ta langue sur tes lèvres, longuement, silencieusement, langoureusement, avec un geignement qui ressemble à un petit mot d'assertion. Bien choisi. Bien sûr que cela va te plaîre. A qui pourrais-tu mentir ? Et pourquoi cela ne te plairait pas ? Bien sûr que tu veux la suite, la violence, la décadence, la sueur, le sexe, l'odeur enivrante. Mais cela ne change rien au reste. Ca s'imbrique comme si c'était totalement lié. C'est clair dans ce cerveau un peu luxurieux et décadent qui est le tien.
Cambrée, tes tétons toujours dévoilés et pointant un peu alors que le reste de tes sous-vêtements sont toujours en place, tu frissonnes de nouveau alors qu'il passe la lame sur son corps, hérissant un peu le duvet de ton corps, te tirant un léger gémissement tendre et délicat. Tu ouvres docilement la bouche quand il te présente le gagbar et tu le fixes toujours, d'un air provocant et tout aussi sensuel qu'auparavant alors que tes mains bougent sur le crochet. Tu te laisses bander les yeux. Tu essaies même de glisser ta langue sur sa main qui caresse ton visage, le menton bien relevé par la pointe de cette arme. Ca ne te plaît pas. Non. Mais ce que tu fais avec tes mains t'intéresse beaucoup plus et doucement, tu arrives à amener la paume de ta main droite au sommet du crochet, la corde te faisant mal, glissant et irritant ta peau alors que tu gémissais légèrement, la bouche tenue ouverte, un filet de salive s'en écoulant, ta langue bougeant un peu avant que tu n'arrives à prononcer, doucement.
" - Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché." S'il regarde en hauteur, il peut voir ta main, se crisper sur le crocher, se refermer dessus, alors que tu pousses sur ta paume sur le haut pointu pour l'y enfoncer. Un grognement de douleur t'échappe mais tu reprends la parole, scandant les paroles de St Jean. "Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire 20 par la route nouvelle et vivante qu'il a inaugurée pour nous au travers du voile, c'est-à-dire, de sa chair." Tu relèves un peu plus le menton, ton sang, s'écoulant sur le sol, ta main écorchée, à vif, ouverte alors que tu la refais pendouiller. Il coule, il coule sur tes cheveux blonds, sur ton menton, sur tes seins, sur le sol, sur tes épaules. Ton sourire s'esquisse après la douleur, tes yeux bandés, les paroles étant compliquées à comprendre mais bien audibles. " Mon Fils, répète après moi ... Père éternel, je vous offre le sang de Jésus Christ pour le rachat de mes péchés et les besoins de votre Eglise... Bois."
C'est un ordre.
C'est une domination.
Watch your step or you might Fall Il était décidément délicieux. Il fallait rendre au Lord Vampire ce qui appartenait au Lord Eric, il avait un gout parfait, malgré la froideur de son membre. Et mon dieu, qu'il était fatiguant. A t'exciter intérieurement, à te donner envie de faire toujours plus, juste pour le voir perdre son ton mielleux, son sourire satisfait, son naturel content. Te punir, faire tomber le couperet, enfin, de la punition, de la soumission sur tout ton être pour que la fin soit parfaite : La soumission viendrait de lui, dans tous les cas. Comme le vers dans la pomme, doucement, la soumission se faufilerait dans son coeur, à la recherche de sa bouche pour se déverser à tes pieds nus, blancs, comme le reste de ton corps de porcelaine. Elle serait là, toute simple, toute seule, grelotante d'avoir enfin quitté son berceau de domination, son masque de mascarade. Et tu pourrais la prendre par la main pour lui montrer à quel point elle existe, lui faire la démonstration de son existence. Il tomberait, il chuterait le Lord Vampire, longuement, dans un trou de luxure, de sang et de douleur, d'humiliation et de soumission.
Il tombera au moment ou tout lui semblera limpide comme l'eau bénite, il tombera dans le trou d'Alice, hypnotisé par sa propre domination, par son contrôle, par tout son être au dessus du reste du monde, et il atteindra brutalement la lie de la société, en découvrira la douce odeur putride, la vraie odeur du sexe et du sang, l'odeur pourrie de l'amour du sexe, de Dieu et de la rébellion. Il l'humera comme si c'était la première fois, une fois et une seule fois, l'expérience lui ferait comprendre que rien ne vaut de se mentir à soi même. Au fond, il ne pourrait reculer contre sa destiné. Etre dans une chambre, la nonne à ses pieds, en train de lui pomper son membre gras et dur, l'excitation palpitant dans chaque veine de son corps, la fièvre aux yeux, les grognements plaisir, l'excitation d'être obéit, et de voir cet être tout de beauté prostituée lui offrir son talent pour son propre plaisir. C'est sa, sa destiné. La Providence veut qu'il en pâtisse.
Ce Hurlement, tu t'en repais. Comme s'il s'agissait déjà du cri de la victoire s'échappant de ta propre gorge, tu l'écoutes et tu fermes à demi les yeux, ton sourire s'élargissant alors qu'il ne contrôle déjà plus une partie de son corps. Sa voix lui échappe et toi, tu te nourris de sa toute puissance écrasée, piétinée par un simple mouvement de main. Même s'il t'attrape, même s'il reprend le contrôle, la chute n'en est pas moins à quelques centimètres. Dans une chute, on a l'espoir de se rattraper au bord, les pieds dans le vide, de voir une main se tendre. Ca dure quelques micro secondes à peine, mais ça suffit à faire espérer avant d'entrapercevoir l’inexorable avancée du béton et d'avoir en vue ce tunnel noir, sans fond, ce choix qui s'offre. Tu finis par relâcher brutalement l'arme qui tombe au sol.
Son doigt dans ta bouche. Son doigt tout autour de ta bouche, qui découvre et fait le tour, qui s'invite et y rencontre ta langue, qui s'invite au jeu, donnant de petits coups rapides à son pouce pendant qu'il parle, comme si sa précieuse voix, ses précieuses paroles n'avaient aucune incidence sur ce que tu veux, sur ce que tu penses, sur ce qui est en train de se passer. Ca n'en a pas. You act like you're a known-in-all Tu as toujours été comme ça. Tu resteras toujours comme ça. Tu es sûre. Certaine. Tellement certaine de tout ce que tu avances comme théorie absurde, dans ton esprit un peu dérangé, dans ta perversion malsaine, dans ton regard provocant, dans ton sourire en coin, tes lèvres se resserrant sur son pouce pour le suçoter, doucement, tes yeux verts remplis d'une humeur indéfinissable dans les siens. L'air de dire que tu es bien contente que ton petit jeu lui ai plu. Et c'est vrai. C'est bien ton boulot, de plaire, d'exciter, de donner envie ? Alors ouais, tu es contente qu'il respecte.
" - Même si tu ne respectais pas, Lord Vampire, ça ne changerait rien." Le passage au tutoiement marque un tournant dans ton attitude. Tu deviens plus brutale, tu deviens plus irréfléchie, détachant et jetant au loin ton masque de respect, il t'encombre, il t'énerve, il te gêne, il va mieux, là sur le sol alors que ta voix se fait plus persifflante, plus menaçante. Est-ce de la haine, chérie ?
Est-ce de la colère ? Ou simplement un ras-le-bol général ? De La rébellion ? Rien de tout ça, tu me diras. Nan. Rien de tout ça. C'est la réalité. Cet être doux n'existe pas. Cet être soumis n'existe que pour les clients. Mais lui, lui, n'est pas un client. Non. Il n'est pas un client comme les autres, il n'en est pas un du tout, il n'est pas un ennemi, il est un Vampire, tu ne voulais pas de vampire, tu n'es pas stable, tu ne veux pas le tuer, tu ne veux pas lui faire regretter sa domination du monde, tu veux juste jouer avec cet homme qui ne mérite aucune soumission, jouer juste pour le voir à tes pieds à toi, pour avoir le doux de ta vengeance, comme le gout du vin, comme le gout du péché. Pourquoi lui et pas un autre ? Pourquoi pas. Lui, c'est celui qui veut tuer les métamorphe, lui c'est celui qui est là, ce soir, c'est son putain de destin, comme le tien c'est de te faire trainer dans cette chambre VIP par la gorge, comme un vulgaire sac encore habillé, et de le voir préparer sa malsaine punition, ton destin c'est de te dire que ça va être amusant, oh bordel tellement amusant, ton destin c'est d'aimer d'être maltraitée, et de ne pas regretter aucune de tes actions, son destin c'est de finir cette nuit soumis à une métamorphe et humilié, non pas de finir mort et torturé. C'est de finir soumis au plaisir et à ses péchés, à ses torts, à ses envies, finir soumis à tout ce qui le représente en tant qu'homme et vampire. Il n'y aura pas de sang qui coulera ce soir, à part le tien. Aucune violence ne sera faîtes à part la violence sexuelle. Ce soir, c'est la bataille entre une prostituée et un vampire, entre une experte du BDSM et un malheureux maltraiteur, entre deux fous dans leur genre. Il est là. Rien n'étiat décidé. Rien n'était prédit.
Au fond, tu ne lui en veux pas. Au fond, ce n'est même pas un acte de rébellion.
De la provocation, tout au plus. Il n'avait pas à t'empêcher de te débattre. Tu ne te débattais pas. Sentant tes pieds être attachés, tu ne fais entendre qu'un gémissement alors que ton corps est parcouru par un long frémissement, sensuel et sensible. Tu fermais à demi les yeux, poussant seulement un soupir en susurrant d'un air naturel.
" - Je ne pourrais pas te montrer mes talents en chevauchage..." Relevant un peu les yeux, tu le fixes une seconde, ton sourire s'étirant, longuement, un air un peu dément alors qu'il retire enfin ta coiffure, tes courts cheveux blonds se révélant à la lueur crue de la chambre. Tu le fixes. Tu n'as pas peur. Aucune appréhension, même au vue de ce qu'il te prépare. Tu le fixes et tu passes ta langue sur tes lèvres, longuement, silencieusement, langoureusement, avec un geignement qui ressemble à un petit mot d'assertion. Bien choisi. Bien sûr que cela va te plaîre. A qui pourrais-tu mentir ? Et pourquoi cela ne te plairait pas ? Bien sûr que tu veux la suite, la violence, la décadence, la sueur, le sexe, l'odeur enivrante. Mais cela ne change rien au reste. Ca s'imbrique comme si c'était totalement lié. C'est clair dans ce cerveau un peu luxurieux et décadent qui est le tien.
Cambrée, tes tétons toujours dévoilés et pointant un peu alors que le reste de tes sous-vêtements sont toujours en place, tu frissonnes de nouveau alors qu'il passe la lame sur son corps, hérissant un peu le duvet de ton corps, te tirant un léger gémissement tendre et délicat. Tu ouvres docilement la bouche quand il te présente le gagbar et tu le fixes toujours, d'un air provocant et tout aussi sensuel qu'auparavant alors que tes mains bougent sur le crochet. Tu te laisses bander les yeux. Tu essaies même de glisser ta langue sur sa main qui caresse ton visage, le menton bien relevé par la pointe de cette arme. Ca ne te plaît pas. Non. Mais ce que tu fais avec tes mains t'intéresse beaucoup plus et doucement, tu arrives à amener la paume de ta main droite au sommet du crochet, la corde te faisant mal, glissant et irritant ta peau alors que tu gémissais légèrement, la bouche tenue ouverte, un filet de salive s'en écoulant, ta langue bougeant un peu avant que tu n'arrives à prononcer, doucement.
" - Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché." S'il regarde en hauteur, il peut voir ta main, se crisper sur le crocher, se refermer dessus, alors que tu pousses sur ta paume sur le haut pointu pour l'y enfoncer. Un grognement de douleur t'échappe mais tu reprends la parole, scandant les paroles de St Jean. "Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire 20 par la route nouvelle et vivante qu'il a inaugurée pour nous au travers du voile, c'est-à-dire, de sa chair." Tu relèves un peu plus le menton, ton sang, s'écoulant sur le sol, ta main écorchée, à vif, ouverte alors que tu la refais pendouiller. Il coule, il coule sur tes cheveux blonds, sur ton menton, sur tes seins, sur le sol, sur tes épaules. Ton sourire s'esquisse après la douleur, tes yeux bandés, les paroles étant compliquées à comprendre mais bien audibles. " Mon Fils, répète après moi ... Père éternel, je vous offre le sang de Jésus Christ pour le rachat de mes péchés et les besoins de votre Eglise... Bois."
C'est un ordre.
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Le défi semblait être le principal ressort rhétorique de la demoiselle. Elle me défiait en permanence, revenait au tutoiement qui, en soit, ne me froisse pas plus que ça, mais le fait de passer du « vous » au « tu » de façon aussi abrupte avait un petit quelque chose de… Désagréable. Alors même que je lui avais fait part du respect (somme toute relatif avouons-le) que j’avais pour elle, elle me crachait à la gueule. Déplaisant. Et fort peu civil. Mais son Altesse la Reine des Putes se retrouvera à pencher sa couronne bien assez tôt.
Alors que je la trainais à travers la chambre comme un vulgaire objet, son esprit entrait en ébullition. Elle ne pouvait pas le voir, mais je souris. Elle était persuadée de garder le contrôle de ce petit jeu, de pouvoir se jouer de moi comme d’un pantin. Ce n’était pas la première fois que je rencontrais ce genre de personnalité, et cela m’amusait à chaque fois pour une seule raison : dans ce genre d’affrontement, avoir un accès, même limité, à l’esprit de son adversaire, surtout à son issu, est un avantage de taille.
Je recevais ses pensées en images, en impressions, en sentiments… Elle me haïssait. Assez profondément. Je vis un thérianthrope, mon visage, une sensation de détestation… Elle ma haïssait parce que je chasse les thérianthropes… ? Amusant… Peut-être avait-elle un de ces monstres dans sa famille et souhaitait, pour une raison ou pour une autre, le protéger ? En tout cas, l’autre chose qui apparaissait très clairement dans son esprit, c’est la jouissance… Malgré toute cette détestation qu’elle me vouait, elle appréciait très clairement la façon dont je la traitais. Ni sado, ni maso, juste un peu des deux. Un nouveau bravado quand je lui attache les jambes. Ce n’est pas une façade. Elle n’a pas peur. Elle a hâte ? Peut-être.
Je fermais son esprit. Il ne fallait pas que je m’épuise de trop. Ce qu’elle ressentait de l’action présente, je pouvais le deviner… Ce qui m’intéressait, c’était sa relation avec les thérianthropes… Certes, j’étais sorti me détendre, mais que voulez-vous, je suis quelqu’un de zélé… Alors que je venais derrière elle pour continuer mon petit jeu, elle se mit à débiter la Bible. Du moins, c’est ce que je puis comprendre au début. Afin de mieux l’entendre, je revins derrière elle pour lui descendre la barre sur le menton.
Elle… S’empala la main. Cela nécessitait un certain niveau de volonté, tout de même. C’était rafraîchissant de se taper une féministe. Je la regardais faire d’un air assez… perplexe. Je n’osais pas comprendre le but de sa démarche… « Bois ». Voilà sur quoi elle termina. Alors c’était bien ça. Elle pensait que se saigner à blanc me ferais me jeter sur elle et me mettre à genoux pour lui sucer le sang ou quelque chose… C’était… Bien pensé, dans l’idée ? Je suppose ?
Décidant de marcher dans son jeu, je vins me coller à elle, caressant son corps ensanglanté d’une mais presque tremblante pour lécher mes doigts souillés avec un souffle de junkie… Du bout de la langue, je vins lécher le sang coulant dans son cou, gémissant ostensiblement, m’assurant qu’elle m’entende bien distinctement, avant de venir l’embrasser, très lent, très sensuel… Et lui recracher son propre sang dans la bouche avant de relever le bandeau, un air à la fois faussement incrédule et de complet salaud au visage. « Ça va pas marcher. Désolé… Le fruit qui pend bas n’excite pas. » Alors qu’elle s’apprêtait à me le recracher au visage, je bloquai avec la main et l’essuyai sur sa joue avec un ricanement moqueur avant de lui remettre la barre et le bandeau.
J’aurais pu venir lécher sa main et cautériser la plaie. Mais si elle voulait saigner, elle allait saigner. C’était un geste très risqué, avec de grosses récompenses potentielles… Mais c’était un échec, et elle allait devoir assumer les conséquences de ses risques.
Notez bien que si je n’avais pas été… eh bien ma foi, moi, cela aurait pu marcher. Le degré d’attraction au sang et les effets varient de vampire en vampire… Chez moi, c’est assez… modéré. J’aime le sang, aucun doute là-dessus. J’adore le sang. C’est délicieux, j’adore sa texture et ses effets aphrodisiaques sont assez forts… Une fois que je commence à en boire, j’ai du mal m’arrêter (ergo, ma flasque contient du scotch, et non du sang). Mais me le voir offert ainsi ? Alors que j’étais justement venu chercher la difficulté ? Cela ne me donnait pas envie.
Toujours amusé par sa tentative, ma main glissa contre l’espèce de corset qui lui cintrait le ventre. Un si beau vêtement, gâché par du sang… C’était du cuir en plus. L’odeur allait rester. Je restais un instant en contemplation… Si l’effet escompté n’était point advenu, force était d’admettre que sur un plan purement esthétique, c’était une réussite. Le rouge écarlate du sang contrastait sur le blanc d’albâtre de sa peau, mettant encore plus son corps en valeur dans un spectacle qui m’aurait presque arraché une larme d’esthète…
Mais assez de sentimentalisme ! Je lui claquai la fesse en passant derrière elle, tentant de réprimer mon sourire, et attrapa l’outil de masturbation anal pour me mettre à lui en caresser le corps, pressant la pointe dans la faille de sa colonne vertébrale, passant sur son anus, entre ses jambes, sous le string, pour passer entre ses lèvres de façon parallèle à son intimité avant de remonter. Je le posai sur son cul galbé offrent une plateforme fort convenable pour prendre le petit pot de gel lubrifiant et en enduire généreusement son œillet d’abord, le sextoy ensuite, avant de le refermer pour écarter ses fesses d’une main et de l’autre lui insérer délicatement l’objet dans le cul. D’abord juste la pointe, que je m’amusai et faire aller et venir doucement avant de l’enfoncer encore, bien lentement, afin que son anus ressente bien les boules le dilater, encore et encore, avant de l’enfoncer en entier. J’avais prévu de le laisser là, mais je vis un petit interrupteur sur le dessous du manche… La surprise me fit sourire… J’actionnais le petit bouton, et entendit la tige se mettre à onduler lentement en elle, m’assurant qu’elle ne pourrait pas vraiment s’habituer à la sensation.
Ce léger vrombissement me fit glousser… « Où en étions-nous… Ah oui. Le sexe. » Ma main vint s’abattre violemment sur ses fesses dans un claquement sonore et je revins par-devant elle, chipant une cravache qui traînait au passage et m’en servi pour lui relever le menton une fois de plus. « Alors, comment ça fait de se retrouver à la merci de ce que l’on hait ? » Du manche de la cravache, je vins écraser un de ses tétons, faisant tourner lentement l’objet pour lui frotter la pointe avant de la libérer pour la saisir entre deux doigts et tirer dessus. « Ça n’a pas l’air de te déplaire… Et là-dessous ? » la palme de l’outil vint se nicher entre ses jambes pour se frotter à son intimité avant de se retirer. Elle était bien humide… « Aussi… » Et sa joue se fit gifler par une cravache souillée de sa propre mouille avant de lui arracher la barre pour la remplacer par la palme. « N’as-tu point le goût d’une traînée, dis-moi ? » C’était un peu à mon tour de m’amuser…
Alors que je la trainais à travers la chambre comme un vulgaire objet, son esprit entrait en ébullition. Elle ne pouvait pas le voir, mais je souris. Elle était persuadée de garder le contrôle de ce petit jeu, de pouvoir se jouer de moi comme d’un pantin. Ce n’était pas la première fois que je rencontrais ce genre de personnalité, et cela m’amusait à chaque fois pour une seule raison : dans ce genre d’affrontement, avoir un accès, même limité, à l’esprit de son adversaire, surtout à son issu, est un avantage de taille.
Je recevais ses pensées en images, en impressions, en sentiments… Elle me haïssait. Assez profondément. Je vis un thérianthrope, mon visage, une sensation de détestation… Elle ma haïssait parce que je chasse les thérianthropes… ? Amusant… Peut-être avait-elle un de ces monstres dans sa famille et souhaitait, pour une raison ou pour une autre, le protéger ? En tout cas, l’autre chose qui apparaissait très clairement dans son esprit, c’est la jouissance… Malgré toute cette détestation qu’elle me vouait, elle appréciait très clairement la façon dont je la traitais. Ni sado, ni maso, juste un peu des deux. Un nouveau bravado quand je lui attache les jambes. Ce n’est pas une façade. Elle n’a pas peur. Elle a hâte ? Peut-être.
Je fermais son esprit. Il ne fallait pas que je m’épuise de trop. Ce qu’elle ressentait de l’action présente, je pouvais le deviner… Ce qui m’intéressait, c’était sa relation avec les thérianthropes… Certes, j’étais sorti me détendre, mais que voulez-vous, je suis quelqu’un de zélé… Alors que je venais derrière elle pour continuer mon petit jeu, elle se mit à débiter la Bible. Du moins, c’est ce que je puis comprendre au début. Afin de mieux l’entendre, je revins derrière elle pour lui descendre la barre sur le menton.
Elle… S’empala la main. Cela nécessitait un certain niveau de volonté, tout de même. C’était rafraîchissant de se taper une féministe. Je la regardais faire d’un air assez… perplexe. Je n’osais pas comprendre le but de sa démarche… « Bois ». Voilà sur quoi elle termina. Alors c’était bien ça. Elle pensait que se saigner à blanc me ferais me jeter sur elle et me mettre à genoux pour lui sucer le sang ou quelque chose… C’était… Bien pensé, dans l’idée ? Je suppose ?
Décidant de marcher dans son jeu, je vins me coller à elle, caressant son corps ensanglanté d’une mais presque tremblante pour lécher mes doigts souillés avec un souffle de junkie… Du bout de la langue, je vins lécher le sang coulant dans son cou, gémissant ostensiblement, m’assurant qu’elle m’entende bien distinctement, avant de venir l’embrasser, très lent, très sensuel… Et lui recracher son propre sang dans la bouche avant de relever le bandeau, un air à la fois faussement incrédule et de complet salaud au visage. « Ça va pas marcher. Désolé… Le fruit qui pend bas n’excite pas. » Alors qu’elle s’apprêtait à me le recracher au visage, je bloquai avec la main et l’essuyai sur sa joue avec un ricanement moqueur avant de lui remettre la barre et le bandeau.
J’aurais pu venir lécher sa main et cautériser la plaie. Mais si elle voulait saigner, elle allait saigner. C’était un geste très risqué, avec de grosses récompenses potentielles… Mais c’était un échec, et elle allait devoir assumer les conséquences de ses risques.
Notez bien que si je n’avais pas été… eh bien ma foi, moi, cela aurait pu marcher. Le degré d’attraction au sang et les effets varient de vampire en vampire… Chez moi, c’est assez… modéré. J’aime le sang, aucun doute là-dessus. J’adore le sang. C’est délicieux, j’adore sa texture et ses effets aphrodisiaques sont assez forts… Une fois que je commence à en boire, j’ai du mal m’arrêter (ergo, ma flasque contient du scotch, et non du sang). Mais me le voir offert ainsi ? Alors que j’étais justement venu chercher la difficulté ? Cela ne me donnait pas envie.
Toujours amusé par sa tentative, ma main glissa contre l’espèce de corset qui lui cintrait le ventre. Un si beau vêtement, gâché par du sang… C’était du cuir en plus. L’odeur allait rester. Je restais un instant en contemplation… Si l’effet escompté n’était point advenu, force était d’admettre que sur un plan purement esthétique, c’était une réussite. Le rouge écarlate du sang contrastait sur le blanc d’albâtre de sa peau, mettant encore plus son corps en valeur dans un spectacle qui m’aurait presque arraché une larme d’esthète…
Mais assez de sentimentalisme ! Je lui claquai la fesse en passant derrière elle, tentant de réprimer mon sourire, et attrapa l’outil de masturbation anal pour me mettre à lui en caresser le corps, pressant la pointe dans la faille de sa colonne vertébrale, passant sur son anus, entre ses jambes, sous le string, pour passer entre ses lèvres de façon parallèle à son intimité avant de remonter. Je le posai sur son cul galbé offrent une plateforme fort convenable pour prendre le petit pot de gel lubrifiant et en enduire généreusement son œillet d’abord, le sextoy ensuite, avant de le refermer pour écarter ses fesses d’une main et de l’autre lui insérer délicatement l’objet dans le cul. D’abord juste la pointe, que je m’amusai et faire aller et venir doucement avant de l’enfoncer encore, bien lentement, afin que son anus ressente bien les boules le dilater, encore et encore, avant de l’enfoncer en entier. J’avais prévu de le laisser là, mais je vis un petit interrupteur sur le dessous du manche… La surprise me fit sourire… J’actionnais le petit bouton, et entendit la tige se mettre à onduler lentement en elle, m’assurant qu’elle ne pourrait pas vraiment s’habituer à la sensation.
Ce léger vrombissement me fit glousser… « Où en étions-nous… Ah oui. Le sexe. » Ma main vint s’abattre violemment sur ses fesses dans un claquement sonore et je revins par-devant elle, chipant une cravache qui traînait au passage et m’en servi pour lui relever le menton une fois de plus. « Alors, comment ça fait de se retrouver à la merci de ce que l’on hait ? » Du manche de la cravache, je vins écraser un de ses tétons, faisant tourner lentement l’objet pour lui frotter la pointe avant de la libérer pour la saisir entre deux doigts et tirer dessus. « Ça n’a pas l’air de te déplaire… Et là-dessous ? » la palme de l’outil vint se nicher entre ses jambes pour se frotter à son intimité avant de se retirer. Elle était bien humide… « Aussi… » Et sa joue se fit gifler par une cravache souillée de sa propre mouille avant de lui arracher la barre pour la remplacer par la palme. « N’as-tu point le goût d’une traînée, dis-moi ? » C’était un peu à mon tour de m’amuser…
- Eric Von Bunckenmark
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Il était là. Il était là à te narguer. Il te disait en face que ta super idée, l'idée qui aurait du le dominer moralement, lui faire mal, tellement mal ... Et bien non. Il était plus fort que ça. Tellement plus fort que ça. Lui, il ne peut pas être un putain de con, il ne peut pas ressentir l'attraction pour le sang, être accroc. Il faut qu'il te montre à quel point tu t'offres à lui. Ton sang, tu lui offres. Ton sang, ton corps, tu offres tout. Pour lui faire mal mentalement parce que physiquement tu ne lui veux rien. Tu essaies de ne pas lui vouloir du mal physiquement, tu veux juste qu'il souffre, qu'il se voit dominé, qu'il comprenne qu'une humaine, qu'une métamorphe pouvait le dominer. Non il ne savait pas. Non, tu ne pouvais pas lui faire du mal physiquement, il fallait te contrôler. Là alors que tu sentais sa langue sur ta gorge, puis le sang dans sa bouche, tu réponds au baiser en espérant encore, l'espace de quelques secondes. Allez, dîtes moi qu'il se soumet à moi... Dîtes moi que le sang fait son office. DITES MOI QUE PUTAIN CE CON DE PREMIER EXORCISTE EST UN GROS SOUMIS DE MERDE ! La violence. Il y a de la haine en toi quand il t'envoie le sang dans la gueule.
La salive coule sur ton menton quand il remet la barre. Le sang coule sur ton menton, la haine, la violence, la brutalité, luit dans les yeux sur lesquels il fait de nouveau glisser le bandeau. Tu hurlerais si tu pouvais. Mais non. Parce qu'au fond, tu veux de la violence, tu veux le déchiqueter, tu veux jouir en le déchiquetant. Non, pas vraiment, tu veux mourir sous le plaisir, vraiment, qu'il te fasse mal, qu'il te batte, qu'il te fasse souffrir, qu'il te déchiquète et que t'atteigne encore et encore l'orgasme sous la violence et la brutalité, tu veux te cambrer et crier. Tu n'es plus normale. Tu ne te contrôles plus. Tu lui en veux d'être le Premier Exorciste. Tu t'en veux de t'offrir à lui, c'est ce qu'il te dit en te recrachant le sang, en laissant ta main saigner comme jamais. Tu te détestes d'avoir offert ton sang, comme ça, si facilement et qu'il t'ai répondu en gros, comme un putain de salaud "Non." Nan.
NAN.
PUTAIN DE NAN.
Tu le veux en tout. Tu le veux qui te prend brutalement. Tu le veux qui te fasse du mal, qui te prenne et qui t'envoie contre le mur, qu'il te défonce la chatte, le cul... L'exorciste là. Tu dois le voir comme un simple client, pourtant. Mais tu y arrives plus. Tu sens sa main sur tes hanches, sur ton corset, il te caresse, il te regarde. Tu esquisses un sourire, mais la barre qui te bloque, le sang coule de ta main sur ton épaule, et sur ton sein... La barre transforme ton sourire en une grimace. Tu murmures, difficilement, certes, mais ta voix est rauque, l'excitation te rendant incontrôlable intérieurement, même s'il ne peut sans doute pas le voir. Toute cette haine, tout ce plaisir, toute cette souffrance que tu désires.
" - Contemplation ?" Un souffle. Tu ne murmures que ça alors que relèves un peu le menton d'un air fier.
Tu couines. La claque sur la fesse te fait couiner et tu te cambres un peu en haletant, ondulant des hanches de la manière la plus provocante possible. Tu frémis, tu frissonnes, tu te cambres et tu gémis en sentant le gode à boule parcourir ton dos, tu pousses un long soupir avec un nouveau gémissement quand l'objet vient frotter contre ton intimité déjà bien humide. l'excitation, la colère, le plaisir, la rage, la haine, l'envie de le défoncer et de le désirer en même temps.
" - Allez vas-y... Lord Eric, vas-y..."
Tu as la voix cassée, tu ne le supplies pas, tu gémis seulement en sentant le gel lubrifiant, frais contre ton œillet, tu gémis encore plus fort, tu te cambres un peu plus juste en sentant ce liquide qui te prépare à une pénétration plutôt ... Lourde ? Ouais. Ton souffle s'accélére de plus en plus, un cri s'échappe de ta gorge alors que tu jettes ta tête en arrière, la douleur dans la paume de ma main t'excitant encore plus, tu te crispes un peu autour de la pointe en mordant la barre avec un vrai couinement de plaisir et de désir. A chaque boule qui s'enfonce en toi, tu cries, un cri de plus en plus aigu à mesure que tu sens ton anus se dilater et que tu te resserres autour du gode pour plus de sensation. Ca aurait été sa queue, il aurait senti tes parois se crisper et se desserrer alors que tu criais, tu gémissais, tu couinais sans plus aucune honte, sans plus aucune retenue. Tu t'en foutais. Tu voulais l'exciter. Là maintenant, tu voulais le rendre fou de te faire du mal et de lui montrer à quel point tu aimes ça.
Et surtout que tu aimes le détester. Tu apprécies encore plus ton traitement que ça t'empêche de le hair autant que tu le hais. Par contre, en sentant la petite ondulation de l'objet, tes yeux s'écarquillent un peu, un long gémissement, très long en sentant le petit mouvement, tu te cambres beaucoup plus.
" - Ah .. Putain... Haaaaan.. De merde..."
Ta tête est en arrière mais après la petite fessée tu la fais un peu tomber, haletante, gémissant tendrement. Tu couines sous la fessée, et la petite cravache relèves ton menton, la salive glissant dessus, ta bouche bien ouverte alors que tu fixes le vide avec tes yeux bandés. Tu ne réponds pas, sortant seulement un peu ta langue avant d'esquisser un nouveau sourire, faisant bouger tes hanches.
" - Ca m'excite, Lord Vampire...Tu veux .. Haaan... !" Ta phrase est coupée par le manche qui vient maltraiter ton téton dur et presque douloureux sous le plaisir. Il les tire, tu te cambres, tu essaies de bouger, tu couines, tu gémis, mordant de nouveau la barre avant de dire dans un souffle. "Tu veux que ... Aaaaah.. Je t'explique combien... Tu m'excites ?" Ton intimité trempée, frottée par la palme produit un peu plus de cyprine alors que tu gémissais de plus belle et relevait bien la tête. Ta tête fit un encart, partant sur la droite sous la gifle, la mouille coulant aussi avec le sang. "HE !" Ton visage se ferme un instant alors que tu sens qu'il t'enlèves la barre et la remplace par la palme, remplie de mouille. Le dégout ? Non. Tu fermes tes lèvres sur la palme, tu la suçotes, tu la suces, tu la tires vers toi en la gardant en bouche avant de ressortir ta langue, provocante, passant le petit bout de chair rouge sur toutes tes lèvres bien humides pour finir d'avaler le reste de cyprine. "Mmm... Tu devrais gouter pour te faire un avis, non ?" Le gode te tire des putains de gémissements, tu couines et tu bouges un peu avant de tirer la langue et de la remonter pour te lécher bien les lèvres de nouveau, face à lui, avec un grand sourire, la barre sur la gorge, les yeux aveuglés. " Haaan... Allez, viens... Entre les bras de Dieu... Me baiser..."
Toujours pas une supplication. Non seulement une provocation alors que tu mordilles ta lèvre inférieure et tremble un peu. Le sang continue de couler, beaucoup moins certes, mais toujours. Tu deviens un peu plus faible, tu gémis, tu cris, tu halètes, ton souffle est rapide, court, ta poitrine en avant, ta tête de nouveau un peu sur ton torse alors que tu la relèves excitante, excitée, le corps brulant, fiévreux.
La salive coule sur ton menton quand il remet la barre. Le sang coule sur ton menton, la haine, la violence, la brutalité, luit dans les yeux sur lesquels il fait de nouveau glisser le bandeau. Tu hurlerais si tu pouvais. Mais non. Parce qu'au fond, tu veux de la violence, tu veux le déchiqueter, tu veux jouir en le déchiquetant. Non, pas vraiment, tu veux mourir sous le plaisir, vraiment, qu'il te fasse mal, qu'il te batte, qu'il te fasse souffrir, qu'il te déchiquète et que t'atteigne encore et encore l'orgasme sous la violence et la brutalité, tu veux te cambrer et crier. Tu n'es plus normale. Tu ne te contrôles plus. Tu lui en veux d'être le Premier Exorciste. Tu t'en veux de t'offrir à lui, c'est ce qu'il te dit en te recrachant le sang, en laissant ta main saigner comme jamais. Tu te détestes d'avoir offert ton sang, comme ça, si facilement et qu'il t'ai répondu en gros, comme un putain de salaud "Non." Nan.
NAN.
PUTAIN DE NAN.
Tu le veux en tout. Tu le veux qui te prend brutalement. Tu le veux qui te fasse du mal, qui te prenne et qui t'envoie contre le mur, qu'il te défonce la chatte, le cul... L'exorciste là. Tu dois le voir comme un simple client, pourtant. Mais tu y arrives plus. Tu sens sa main sur tes hanches, sur ton corset, il te caresse, il te regarde. Tu esquisses un sourire, mais la barre qui te bloque, le sang coule de ta main sur ton épaule, et sur ton sein... La barre transforme ton sourire en une grimace. Tu murmures, difficilement, certes, mais ta voix est rauque, l'excitation te rendant incontrôlable intérieurement, même s'il ne peut sans doute pas le voir. Toute cette haine, tout ce plaisir, toute cette souffrance que tu désires.
" - Contemplation ?" Un souffle. Tu ne murmures que ça alors que relèves un peu le menton d'un air fier.
Tu couines. La claque sur la fesse te fait couiner et tu te cambres un peu en haletant, ondulant des hanches de la manière la plus provocante possible. Tu frémis, tu frissonnes, tu te cambres et tu gémis en sentant le gode à boule parcourir ton dos, tu pousses un long soupir avec un nouveau gémissement quand l'objet vient frotter contre ton intimité déjà bien humide. l'excitation, la colère, le plaisir, la rage, la haine, l'envie de le défoncer et de le désirer en même temps.
" - Allez vas-y... Lord Eric, vas-y..."
Tu as la voix cassée, tu ne le supplies pas, tu gémis seulement en sentant le gel lubrifiant, frais contre ton œillet, tu gémis encore plus fort, tu te cambres un peu plus juste en sentant ce liquide qui te prépare à une pénétration plutôt ... Lourde ? Ouais. Ton souffle s'accélére de plus en plus, un cri s'échappe de ta gorge alors que tu jettes ta tête en arrière, la douleur dans la paume de ma main t'excitant encore plus, tu te crispes un peu autour de la pointe en mordant la barre avec un vrai couinement de plaisir et de désir. A chaque boule qui s'enfonce en toi, tu cries, un cri de plus en plus aigu à mesure que tu sens ton anus se dilater et que tu te resserres autour du gode pour plus de sensation. Ca aurait été sa queue, il aurait senti tes parois se crisper et se desserrer alors que tu criais, tu gémissais, tu couinais sans plus aucune honte, sans plus aucune retenue. Tu t'en foutais. Tu voulais l'exciter. Là maintenant, tu voulais le rendre fou de te faire du mal et de lui montrer à quel point tu aimes ça.
Et surtout que tu aimes le détester. Tu apprécies encore plus ton traitement que ça t'empêche de le hair autant que tu le hais. Par contre, en sentant la petite ondulation de l'objet, tes yeux s'écarquillent un peu, un long gémissement, très long en sentant le petit mouvement, tu te cambres beaucoup plus.
" - Ah .. Putain... Haaaaan.. De merde..."
Ta tête est en arrière mais après la petite fessée tu la fais un peu tomber, haletante, gémissant tendrement. Tu couines sous la fessée, et la petite cravache relèves ton menton, la salive glissant dessus, ta bouche bien ouverte alors que tu fixes le vide avec tes yeux bandés. Tu ne réponds pas, sortant seulement un peu ta langue avant d'esquisser un nouveau sourire, faisant bouger tes hanches.
" - Ca m'excite, Lord Vampire...Tu veux .. Haaan... !" Ta phrase est coupée par le manche qui vient maltraiter ton téton dur et presque douloureux sous le plaisir. Il les tire, tu te cambres, tu essaies de bouger, tu couines, tu gémis, mordant de nouveau la barre avant de dire dans un souffle. "Tu veux que ... Aaaaah.. Je t'explique combien... Tu m'excites ?" Ton intimité trempée, frottée par la palme produit un peu plus de cyprine alors que tu gémissais de plus belle et relevait bien la tête. Ta tête fit un encart, partant sur la droite sous la gifle, la mouille coulant aussi avec le sang. "HE !" Ton visage se ferme un instant alors que tu sens qu'il t'enlèves la barre et la remplace par la palme, remplie de mouille. Le dégout ? Non. Tu fermes tes lèvres sur la palme, tu la suçotes, tu la suces, tu la tires vers toi en la gardant en bouche avant de ressortir ta langue, provocante, passant le petit bout de chair rouge sur toutes tes lèvres bien humides pour finir d'avaler le reste de cyprine. "Mmm... Tu devrais gouter pour te faire un avis, non ?" Le gode te tire des putains de gémissements, tu couines et tu bouges un peu avant de tirer la langue et de la remonter pour te lécher bien les lèvres de nouveau, face à lui, avec un grand sourire, la barre sur la gorge, les yeux aveuglés. " Haaan... Allez, viens... Entre les bras de Dieu... Me baiser..."
Toujours pas une supplication. Non seulement une provocation alors que tu mordilles ta lèvre inférieure et tremble un peu. Le sang continue de couler, beaucoup moins certes, mais toujours. Tu deviens un peu plus faible, tu gémis, tu cris, tu halètes, ton souffle est rapide, court, ta poitrine en avant, ta tête de nouveau un peu sur ton torse alors que tu la relèves excitante, excitée, le corps brulant, fiévreux.
- Calypso Heart
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Que le concert commence. Avec Eric Von Bunckenmark dans le rôle du chef d’orchestre et la Nonne de St-Jack en soliste, mesdames et messieurs bienvenue dans le concerto SM de plaisir en gémissement majeur. Une très belle partition et les artistes sont très doués. Il n’a pas son pareil pour lui faire pousser ses plus belles notes. Il n’a pas besoin de plonger dans son esprit, pourtant grand ouvert, pour savoir les pensées qui lui traversent la tête…
Elle est fière, malgré sa position. Elle le hait toujours. Mais le monde étant bien fait, le bien chasse le mal, et le plaisir chasse la haine. D’un certain côté, je regrettais de ne pas être en mesure de voir ses sentiments dans le regard, mais je savais ma partition. La suppression d’un sens accentue les autres, et sans ce bandeau, peut-être de l’aurais-je pas faite aussi bien chanter.
Chacun des contacts que j’avais avec sa peau lui arrachait une réaction, un trémoussement, un gémissement, elle semblait adorer tout ce que je lui faisais et cela me donna un grand sourire ingénument satisfait. Malgré sa profession, je savais qu’elle ne simulait pas. J’en étais absolument sûr. Pour qu’un mensonge marche, il faut qu’il soit plausible. Ce mensonge-là aurait été fort mauvais.
L’insertion du jouet s’était bien passée… A peine si elle ne l’avait pas demandé après la petite caresse. Et elle avant fort bien réagi. Certaines femmes encaissent mal que leur cul puisse servir d’orifice sexuel, mais pas elle. Elle accueilli à force de cris de plaisir le gode qui s’introduisait en elle. Bordel… Ce que c’était excitant de la voir ainsi gémir et couiner, se baver dessus avec un jouet dans le cul… Je me massais la queue d’une main, curieux de voir combien de temps je pourrai me retenir.
A vrai dire, j’aurais bien apprécié qu’elle m’explique à quel point je l’excitais. Mais je l’avais interrompu. Oups ? Non. C’était tout aussi délectable de la voir sucer sa propre mouille, et je fus triste une microseconde que son bandeau l’empêche de me voir sourire… Mais la voir jouer de sa langue contre la cravache et ses lèvres fut le baume à mon mal. Je l’admettrais volontiers, j’ai un petit fétichisme pour les bouches, et en voir une aussi belle, presque dépourvue de visage, danser devant moi… J’avais envie d’y fourrer ma queue sans autre forme de procès.
« - Ne prends pas trop tes désirs pour des réalités, petite pute… Je te gouterai quand je t’en jugerai digne. »
J’avais chaud. Putain ce que j’avais chaud. Mon sexe me brûlait, mon torse me brûlait, j’avais l’impression qu’un trou noir ardent s’était formé dans ma poitrine… Mon Dieu ce que j’avais envie de cette femme. Je pouvais sentir le pré-sperme humidifier mon gland. Mais je me devais de garder la tête froide. Rester en contrôle, profiter de chaque occasion pour garder mon calme. Et en invoquant Dieu dans une scène aussi… profane, elle me fit un peu rire. Elle devait vraiment être croyante.
« - T’es du genre à crier « Jésus » quand on te saute, toi, non ? » Petite provocation, gratuite au demeurant « Je te baiserai quand m’en prendra la fantaisie… Pas avant. » Sur ce, je me mis à lui tourner autour, abusant de son aveuglement pour exacerber ses sens, effleurant épisodiquement sa peau du bout de la cravache dans une oh, tellement légère, caresse, passant sur ses fesses, son dos, le bout d’un sein, la harcelant cruellement alors que le gode continuait son œuvre dans ses entrailles… Je vins dans son dos, effleurant son flanc du bout du doigt avant de murmurer à son oreille en caressant sa fesse. « Tu aimes cette sensation, la nonne ? Cette tige qui s’agite en toi ? » Je lui laissais le temps de répondre avant d’abattre violemment ma main sur son cul blanc. « Et ça, tu aimes ? » demandais-je de nouveau à travers mes dents serrées avant de gifler son autre fesse « Hmm ? Je suis sûr que tu vas aimer la suite… »
Je posai la cravache et me saisit de la bougie, rouge comme de juste. Armé d’une allumette, je mis le feu à la mèche avant de la souffler et approcha la flamme de son corps, lui faisant sentir sa chaleur avant de la relever très haut au-dessus de ses fesses pour la laisser faire son œuvre, laissant tomber de lourdes et brûlantes gouttes de cire sur sa chair, rajoutant encore une petite touche de rouge à ce tableau décadent. « Je suis sûr qu’une petite catin masochiste dans ton genre doit adorer cette sensation, pas vrai ? » Amusé, regardais ses deux fesses se consteller, lentement, sûrement, arrachant à ma petite poupée de délicieuses réactions qui me firent frémir de désir…
Ricanant lorsque j’estimai que ses fesses furent suffisamment rouge, je soufflai la mèche et revins par-devant elle, attrapant un téton entre mes doigts. « Oh, les pauvres… Ils ont l’air de réclamer des caresses… » Je le pinçai, d’abord doucement, puis le tirai de plus en plus en le tordant, un rictus sadique au visage en le secouant pour mieux le relâcher soudain « Ou autre chose… » Je regardai autour de moi et vit mon bonheur. J’attrapai sur une commode une paire de pinces en métal reliés par une chaîne et garnis de grelots, que je m’empressais de venir attacher à chacun de ses tétons avant de tirer sur la chaînette. « Tu aimes, ça, hmm ? » Je tiraillai encore un peu dessus, entortillant le lien autour de mon doigt, joueur. « Merci qui, salope ? » Je ne lui avais pas remis la barre, lui laissant toute l’amplitude de répondre alors que de mon autre main, je vins cravacher par petits coups rapides son intimité pleurante tout en mordillant délicatement son oreille
Elle est fière, malgré sa position. Elle le hait toujours. Mais le monde étant bien fait, le bien chasse le mal, et le plaisir chasse la haine. D’un certain côté, je regrettais de ne pas être en mesure de voir ses sentiments dans le regard, mais je savais ma partition. La suppression d’un sens accentue les autres, et sans ce bandeau, peut-être de l’aurais-je pas faite aussi bien chanter.
Chacun des contacts que j’avais avec sa peau lui arrachait une réaction, un trémoussement, un gémissement, elle semblait adorer tout ce que je lui faisais et cela me donna un grand sourire ingénument satisfait. Malgré sa profession, je savais qu’elle ne simulait pas. J’en étais absolument sûr. Pour qu’un mensonge marche, il faut qu’il soit plausible. Ce mensonge-là aurait été fort mauvais.
L’insertion du jouet s’était bien passée… A peine si elle ne l’avait pas demandé après la petite caresse. Et elle avant fort bien réagi. Certaines femmes encaissent mal que leur cul puisse servir d’orifice sexuel, mais pas elle. Elle accueilli à force de cris de plaisir le gode qui s’introduisait en elle. Bordel… Ce que c’était excitant de la voir ainsi gémir et couiner, se baver dessus avec un jouet dans le cul… Je me massais la queue d’une main, curieux de voir combien de temps je pourrai me retenir.
A vrai dire, j’aurais bien apprécié qu’elle m’explique à quel point je l’excitais. Mais je l’avais interrompu. Oups ? Non. C’était tout aussi délectable de la voir sucer sa propre mouille, et je fus triste une microseconde que son bandeau l’empêche de me voir sourire… Mais la voir jouer de sa langue contre la cravache et ses lèvres fut le baume à mon mal. Je l’admettrais volontiers, j’ai un petit fétichisme pour les bouches, et en voir une aussi belle, presque dépourvue de visage, danser devant moi… J’avais envie d’y fourrer ma queue sans autre forme de procès.
« - Ne prends pas trop tes désirs pour des réalités, petite pute… Je te gouterai quand je t’en jugerai digne. »
J’avais chaud. Putain ce que j’avais chaud. Mon sexe me brûlait, mon torse me brûlait, j’avais l’impression qu’un trou noir ardent s’était formé dans ma poitrine… Mon Dieu ce que j’avais envie de cette femme. Je pouvais sentir le pré-sperme humidifier mon gland. Mais je me devais de garder la tête froide. Rester en contrôle, profiter de chaque occasion pour garder mon calme. Et en invoquant Dieu dans une scène aussi… profane, elle me fit un peu rire. Elle devait vraiment être croyante.
« - T’es du genre à crier « Jésus » quand on te saute, toi, non ? » Petite provocation, gratuite au demeurant « Je te baiserai quand m’en prendra la fantaisie… Pas avant. » Sur ce, je me mis à lui tourner autour, abusant de son aveuglement pour exacerber ses sens, effleurant épisodiquement sa peau du bout de la cravache dans une oh, tellement légère, caresse, passant sur ses fesses, son dos, le bout d’un sein, la harcelant cruellement alors que le gode continuait son œuvre dans ses entrailles… Je vins dans son dos, effleurant son flanc du bout du doigt avant de murmurer à son oreille en caressant sa fesse. « Tu aimes cette sensation, la nonne ? Cette tige qui s’agite en toi ? » Je lui laissais le temps de répondre avant d’abattre violemment ma main sur son cul blanc. « Et ça, tu aimes ? » demandais-je de nouveau à travers mes dents serrées avant de gifler son autre fesse « Hmm ? Je suis sûr que tu vas aimer la suite… »
Je posai la cravache et me saisit de la bougie, rouge comme de juste. Armé d’une allumette, je mis le feu à la mèche avant de la souffler et approcha la flamme de son corps, lui faisant sentir sa chaleur avant de la relever très haut au-dessus de ses fesses pour la laisser faire son œuvre, laissant tomber de lourdes et brûlantes gouttes de cire sur sa chair, rajoutant encore une petite touche de rouge à ce tableau décadent. « Je suis sûr qu’une petite catin masochiste dans ton genre doit adorer cette sensation, pas vrai ? » Amusé, regardais ses deux fesses se consteller, lentement, sûrement, arrachant à ma petite poupée de délicieuses réactions qui me firent frémir de désir…
Ricanant lorsque j’estimai que ses fesses furent suffisamment rouge, je soufflai la mèche et revins par-devant elle, attrapant un téton entre mes doigts. « Oh, les pauvres… Ils ont l’air de réclamer des caresses… » Je le pinçai, d’abord doucement, puis le tirai de plus en plus en le tordant, un rictus sadique au visage en le secouant pour mieux le relâcher soudain « Ou autre chose… » Je regardai autour de moi et vit mon bonheur. J’attrapai sur une commode une paire de pinces en métal reliés par une chaîne et garnis de grelots, que je m’empressais de venir attacher à chacun de ses tétons avant de tirer sur la chaînette. « Tu aimes, ça, hmm ? » Je tiraillai encore un peu dessus, entortillant le lien autour de mon doigt, joueur. « Merci qui, salope ? » Je ne lui avais pas remis la barre, lui laissant toute l’amplitude de répondre alors que de mon autre main, je vins cravacher par petits coups rapides son intimité pleurante tout en mordillant délicatement son oreille
- Eric Von Bunckenmark
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Devant tes yeux ébahis, il git,
Devant toi son corps, devant toi il est mort.
Il y a le sang qui coule, sa tête qui roule,
Et ton coeur qui crie, la terreur t'emplit,
La peur t'envahit, la douleur te punit
De tes péchés à venir, de tes spéculations à haïr.
Tu l'as vu amoché, tu l'as vu tué,
Tu ne peux nier en être la seule à accuser.
Profite de tes dernières secondes, le sang a coloré tes mèches blondes.
En toi le tic-tac de ton coeur, en toi le mécanisme de tes peurs,
Ils ont tous cessé de fonctionner, car il n'y a plus que la culpabilité.
La rédemption n'existe pas, il s'agit seulement d'un mensonge gras,
Et toi tu y crois, pour essayer de créer ta propre loi,
te pardonner et arrêter.
Arrêter d'avoir peur.
Arrêter d'avoir froid.
Arrêter de te sentir coupable.
Devant toi son corps, devant toi il est mort.
Il y a le sang qui coule, sa tête qui roule,
Et ton coeur qui crie, la terreur t'emplit,
La peur t'envahit, la douleur te punit
De tes péchés à venir, de tes spéculations à haïr.
Tu l'as vu amoché, tu l'as vu tué,
Tu ne peux nier en être la seule à accuser.
Profite de tes dernières secondes, le sang a coloré tes mèches blondes.
En toi le tic-tac de ton coeur, en toi le mécanisme de tes peurs,
Ils ont tous cessé de fonctionner, car il n'y a plus que la culpabilité.
La rédemption n'existe pas, il s'agit seulement d'un mensonge gras,
Et toi tu y crois, pour essayer de créer ta propre loi,
te pardonner et arrêter.
Arrêter d'avoir peur.
Arrêter d'avoir froid.
Arrêter de te sentir coupable.
Mais la vérité ne s'efface pas d'un coup de doigt de la tablette qu'est ton cerveau en ruine. La vérité est gravée dans les limbes de ton cerveau et le mensonge que tu crées comme étant ta vie ne cache rien de ta folie. Il n'y a ici que ta culpabilité, plus rien pour te sauver et tous les matins tu te réveilleras avec cette sensation de vide, de manque au fin fond de ta poitrine. Il n'y a que la douleur qui ne mente pas. Le plaisir, sans nom, sans frontière, sans limite que tu peux ressentir n'est là que pour panser tes plaies mentale. Il passe la pommade sur tes souffrances et tes peurs. Il cache le temps d'une baise.
Il ne tiendra pas longtemps contre un homme comme lui, et toutes les noirceurs de ton âme pervertie se révèleront devant lui, comme un masque qui se casse. C'est pour ça que tu veux profiter, car un rien te fait perdre le contrôle quand tu as peur. Est-ce que tu as peur ? Oui. Tu as beau être provocante, tu as beau être sûre de toi, tu as beau être ce corps féminin rempli de supériorité et de manipulation, tu as peur. Pas de ce qu'il représente. Pas de son titre. Pas de lui. Non de toi. Et de l'effet de son titre sur l'être qui est en toi, qui paraît tordre tes entrailles alors que c'est le plaisir qui te fait gémir. Tu ne retiens plus les cris et les couinements, les gémissements et les hurlements, ta langue claquant contre ton palet.
Non ce n'est pas de la haine. C'est de la peur que tu déguises avec plaisir, que tu déguises avec attention pour que rien ne paraisse. Et tu profites du plaisir pour essayer d'oublier ce qui te hante, et ce qui pourrait te couter ta liberté. Bien sûr que tu ne pouvais mentir. Tu avais appris à simuler mais tu préférais prendre ton pied. Gémissante, tu ne peux que subir ses envies, obéir à ses gestes, ce que tu faisais avec délectation, passant et repassant ta langue sur la cravache pour bien l'excitait alors que ton corps était parcouru de longs frissonnements, que tu te cambrais et que tu ondulais des hanches pour profiter du jouet en toi. La sodomie ? Une pratique très courante pour toi et tu avais appris à la désirer et peut-être même à plus l'apprécier que la pénétration habituelle. Et Dieu dans tout ça ? Il te l'interdisait et c'était donc avec un plaisir coupable et des prières de rédemption que tu allais au devant des punitions divines... Alors que tes lèvres prenaient la forme d'une moue provocante et un peu triste, tu murmures, la voix rauque de plaisir :
" - Haaaon... Maître Vampire ... Je suis à votre service... Après tout." Un sourire se dessine sur tes lèvres rougeâtres et humides alors qu'un léger éclat de rire, cristallin et moqueur s'échappe de ta gorge. "Jésus, Marie, Joseph, Mon Père et le Saint Esprit, mon chéri." Tu fais de nouveau passer ta langue sur tes lèvres alors qu'un doux gémissement s'échappe de ta bouche, un soupir de plaisir qui se meurt sur ta poitrine ensanglanté, ton corps se crispant légèrement, ton dos se cambrant doucement alors que tu fermes les yeux sous le bandeau, tes dents venant harceler ta lèvre inférieure, la mordiller.
Le mauvais côté de cette situation, c'est ta main qui te lance, qui est encore sanguignolante, un frisson remontant ta colonne vertébrale alors qu'il joue avec tes sens, ta tête tournant un peu à cause de la perte du sang et du plaisir, de la fatigue et des frémissements de ton corps. Tu susurres, ta voix toujours basse alors que sa main caresse ta fesse. " Mmm.. Bien sûr que j'aime.. HAN !" C'est le cri qu'il t'arrache alors que tu te cambres brutalement sous la première fessée, peut-être surprise. Tu prends trop rapidement l'habitude de te reposer sur tes lauriers... Tu ne réponds pas, gémissant seulement sous la deuxième claque alors qu'un soupir t'échappe. "J'aime." Ta voix est rapide, et tu te retiens.
A la fin de cette phrase, tu aurai voulu rajouter, Premier Exorciste. Pourquoi ? Peut-être pour te rassurer. Tu le sens bouger et sentant la chaleur d'une flamme sur ta peau blanche, une petite grimace se faufile sur tes lèvres. Tu aimes un peu moins. Disons que si la sensation est brulante, douloureusement plaisante, la brûlure restait pendant quelques jours et tu aimais pas trop ça. Après tout, ton corps était ton objet de travail et ainsi constellé de brûlures, il était parfois moins désirable. Mais sur le moment, la réflexion s'évapora alors que tu gémissais, te cambrais, bougeais un peu, criais, couinais et retombais en avant, le corps parcouru par maints et maints frémissements, réactions, tes seins se durcissant encore, tes lèvres laissant échapper plus de leur nectar, ta voix se faisant rocailleuse sous le plaisir et le désir. Plus les secondes passaient, plus tu le voulais et bordel, il te faisait languir.
Il jouait, il aimait ça. Brûlante et fiévreuse, la bouche libre pour gémir, parler, crier, tu commençais à réellement supplier, non pas que ça s'arrête mais que la torture de la frustration cesse. Son doigt torturant un de tes tétons dressé, tu finis par prononcer, entre deux halètements, la tête retombée un peu en avant, la salive coulant toujours par moment sur ton menton alors que ton corps frémissant et parfois sous l'emprise de quelques spasmes. "Ils te réclament .. tout entier .. Aaaah... Premier Exorciste." Enième surnom, son titre sonne dans ta tête comme un coup de feu qui ne te rassure finalement pas alors que tu couines plus fort, relevant la tête pour attraper brutalement ses lèvres, à tatons, entre les tiennes et l'embrasser, le dévorer, jouer avec sa langue avant de le relacher pour gémir d'un coup, plus fort, plus aigu, plus douloureusement. "AAAAH PUTAIN !"
Le petit accessoire sur tes seins te tirent un cri non pas de plaisir mais réellement de douleur, les pinces enfermant tes tétons cruellement, alors qu'il tirait sur la chainette qui tintait et les grelottements des petites sonnettes semblant se répartir dans ton corps en des petits tremblements nerveux et passionnés. Tu te cambres en gémissant, la langue un peu ressortie avant de sentir ses dents sur ton oreille, ta bouche venant trouver le chemin de sa gorge pour s'y blottir, tes lèvres apposant des marques de suçons, de mordillement, de baisers sur toute sa gorge jusqu'à ses lèvres que tu réattrapes, gémissant toujours, librement, le souffle rapide et haletant. "Aaaah.. Merci... Haaan... Merci ... Premier ... Haaan.. Premier Exorciste." Tu continues, un sourire moqueur se dessinant alors que tu l'embrasses de plus belle avant de revenir jouer de ta bouche sur la peau sensible de sa gorge, puis du lobe de son oreille, tremblant encore un peu et surtout gémissant comme jamais.
Ce nom, c'est ce que tu hais le plus chez lui. Ta fierté relevée, ta provocation accrochée au front comme un pied au nez à son autorité, tu relaches sa gorge pour tirer la langue, bougeant difficilement tes épaules pour faire grelotter les sonnettes dans un bruit plus provocant que jamais, un grand éclat de rire t'échappant. Un rire cachant ta nervosité. Ta colère. Et le monstre qui bouge dans ton ventre, semblant hors de contrôle mais que tu retiens de force par tout ce plaisir ressentit.
" - Tu ... Aaaah.. Tu es résistant... Mais rien ne sert... Baise moi enfin... Haaan... Avant que je devienne folle." Et si cela peut lui donner envie de ne surtout pas le faire ... Tu souris doucement en disant haut et fort. "Je t'en supplie Maître ..." Tu sais jouer toi aussi.
Jouer avec la libido et les désirs.
Avec les fantasmes et le plaisir.
- Calypso Heart
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Re: Comme chien et chat... [HARD]
Que c’est amusant…
Cela faisait un bon moment que je n’avais pas pris le temps de m’amuser ainsi. J’avais presque oublié à quel point il était distrayant d’avoir à sa merci un corps de femme aussi sensible et prompt à répondre… Le moindre contact, la moindre petite agression lui faisait pousser de petits cris absolument délicieux à mon oreille… A chaque fois qu’une goutte de cire brûlante venait s’écraser et se figer sur ses fesses, c’était un véritable ravissement. Elle se déhanchait, couinait, bougeait comme pour échapper à la bougie… Je ne pouvais m’empêcher de sourire, c’était tellement… tellement rafraîchissant !
Même lorsqu’elle semblait vraiment avoir mal, elle ne cessait de démontrer du plaisir. J’ai parfois tendance à culpabiliser quand je vais « trop loin » mais j’avais l’impression qu’elle n’avait pas de « trop loin » et cela me ravissait. Je laissais sa bouche trouver la mienne, daignais répondre à ses envie d’étreinte et l’autorisais même à m’apposer un suçon dans le cou, m’arrachant un frémissement total et un petit gémissement presqu’orgasmique… L’entendre me remercier ainsi à mon ordre me remplit de satisfaction, d’un délicieux sentiment de supériorité qui me fit frémir d’autant plus, mais voir son visage ironique et moqueur dissipa la décision que j’avais pu prendre de bien vouloir enfin la prendre. Cela ne se fera que lorsque la reine des provocatrices aura laissé tomber sa couronne, avais-je décidé.
Ce titre… Je savais qu’elle me détestait à cause de cette fonction, que j’exerçais du reste avec grand plaisir, et ne comprenait pas vraiment… Je m’ouvris à son esprit une dernière fois, et reçu aussitôt un flash. Je vis… Une créature. Un genre de chat, mauve pâle, malingre, souriant… J’avais déjà mené des interrogatoires sur suffisamment de thérianthropes pour savoir comment interpréter cette image : elle en était une… Mince. Voilà qui bouleversait quelque peu mon plan… Ricanement.
« - Je ne suis pas convaincu de ta sincérité quand tu m’appelles «maître»… Va falloir y mettre un peu plus de cœur ! » La taquinais-je pour gagner du temps en tirant sur les pinces, lui arrachant un nouveau son de douleur qui très honnêtement me charma. Mon regard s’égara sur la dague, toujours posée sur la tablette… J’aurais pu la tuer dès maintenant. Et brûler l’endroit une bonne fois pour toute… Mais je n’en avais aucune envie, malgré la haine que je voue à ces monstres. Je voulais profiter de cette femme, j’avais envie d’elle. Dieu, que c’était dégradant, en un sens… Mais l’un dans l’autre, cela voulait également dire que je pourrais continuer à l’humilier encore plus… Ô double joie !
D’une main ferme, j’attrapais ses cheveux, immobilisant sa tête, d’une main caressante, je guidais la cravache sur sa joue, et vint approcher mon visage du sien. «J’ai bien envie de te voir devenir folle, moi… Continue à me supplier, abuse de ta plus belle voix. Essaie de me séduire, parce que pour l’instant… La cravache vint claquer contre un de ses seins, je ne suis toujours pas convaincu ! » Émettant un nouveau rire, je m’éloignais d’elle… Me montrer mauvais avec elle avait, depuis quelques secondes, un attrait supplémentaire, allez savoir pourquoi. Je lui tournai légèrement autour, voulant l’observer de profil. Le spectacle était saisissant. Ce corps amoureux, cambré et tordu, aux fesses rougies par les claques et la cire, les seins pris dans des pinces de fer, ondulant et se dandinant dans tous les sens, était un panorama formidablement excitant… Bon sang…
Je vins derrière elle, passant ma main sur la couche dure qu’avait formée la cire en séchant, et attrapa délicatement le gode anal entre des doigts, accompagnant ses ondulations en le faisant aller et venir dans son antre. Accidentellement, je fis tourner un petit anneau sur le manche, et quelle ne fut pas mon agréable surprise en constatant que cela intensifia les vibrations de l’objet. Ma captive étant déjà au supplice, je ne pouvais qu’imaginer ce qu’elle pouvait bien ressentir...
Revigoré et avec la volonté renouvelée de la tourmenter, je montai sur le lit et attrapa d’une main ses cheveux (eh oui, j’aime bien faire ça), de l’autre mon membre, désormais à hauteur de son visage, et vint en plaquer le profil veineux et pulsant contre ses lèvres. « C’est ça dont tu as envie ? Joueur, je le fis passer sur le filet de bave tâchant son menton. Mais oui, regarde, tu en bave… Je ris en le faisant passer entre ses lèvres, sans jamais lui permettre de le prendre en bouche, et émis un souffle de plaisir exagéré avant de venir faire claquer mon engin contre sa joue. ]Tu vas devoir être bien sage pour le mériter, petite salope… »
C’était devenu un défi personnel. Infliger à cette prostituée ce qu’elle avait tenté de m’infliger : me faire tomber par mes instincts. Et Dieu m’en soit témoin, je réussirai… Et après l’avoir défoncé par tous les trous jusqu’à lui griller le cerveau, je tuerai cette monstruosité… J’avais envie que son sang se mêle à sa bave et à ses larmes et à sa mouille et à mon foutre et que ce mélange inonde la ville sous un dégueulasse flot de vice comme preuve de ma supériorité… Quelle image cela serait, tout de même… Morte de plaisir… Mais pas encore…
Je redescendis de mon perchoir et vint coller mon corps contre le sien, mon membre lubrifié par sa bave venant se coller contre son ventre tandis que j’attrapais sa hanche saillante d’une main cruelle, l’autre venant caresser sa vulve avec deux doigts. « Tu n’est pas digne que je te saute, putain de traînée… » Ricanant, je tendis le bras pour attraper un godemiché en bois et le lui planta férocement dans sa chatte offerte et suppliante.
Je vins murmurer à son oreille. « Allez, fais de ton mieux… Je compte sur toi pour me décider, cette fois… » Amusé à un point impossible, je relevai son bandeau et tirai une chaise pour m’asseoir, croisant les jambes d’un air triomphant, un sourire flamboyant aux lèvres en observant mes méfaits dans son allure. « Alleeeez… » L’encourageais-je à voix basse en tiraillant sur les pinces avant d’échouer à retenir un gloussement.
Mon Dieu, que c’est amusant… !
Cela faisait un bon moment que je n’avais pas pris le temps de m’amuser ainsi. J’avais presque oublié à quel point il était distrayant d’avoir à sa merci un corps de femme aussi sensible et prompt à répondre… Le moindre contact, la moindre petite agression lui faisait pousser de petits cris absolument délicieux à mon oreille… A chaque fois qu’une goutte de cire brûlante venait s’écraser et se figer sur ses fesses, c’était un véritable ravissement. Elle se déhanchait, couinait, bougeait comme pour échapper à la bougie… Je ne pouvais m’empêcher de sourire, c’était tellement… tellement rafraîchissant !
Même lorsqu’elle semblait vraiment avoir mal, elle ne cessait de démontrer du plaisir. J’ai parfois tendance à culpabiliser quand je vais « trop loin » mais j’avais l’impression qu’elle n’avait pas de « trop loin » et cela me ravissait. Je laissais sa bouche trouver la mienne, daignais répondre à ses envie d’étreinte et l’autorisais même à m’apposer un suçon dans le cou, m’arrachant un frémissement total et un petit gémissement presqu’orgasmique… L’entendre me remercier ainsi à mon ordre me remplit de satisfaction, d’un délicieux sentiment de supériorité qui me fit frémir d’autant plus, mais voir son visage ironique et moqueur dissipa la décision que j’avais pu prendre de bien vouloir enfin la prendre. Cela ne se fera que lorsque la reine des provocatrices aura laissé tomber sa couronne, avais-je décidé.
Ce titre… Je savais qu’elle me détestait à cause de cette fonction, que j’exerçais du reste avec grand plaisir, et ne comprenait pas vraiment… Je m’ouvris à son esprit une dernière fois, et reçu aussitôt un flash. Je vis… Une créature. Un genre de chat, mauve pâle, malingre, souriant… J’avais déjà mené des interrogatoires sur suffisamment de thérianthropes pour savoir comment interpréter cette image : elle en était une… Mince. Voilà qui bouleversait quelque peu mon plan… Ricanement.
« - Je ne suis pas convaincu de ta sincérité quand tu m’appelles «maître»… Va falloir y mettre un peu plus de cœur ! » La taquinais-je pour gagner du temps en tirant sur les pinces, lui arrachant un nouveau son de douleur qui très honnêtement me charma. Mon regard s’égara sur la dague, toujours posée sur la tablette… J’aurais pu la tuer dès maintenant. Et brûler l’endroit une bonne fois pour toute… Mais je n’en avais aucune envie, malgré la haine que je voue à ces monstres. Je voulais profiter de cette femme, j’avais envie d’elle. Dieu, que c’était dégradant, en un sens… Mais l’un dans l’autre, cela voulait également dire que je pourrais continuer à l’humilier encore plus… Ô double joie !
D’une main ferme, j’attrapais ses cheveux, immobilisant sa tête, d’une main caressante, je guidais la cravache sur sa joue, et vint approcher mon visage du sien. «J’ai bien envie de te voir devenir folle, moi… Continue à me supplier, abuse de ta plus belle voix. Essaie de me séduire, parce que pour l’instant… La cravache vint claquer contre un de ses seins, je ne suis toujours pas convaincu ! » Émettant un nouveau rire, je m’éloignais d’elle… Me montrer mauvais avec elle avait, depuis quelques secondes, un attrait supplémentaire, allez savoir pourquoi. Je lui tournai légèrement autour, voulant l’observer de profil. Le spectacle était saisissant. Ce corps amoureux, cambré et tordu, aux fesses rougies par les claques et la cire, les seins pris dans des pinces de fer, ondulant et se dandinant dans tous les sens, était un panorama formidablement excitant… Bon sang…
Je vins derrière elle, passant ma main sur la couche dure qu’avait formée la cire en séchant, et attrapa délicatement le gode anal entre des doigts, accompagnant ses ondulations en le faisant aller et venir dans son antre. Accidentellement, je fis tourner un petit anneau sur le manche, et quelle ne fut pas mon agréable surprise en constatant que cela intensifia les vibrations de l’objet. Ma captive étant déjà au supplice, je ne pouvais qu’imaginer ce qu’elle pouvait bien ressentir...
Revigoré et avec la volonté renouvelée de la tourmenter, je montai sur le lit et attrapa d’une main ses cheveux (eh oui, j’aime bien faire ça), de l’autre mon membre, désormais à hauteur de son visage, et vint en plaquer le profil veineux et pulsant contre ses lèvres. « C’est ça dont tu as envie ? Joueur, je le fis passer sur le filet de bave tâchant son menton. Mais oui, regarde, tu en bave… Je ris en le faisant passer entre ses lèvres, sans jamais lui permettre de le prendre en bouche, et émis un souffle de plaisir exagéré avant de venir faire claquer mon engin contre sa joue. ]Tu vas devoir être bien sage pour le mériter, petite salope… »
C’était devenu un défi personnel. Infliger à cette prostituée ce qu’elle avait tenté de m’infliger : me faire tomber par mes instincts. Et Dieu m’en soit témoin, je réussirai… Et après l’avoir défoncé par tous les trous jusqu’à lui griller le cerveau, je tuerai cette monstruosité… J’avais envie que son sang se mêle à sa bave et à ses larmes et à sa mouille et à mon foutre et que ce mélange inonde la ville sous un dégueulasse flot de vice comme preuve de ma supériorité… Quelle image cela serait, tout de même… Morte de plaisir… Mais pas encore…
Je redescendis de mon perchoir et vint coller mon corps contre le sien, mon membre lubrifié par sa bave venant se coller contre son ventre tandis que j’attrapais sa hanche saillante d’une main cruelle, l’autre venant caresser sa vulve avec deux doigts. « Tu n’est pas digne que je te saute, putain de traînée… » Ricanant, je tendis le bras pour attraper un godemiché en bois et le lui planta férocement dans sa chatte offerte et suppliante.
Je vins murmurer à son oreille. « Allez, fais de ton mieux… Je compte sur toi pour me décider, cette fois… » Amusé à un point impossible, je relevai son bandeau et tirai une chaise pour m’asseoir, croisant les jambes d’un air triomphant, un sourire flamboyant aux lèvres en observant mes méfaits dans son allure. « Alleeeez… » L’encourageais-je à voix basse en tiraillant sur les pinces avant d’échouer à retenir un gloussement.
Mon Dieu, que c’est amusant… !
- Eric Von Bunckenmark
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